Pain de munition

l’Allemagne nazie et qu’il travaille dans une usine de munitions à Nutziland Donald au pays des cinglés (est un jeu de mots= nut signifie fou en anglais et la prononciation de nazi en Allemagne et en anglais natzi). S’épuisant à répondre aux demandes exagérées du Führer. Le dessin animé montre sa journée : 1. petit déjeuner léger à cause du rationnement (café dans le coffre-fort=marché noir ?, arôme œuf et bacon= produit de remplacement ?, pain dur= il doit le coupé avec une scie) 2. embrigadement

des légions romaines qui a été impitoyable lors des deux précédentes guerres serviles en Sicile. Le vol ne suffisant plus a nourrir tout son monde, il entre en contact avec les pirates qui infestent la Méditerranée pour leur acheter de quoi faire du pain, tout comme Sertorius le fait en Hispanie. Lui vient alors l’idée de contacter Sertorius pour obtenir les armes indispensables à la survie de son mouvement. Sertorius accepte car il connait des revers depuis deux ans, mais il pose évidemment des

armes à feu et toute sorte de munition, des grenades à main, explosifs et autre matériel de guerre ainsi que les postes émetteurs de T.S.F. (des amateurs également) de tout genre devront être délivrés dans un délai de 24 heures au poste allemand le plus proche, c.-à-d. à la "Kommandantur". Les bourgmestres seront responsables de la stricte exécution de cet ordre. 2) Celui qui contrairement à ladite ordonnance sera trouvé en possession d'armes à feu, de munition de tout genre, de grenades à

d'un ouvrier nazi, travaillant dans une usine de munition à Nutziland (jeu de mots: nut signifie fou en anglais et la prononciation de nazi en allemand et en anglais est : natzi). Et cette vie n'est pas de tout repos. Le dessin animé montre sa journée au cours de laquelle il doit sans cesse rappeler sa fidélité au Führer : • petit déjeuner léger à cause du rationnement (café dans le coffre-fort = marché noir ?, arôme œuf et bacon= « ersatz », pain dur) • travail à l'usine d'armement (sous surveillance

Elles avaient lieu à l'intérieur du camp ou à l'extérieur, comme ce fut le cas pour J.J. Degenhardt qui raconte : "La grande majorité des prisonniers [de son camp] fut employée comme bûcherons. Dans les environs, se trouvait auparavant un camp de munitions ; il avait été bombardé. Les vieux arbres qui avaient reçu des éclats de bombe étaient abattus. On estimait alors la quantité d'arbres à supprimer à environ 50 000 m3. Chaque prisonnier avait obligation d'abattre et de couper 1,5 m3 par jour. Comme

de vie dans ces tranchées sont épouvantables, comme en témoignent les écrits des “poilus”. -Exemple : la boue est partout, sur la nourriture, dans les poches, sur la peau... Les rats aussi sont énormes, ils mordent dans le pain de tout le monde. Certains cachent leur pain sous leur casque, mais les rats leur montent sur le visage... On les appelle “ les rats de cadavre”. -De plus, la nourriture manque, elle est froide, mal servie... -Les années 1915 et 1916 sont très coûteuses en hommes puisque

objectifs de guerre à l’Entente. Les bolchéviques qui sont une minorité aux Soviets de Pétrograd (autre instance dirigeante avec le gouvernement provisoire) vont être de plus en plus populaire car ils promettent une « paix immédiate », leur slogan est « Pain, Paix, Terre » Dans la nuit du 24 au 25 octobre, les bolchéviques par une insurrection armée s’emparent du pouvoir B) De l’armistice à la paix En arrivant au pouvoir, les bolchéviques promulguèrent immédiatement un décret sur la paix qui dénonçait

Donald Duck dans la peau d'un ouvrier nazi, travaillant dans une usine de munition à Nutziland (jeu de mots: nut signifie fou en anglais et la prononciation de nazi en allemand et en anglais est : natzi). Le dessin animé montre sa journée au cours de laquelle il doit sans cesse rappeler sa fidélité au Führer : petit déjeuner léger à cause du rationnement (café dans le coffre-fort = marché noir ?, arôme œuf et bacon= «ersatz», pain dur) travail à l'usine d'armement (sous surveillance (baïonnettes)= pas

prisonniers travaillaient des heures au moins six jours par semaine dans des conditions déplorables, dangereuses… Ils faisaient le déblaiement, travaillaient dans les usines où ils font des munitions… Dès 1938, les SS tirèrent profit de ces camps. Les conditions de vie étaient déplorables. Ils mangeaient de la soupe avec du pain et il n’y avait jamais assez de nourriture, certains détenus mourraient de faim. Les détenus dormaient dans de grand dortoirs où ils étaient entasser par dizaines. Ils faisait très

grossesse comme un devoir patriotique. Aussi, certaines usines mettent en place des structures pour aider les femmes à concilier leur rôle de mère et d’ouvrière, une veritable revolution ! Par exemple, une pouponnière est créée à côté de l’usine de munitions de Meudon. Les femmes ont également un rôle moral pour soutenir les combattants : des « marraines de guerre » vont écrire aux soldats célibataires. Les familles vivent dans l’attente et dans l’inquiétude mais elles ont la volonté de vivre dans la