Palis

rencontres ont presque tjr lieux la nuit. Ici la rencontre est un archétype (un modèle). La rencontre est au cœur du vers: ''je l'ai vue'' => c'est le mot clé. Cette rencontre est semblable à celle entre Phèdre et Hippolyte: ''Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue''. Ils voient et la fatalité leur tombe dessus. C'est le coup de foudre. Néron rentre ds l'obsession et la fatalité, il est désormais amoureux pour la vie. L'adverbe d'intensité ''si'' vers 16 montre la surprise de Néron lorsqu'il voit

rhétorique : fallait-il approcher..;bords dangereux ?Rime terreur/ horreurIII- Les conséquences tragiques de l’aveu sur la personne de Phèdre A- Les troubles physiques de Phèdre coup de foudre avec rythme ternaire et gradation : je le vis, je rougis, je pâlis à sa vueoxymore rougeur/ pâleur// de cio : je tremble, je frissonneperte des 5 sens : la vue et le mutisme  avec les négations : mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parlerantithèse transir/ brûler, conjonction de coord répétée 2 fois « et » =

com/racine-personnage-phedre.php#ixzz1kIRbrYP2 "Elle porte au hasard ses pas irrésolusSon œil tout égaré ne nous reconnaît plus".Lire la suite sur : http://www.etudes-litteraires.com/racine-personnage-phedre.php#ixzz1kIRbrYP2 Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vueUn trouble s’éleva dans mon âme éperdueMes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parlerJe sentis tout mon corps et transir et brûler.Lire la suite sur : http://www.etudes-litteraires.com/racine-personnage-phedre.php#ixzz1kZMEHDut Le tragique

instructions que ceux de ces poètes. Ce serait peut-être un moyen de réconcilier la tragédie avec quantité de personnes célèbres par leur piété » (référence à Pierre Nicole et aux attaques de l’église) ▪ Racine, Phèdre (1677) « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue » (I, 3) « Connais donc Phèdre et toute sa fureur » (II, 5) ▪ Racine préface de Bérénice « La principale règle étant de plaire et de toucher : toutes les autres ne sont faites que pour parvenir à cette première.» ▪ Armand Salacrou

1564 afin de conformer ces protagonistes sacrés. Seuls Raphaël et Léonard de Vinci, ses contemporains, ont pu rivaliser avec ce « génie de la Renaissance ». Il décède le 18 février 1564. Analyse : La chapelle Sixtine est l’une des salles des palis pontificaux au Vatican. C est dans cette chapelle que les cardinaux, réunis en conclave, élisent le nouveau pape.La décoration du plafond de la chapelle représente des épisodes de la genèse. Cette fresque fut commander par jules 2 et c’est en1508 que

la force de ce dernier. Au vers suivant on retrouve d'autres conséquences sur son corps causées par ce puissant amour : « Je sentis tout mon corps, et transir et brûler ». Phèdre utilise ici une antithèse ainsi qu'au vers 273 avec « je rougis, je pâlis ». Cette figure de style permet de renforcer la puissance de son amour envers Hippolyte. De plus, son amour est puissant car elle attribut ce dernier à Vénus, la déesse de l'amour dans la mythologie romaine. On le voit au vers 277 avec « Je reconnus

spectateur. • L’épique intervient souvent dans le récit de la mort des héros (par exemple, le récit de la mort d’Hippolyte dans Phèdre de Racine). • Le lyrisme : on le retrouve dans l’expression des passions des héros ("Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue", Phèdre, 1677). • Le tragique intervient lorsque les personnages ont conscience que le destin les accable et qu’ils ne peuvent lutter. • L’ironie tragique intervient lorsque les personnages constatent avec une certaine dérision qu’ils sont

Phèdre Passage 1: « Phèdre : Mon mal vient de plus loin. À peine au fils d’Égée Sous les lois de l’hymen je m’était engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le (Hippolyte) vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s’éleva dans mon âme éperdu [...] » (Acte I, scène 3) Ici Phèdre, l’épouse du roi Thésée, avoue l’amour qu’elle a envers le fils de ce dernier à sa confidente Oenone. Elle est complètement bouleversée par ce qu’elle ressent

tout de suite éprouvé pour le jeune homme une passion démesurée, au point qu’elle l’idéalise. Tout d’abord, elle confie à Oenone les troubles physiques qu’elle a ressentis dès le premier regard. En effet, elle dit : « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ». Nous remarquons dès lors qu’il s’agit bien d’un « coup de foudre » puisqu’elle insiste sur la puissance du regard. Par ailleurs, la succession de couleurs opposées « rougir » et « pâlir » témoigne bien de ses tourments, de toutes les émotions

devient une maladie dangereuse et mortelle. Pour assimilé son amour à une maladie elle utilise une métaphore : « Mon mal vient de plus loin » (v.1). On peut relevée une gradation ou Phèdre perd le contrôle d’elle-même : « Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue » (v.5). Le terme pâleur montre son mal être et rougeur prouve l’amour mais aussi la honte que Phèdre ressent a cause de son amour pour son beau fils. Elle se sent tellement faible et triste que quand Phèdre a revu son ennemi Hippolyte le