Panafricanisme

au monde occidental qui les a pendant de nombreuses années colonisés. Ils veulent valoriser leur identités et les valeurs culturelles du monde noir. Cependant, les trois hommes ont trois fortes influences : -La philosophie des lumières -Le panafricanisme -Le marxisme Le terme appararu pour la première fois par Aimé Céaire, selon Léopold Sédar Senghor en 1935 dans la revue qu'ils créèrent l'étudiant noir. On le revirent en 1939 dans le Cahier d'un retour au pays natal de Aimé Césaire puis

Indochine (le Vietminh d’influence marxiste) * L.S Senghor au Sénégal (UPS) met en avant la noblesse de la culture noire (la négritude). * Sukarno fonde le Parti National Indonésien en 1927 (libéralisme) * Kwamé N’Krumah au Ghana (le panafricanisme) * Sékou Touré en Guinée (PDG d’influence marxiste) Toutes ces élites indigènes sont formées aux idéologies occidentales mais sont écartées du pouvoir politique local. Elles réclament donc la Liberté pour leur pays et la Démocratie, des

face à face Panarabisme de la Ligue Arabe (fondée en 1945) qui s’oppose aux inspirations religieuses de la Conférence Islamique (1960) qui rassemble une cinquantaine d’états musulmans arabes et non arabes - Afrique avec l’opposition entre le Panafricanisme et l’Organisation de l’Union Africaine (OUA, 1963) qui ne veut pas toucher aux frontières issues de la décolonisation - Amérique Latine avec l’opposition entre l’Organisation de Etats Américains (OEA, 1948) qui est proaméricaine et l’Organisation

Ghana, Liberia, Sénégal, Maroc et Algérie. Il y rencontre différents ambassadeurs, prend part à des réceptions et prononce plusieurs discours. Au Ghana, Malcolm X s'entretient avec Kwame Nkrumah (homme politique ayant contribué à la formation du Panafricanisme) . De retour aux Etats-Unis, il est accueilli par une foule de journalistes qui lui posent des questions sur ses différents voyages. A cette occasion, il annonce officiellement la formation de son organisation : l'OAAU. Il est alors convaincu

européens. Moins ébranlée que l’Asie par la guerre et les mouvements de contestation y sont moins précoces. Mais elle est gagnée peu à peu par la remise en question nationaliste. Les mouvements nationalistes se réfèrent plus ou moins fortement au panafricanisme : mouvement visant à redonner force aux valeurs africaines et évoquant l’unité politique du continent africain + des références au communisme. Les mouvements les plus avancés sont dans la Gold Coast (futur Ghana), en Afrique anglophone, avec un

conférence islamique qui rassemble une cinquantaine d’états musulmans arabes ou non. –en Afrique la décision prise par l’org de l’Unité Africaine (OUA) dés sa création en 1963 de ne pas toucher aux frontières héritées de la colonisation contredits le panafricanisme (volonté de solidarité entre tous les états africains) de certains dirigeants de certains états comme le Ghanéen N’Krumah ou le Sénégalais Senghor –en Amérique latine l’org des états américains (OEA) crée en 1948 et alignée sur les EU est en

aide économique des gdes puissances qui les intègrent au blocs. Des tentatives d’organisation régionale: OUA (Organisation de l’Unité Africaine): Fondée en 1963 et est dirigée par le Ghana. Son but est de réunir les pays africain au nom du panafricanisme. Ligue Arabe: Fondée en 1945 et est dirigée par l’Indochine. Son but et de réunir les pays du Moyen Orient et l’Égypte au nom du panarabisme. OPEP (Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole): Fondée en 1960, elle réunit les pays pétroliers

Guinée sous Sékou Touré Article détaillé : Ahmed Sékou Touré. Le pays accède à l'indépendance le 2 octobre 1958, et Ahmed Sékou Touré, en devient le président à 36 ans. Il cherche à construire une Union Africaine avec Kwame Nkrumah, apôtre du panafricanisme ; La Guinée et le Ghana forment une union le 1er mai 1959, rejoints le 24 décembre 1960 par le Mali[7]. Officiellement non-aligné, le régime s'appuie sur l'Union soviétique sans rejeter l'aide des États-Unis. Ahmed Sékou Touré vit dans la peur

parle de l’âme des peuples, associant un peuple à un pattern culturel. Il définit une essence africaine, selon lui, l’Egypte ancienne est noire et est le noyaux civilisationnel du continent, la colonisation n’est pour lui qu’une parenthèse. PANAFRICANISME : union des nations africaines dans la lutte contre l’asservissement, il y a en 1900 la première conférence africaine qui traduit une volonté d’alliance africaine et afro-américaine. GARVEY : le paroxysme de ce mouvement est l’idée d’un grand

droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. 2. À la fin de la guerre, essor de mouvements nationalistes cristallisés autour du refus de la présence étrangère : le parti de l'Istiqlal au Maroc, le néo-Destour en Tunisie avec Habib Bourguiba, le panafricanisme de Kwame Nkrumah au Ghana (la Côte-de-l'Or)... 3. Au début des années 1950, la quasi-totalité des colonies asiatiques est libérée et ces pays servent d'exemple pour l'Afrique. En 1955, la confé¬rence de Bandung en Indonésie, à laquelle participent