Pallas

extrait, et même s’ils ne sont pas cités, l’ont sait par l’intermédiaire d’Ulysse leurs différents agissements. La déesse la plus mise en valeur dans cet épisode est Pallas Athéna. En effet, grâce à son rôle bienveillant, protecteur envers Ulysse, elle est omniprésente dans le texte. Et elle lui prodigue des conseils dès le vers 4 : «Si Pallas Athéna ne l’avait pas inspiré ». Elle est la sauveuse d’Ulysse, tout ce qu’elle lui dit, explicitement ou implicitement est une aide pour le sortir du trépas, pour

en humaniste • 1481/85, La Madone du Magnificat, tondo, détrempe sur bois, diamètre 115 cm, Galerie des Offices, Florence. • 1482, Scène de la vie de Moïse • 1482, Le Châtiment de Coré • 1482, La Tentation de Christ • 1482, Pallas et le Centaure • 1483, Vénus et Mars • 1483, L'Histoire de Nastagio degli Onesti (1er épisode) • 1483, L'Histoire de Nastagio degli Onesti (2e épisode) • 1483, L'Histoire de Nastagio degli Onesti (3e épisode) • 1483, L'Histoire

l'île de Chypre située à côté de la Turquie … De plus, le modèle utilisé par Botticelli pour représenter les personnages mythologiques était Simonetta Vespucci, courtisée par les Médicis. C'est sous ses traits qu'est également réprésentée Pallas dans Pallas et le Centaure. Elle était aussi en lien avec l'académie néoplatonicienne de Florence dirigée par le philosophe Ficin. Cette peinture peut être considérée comme un hommage à Laurent le Magnifique. En effet, Botticelli l'a réalisé dans la période

Augustin dans son cabinet de travail * 1481/1485, La Madone du Magnificat, tondo1481, L'Annonciation de San Martino alla Scala * 1482, Scène de la vie de Moïse * 1482, Le Châtiment de Coré * 1482, La Tentation de Christ * 1482, Pallas et le Centaure * 1483, Vénus et Mars1485, La Naissance de Vénus1487, La Madone de Pomegranate * 1489, L'Annonciation du Cestello * 1493, L'Annonciation de la chiesa fiorentina di San Barnaba * 1490, Saint Jérôme * 1495, Portrait

robe empoisonnée. 3.REPRESENTATION « Pallas et le Centaure » est une œuvre de l’artiste Sandro Botticelli peinte en 1843. Elle a été découverte en 1975 et se trouve actuellement dans la Galerie des Offices en Florence. On voit à gauche, un centaure équipé d’un arc et à droite Pallas portant des feuillages au corps et une hallebarde à la main. Cette œuvre nous a plu car elle représente bien le centaure avec son arc comme signe de brutalité et de mal et Pallas comme signe de sagesse. Nous trouvons

(dans l’essentiel) sa célébrité. L’œuvre la plus connu étant l’allégorie du Printemps, exécuté en 1482. Unanimement admiré, elle fera de lui, le peintre le plus qualifié dans l’interprétation des thèmes païens. La même année probablement, il peint Pallas et le centaure, illustrant la victoire de la chasteté sur la volupté. Le thème de l’amour réapparaitra souvent avec Venus et Mars (peint en 1483 qui exprime la puissance de Venus, capable de dompter la force virile). La déesse de l’amour va beaucoup

(Hérodote : IV. 180), apparemment pour la fonction de Grande-prêtresse. Le récit que fait Apollodore (III. 12.3) du combat entre Athéna et Pallas est une version patriarcale tardive. Il dit qu’Athéna, née de Zeus et élevée par le dieu-Fleuve Triton, tua accidentellement sa sœur de lait Pallas, fille du fleuve Triton, parce que Zeus interposa son égide au moment où Pallas était sur le point de frapper Athéna, détournant ainsi son attention. Quant à l’égide, c’était un sac magique en peau de chèvre qui contenait

thèmes par l'artiste. Pallas et le Centaure peinte en 1469 est un thème antique. S'inscrivant parfaitement dans le developpement de la Renaissance et des ideaux inspirés des oeuvres antiques, Botticelli vient à en oublier les thèmes religieux et l'Eglise. La réalisation de cette peinture est due aussi au début du règne de Laurent le Magnifique qui était à l'origine de cette commande pour son cousin et sa femme, représentés respectivement sous les traits du Centaure et de Pallas. Nous remarquons que

mortelle) Arachné, qui provoque Pallas, la déesse des Arts. Les deux femmes se disputent sur la question de savoir qui est la plus experte. Pallas l’emporte (évidemment), ce qui condamne Arachné au « ressassement » éternel d’un même tissage. Les différents plans du tableau illustrent cet affrontement. Au plus près, Arachné (de dos) manipule un dévidoir, Pallas (de face) un rouet : toutes deux, apparemment, font montre de leur habileté. Plus loin, dans un second espace, Pallas casquée, de profil, rivalise

font d'Athéna la fille d'un certain Pallas, un géant ailé au corps de bouc, qu'elle massacra alors qu'il tentait d'abuser d'elle. Elle lui arracha la peau, s'en fit une égide et accola son nom au sien, devenant Pallas Athéna. Mais, selon d'autres légendes, Pallas était la fille de Triton (ce qui serait appuyé par l'épithète de "Tritogénie" dont on qualifie Athéna), et certains font de Pallas et d'Athéna une seule et même déesse, mais d'autres font de Pallas la compagne de jeux d'Athéna que celle-ci