Pannwitz

souvent insupportable et décrite de nombreuses fois dans le livre.Je vais vous lire deux passages qui illustrent parfaitement l'indifférence des allemands envers les detenus: → les interrogations d'un prisonniers p 27 → la rencontre entre le Doktor Pannwitz et Primo Levi (Kommando de Chimie )p163 Ces deux passages montrent le desinteret total que les allemands ont pour le sort des prisonniers, leurs paroles et interrogations n'ont aucunes valeurs. Cependant,un bourreau peut ponctuellement capable

sont pressentis pour faire partie du Kommando de chimie. Pour être recrutés, ils doivent passer un interrogatoire avec le docteur Pannwitz, chargé d’analyser leurs compétences. Au cours de cet examen, le narrateur constate que ses souvenirs de chimiste sont intacts et il se sent redevenir lui-même. Il lui faut pourtant supporter le regard humiliant que le docteur Pannwitz pose sur lui. CHAPITRE 11 : Le chant d'Ulysse ( 116 à 123) Rencontre de Jean, un jeune juif alsacien qui occupe le poste de

sont pressentis pour faire partie du Kommando de chimie. Pour être recrutés, ils doivent passer un interrogatoire avec le docteur Pannwitz, chargé d’analyser leurs compétences. Au cours de cet examen, le narrateur constate que ses souvenirs de chimiste sont intacts et il se sent redevenir lui-même. Il lui faut pourtant supporter le regard humiliant que le docteur Pannwitz pose sur lui. CHAPITRE 11 : Le chant d'Ulysse ( 116 à 123) Rencontre de Jean, un jeune juif alsacien qui occupe le poste de

sont pressentis pour faire partie du Kommando de chimie. Pour être recrutés, ils doivent passer un interrogatoire avec le docteur Pannwitz, chargé d’analyser leurs compétences. Au cours de cet examen, le narrateur constate que ses souvenirs de chimiste sont intacts et il se sent redevenir lui-même. Il lui faut pourtant supporter le regard humiliant que le docteur Pannwitz pose sur lui. CHAPITRE 11 : Le chant d'Ulysse ( 116 à 123) Rencontre de Jean, un jeune juif alsacien qui occupe le poste de Pikolo

Primo Levi est au camp depuis trois mois. Interrogatoire du docteur Pannwitz, pour apprécier les compétences des 7 candidats à l'examen de chimie : " Apparemment ça s'est bien passé mais ce serait fou de penser que le tour est joué." Au cours de cet examen, le narrateur constate que ses souvenirs de chimiste sont intacts et il se sent redevenir lui-même. Il lui faut pourtant supporter le regard humiliant que le docteur Pannwitz pose sur lui. CHAPITRE 11 : Le chant d'Ulysse Rencontre de Primo Levi

jongleur et mouchard » (p.247). Elias Lindzin est un juif polonais originaire de Varsovie. Les SS : Ils sont peu nombreux, n'habitent pas au camp et apparaissent rarement, préférant confier les basses-œuvres aux Kapos. Avec une exception notable : Pannwitz, qui dirige le laboratoire et fait passer à Levi l'examen de chimie. Il résume à lui seul la haine irrationnelle des Allemands à l'égard des Juifs et la folie du système nazi. Les "Triangles verts" : Ce sont les prisonniers de droit commun, candidats

retour à la maison près de sa famille ... En mai 1944, une journée décisive à lieu pour Alberto et Primo. Ils sont pressentis pour faire partie du Kommando de chimie. Pour être recrutés, ils doivent passer un interrogatoire avec le docteur Pannwitz, chargé d’analyser leurs compétences. Au cours de cet examen, le narrateur constate que ses souvenirs de chimiste sont intacts et il se sent " redevenir lui-même" malgré les regards et remarques humiliantes de son interlocuteur. Puis au

a volé. Nous sommes en mai 1944, Primo Levi est interné au camp depuis trois mois. Lui et Alberto, son compagnon, sont pressentis pour faire partie du Kommando de chimie. Pour être recrutés, ils doivent passer un interrogatoire avec le docteur Pannwitz, chargé d’analyser leurs compétences. Rencontre de Jean, un jeune juif alsacien qui occupe le poste de Pikolo. Jean propose au narrateur d’aller chercher ensemble la marmite de soupe. Cette promenade est l’occasion d’une conversation chaleureuse

profit de comportements de bêtes amorcé par une dépossession totale qu’on leur fait subir : une dépossession physique et mentale. Cet effet de « bestialisation » est renforcé par le regard que certains portent aux prisonniers. C’est le cas du docteur Pannwitz qui fait passer l’examen de chimie à des prisonniers dont Lévi. Le docteur se montre inhumain envers Lévi et le considère comme une bête : « Car son regard ne fut pas celui d’un homme à un autre homme {…} » (Chap10 p°163). Les prisonniers ont plusieurs

paupières, mes joues enflées,[...]. [Il] me fournit le condensé de son diagnostic: [...] toi juif foutu, toi bientôt crématoire, terminé." Primo se fait humilier et se fait traiter comme une bête. De fait, Levi raconte ce qu'il sent dans le regard de Pannwitz, lors de son examen de chimie: "Ce quelque chose que j'ai là devant moi appartient à une espèce qu'il importe sans nul doute de supprimer." Il se sent mépriser, même lui commence à douter du fait qu’il est un homme. Et ils se laissent guider par