Panturquisme

laissée de côté après la mort d’Atatürk, elle témoigne de l’attachement à la langue originelle, comme élément prépondérant de l’identité. - D’ailleurs, c’est bien au nom d’une langue originelle commune et d’un passé lointain commun qu’émerge le panturquisme. C’est Ziya Gökalp, un sociologue, qui est le premier à théoriser l’idée : on part de la Turquie, on unifie les Turcs Oghouz, et l’on réalise enfin le Touran qui comprend l’ensemble des turcophones, de l’Adriatique aux confins sibériens. B)

chaldéennes sont massacrées. La Russie qui occupait le nord de la Perse descend, réoccupe la Perse, donc les chrétiens sont protégés. Il y a d'autres mouvements de troupes. Dans le nord près de Kars, le ministre de la guerre (qui a une vision du panturquisme: réunir tous les Turcs d'Asie centrale, d'Azerbaidjan) commence la guerre en pénétrant en Transcaucasie. On est en plein hiver, il n'y a aucune logistique. L'armée est anéantie par le froid, le typhus, le choléra. C'est une défaite très lourde

en grande partie des chrétiens arabes qui veulent construire un espace arabe gouverné sur le mm mode que les états occidentaux modernes de la fin du 19è mais il se constitue contre l'empire Ottoman et plus spécifiquement contre les turcs) et le panturquisme (lui aussi de consistance linguistique, on peut le dater du début des 20's notamment au moment de la naissance du nationalisme turc. Il revendique l'unité de l'ensemble des espaces où la langue est de racine turc, ce projet disparaît en quelques

notre alphabet) Langues comme les religions peuvent être manipulées pour justifier des relations politiques, économiques privilégiées. L’exemple des langues turques a pu servir d’argument à l’idéologie qu’on a pu appeler le pantouranisme et le panturquisme. Pareil avec le panslavisme de la Russie pour les langues slaves. Hongrie et roumain 2 exceptions de langues de l’ancien bloc soviétique qui ne sont pas slavophone (hongrois : langue avec des points commun basque et surtout la Finlandelangue qui

génocide ». En Turquie[modifier]La reconnaissance du génocide est encore hors de question en Turquie. La nation turque a été imaginée par Mustafa Kemal Atatürk selon un modèle nationaliste fort, inspiré par l'idéologie de Ziya Gökalp proche du panturquisme : l'identité nationale est basée sur l'appartenance aux peuples turcs et leur glorification. Par la suite, ce sont les périodes de la révolution Jeunes-Turcs et du progressisme kemaliste qui furent glorifiées. Pendant la majorité du XXe siècle

prirent ces réformes comme un humiliant acte d’ingérence. Les Jeunes-Turcs pensaient que des réformes risqueraient de reproduire les résultats des guerres des Balkans mais dans ce cas à l’est, en Anatolie, le berceau, selon le CUP de la Turquie. Le panturquisme (regroupé au sein d’un Etat tous les Turcs) animait le régime jeune-turc. Si le protocole fut allégé par rapport à sa version première, des inspecteurs généraux européens furent nommés pour surveiller l’avancement des réformes. Les Arméniens se

domination du politique sur le religieux (le sultan domine le calife) n’empêchera pas la montée des identités nationales et le détachement progressif des différentes parties de l’empire. Prenant acte de cela et se convertissant par nécessité au Panturquisme les Jeunes turcs vont subir la concurrence des institutions religieuses, très critiques vis-à-vis des nouveaux maitres de l’empire. Ils seront rapidement convertis à la laïcité grâce à l’influence notamment des Francs Mâcons du Grand Orient de

autre empire... 1) L’Empire en guerre. Un bon nombre de conflictualité naissante dans la partie orientale de la méditerranée, au Liban, en Syrie, en Irak se construisent sur la fin de l’Empire Ottoman. En 1914, il y a une forme d’obsession avec le panturquisme etc.La guerre est l’ Cette obsession de la « Turkité » amène à des violences perpétrés contre les autres minorités : les chrétiens du Libans, les grecs pontiques ou encore et majoritairement les arméniens avec un génocide commandé. Point clé :

l’allégement de la dette énergétique a été négociée en échange de prises de participation russes dans le capital des entreprises d’Ukraine. Ce redéploiement se heurte à deux adversaires mineurs et à un troisième d’envergure. Les deux premiers sont le panturquisme, redouté au début de la décennie et l’islamisme politique : tous deux ont été contenus par la force centripète des nationalismes “ethniques” conjugués aux intérêts communs avec la Russie. L’islamisme est plus menaçant dans les pays d’Asie centrale

la peur de perdre les territoires de l'Arménie et le désir d'assurer l'intégrité des possessions en Asie Mineure. Enfin, en 1908, le parti Jeunes-Turcs prit le pouvoir en renversant «Abdul Hamid»38. La politique de ce parti Jeunes-Turcs est : «panturquisme»39 et «pantouranisme»40. Cet acte a créé la destruction de 75% de la population arménienne environ 1 million 500 mille personnes, la destruction des monuments historiques et l'éclatement de la nation arménienne : on a une création d'une diaspora