Papillomavirus

Recommandations générales 2ème dose entre 13 et 24 mois (de 12 à 15 mois si collectivité) Papillomavirus humains (HPV) Rattr Coqueluche acellulaire (ca) Hépatite B Méningocoque C (vaccin conjugué) 3 doses selon le schéma 0, 1ou 2 mois, 6 mois (filles) 1 dose dTcaPolio4 si non vacciné à 1113 ans 3 doses selon le schéma 0, 1, 6 mois Ou 2 doses selon le schéma 0, 6 mois5 de 11 à 15 ans révolus 1 dose6 Papillomavirus humains (HPV) 3 doses selon le schéma 0, 1 ou 2, 6 mois (jeunes filles de 15 à 18

LES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES (IST) CHEZ LE MOINS DE 25 ANS EN FRANCE Définition : Les infections sexuellement transmissibles (IST) regroupent des infections virales (sida, hépatites, herpès génital, papillomavirus responsable du cancer du col de l'utérus), bactériennes (gonococcies, infections à chlamydia, syphilis) et parasitaires (trichomonose uro-génitale). Elles se transmettent lors de rapports sexuels vaginaux, anaux, mais aussi lors de rapports bucco-génitaux. Domaine

2.2.3.1 cancer des bronches : - Le tabac - L’amiante, arsenic, chromates, nickel, béryllium - émanations de fours à charbon - radiations - oxyde de fer - substances chimiques organiques... 2.2.3.2 cancer du col de l’utérus : - Les papillomavirus humains HPV16 et HPV18 sont présents dans 80% des cancers du col de l’utérus. - l'âge précoce au premier rapport - la présence de multiples partenaires - le tabagisme - un niveau socio-économique bas. - La contraception par oestro-progestatif

Transmissibles sommaire Q u’est-ce qu’une IST ?  p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L’hépatite B p. 9 L’herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et la trichomonase p. 12 Les papillomavirus p. 13 La syphilis p. 14 Le VIH/sida p. 16 Les IST et le VIH/sida p. 19 La prévention p. 21 Le dépistage des ist p. 25 Les conseils p. 26 Qu’est-ce qu’une l IST? es IST sont les

l’utérus Frottis cervico-vaginal tous les 3 ans dès la période d’activité sexuelle et jusqu’à 25 ans. Dépistage des états pré cancéreux ( dysplasies ou néoplasies intra-épithéliales). Vaccin papillomavirus * Cancer du col * Lésions précancéreuses de la vulve * Liées au papillomavirus humains 6, 11, 16 et 18 * Recommandées pour les jeunes filles âgées de 14 ans, e,tre 15 et 23 ans qui n’auraient pas eu de rapports sexuels ou au plus tard l’année suivant le début de leur rapports

contraception ne se protègent pas forcémment donc risque d'attraper une ist comme sida, hépatite, papillo mavirus -cout supplémentaire pour la secu car soin liés aux ist très couteux comme la trithérapie, ou alors les interventions liés aux papillomavirus si cela dégénere en cancer etc. Par conséquent, la contraception a revolutionné la vie des couples. Cependant, la contraception est certes un moyen d'éviter une grossesse non désirée mais elle ne permet pas de se protéger contre les ist

On détecte cette IST lors d'un examen médical, par un prélèvement local ou une prise de sang, environ 1 semaine ou plus après contamination. Cette maladie n'est pas très grave mais est très déplaisante et il y a un risque de récidive. - Le papillomavirus entraine des petites lésons ou des petites verrues (condylomes) sur les organes génitaux ou l'anus. Ces signes apparaissent 1 à 8 semaines après la contamination. On le détecte par frottis lors d'une visite médicale. Si elle est non traitées,

doctissimo.ca) 2-Il n’y a pas de lien direct entre le cancer du col de l'utérus et les papillomavirus humains, un virus sexuellement transmissible. Faux, les recherches effectuées sur ces dernières années ont permis de découvrir le lien entre le cancer et le virus. Le cancer du col de l'utérus se développe à partir de lésions dites précancéreuses induites par différents types de virus de la famille des papillomavirus humains. Le virus s'attaque plus directement aux muqueuses dans le vagin. (http://www

influence sur les mutations du gène P53. Dans le document 4 on peut voir que le pourcentage de HPV16/18 est de 82 %, celui des autres HPV est de 17 % et seulement 1 % sans HPV pour des cancers du col de l'utérus associés à des infections par papillomavirus on peut donc en déduire qu'un virus peut endommager la protéine P53. I) Le développement d'un cancer : 1) Les bases génétiques : Des mutations accidentelles du génome peuvent se produire dans des cellules somatiques et se transmettre à

secondaires comme les brûlures gastriques du tabès. 6) Le Virus Du Papillomavirus Le virus du papillome humain (VPH) est un virus à ADN faisant partie de la famille des Papillomaviridae. Il est responsable des infections sexuellement transmissibles les plus fréquentes puisque l'estimation des personnes actuellement contaminées par ce virus est comprise entre 10 et 30 %. Il existe environ 200 génotypes de papillomavirus. Certains génotypes se transmettent par voie sexuelle et infectent les muqueuses