Papillomavirus

mutations ou des lésions de l’ADN – les UV dimérisent par exemple les nucléotides de thymine. - les mutagènes biologiques sont les virus, bactéries et parasites qui peuvent être à l’origine d’un cancer. Les exemples les plus connus sont le virus du papillomavirus humain (HPV), à l’origine du cancer du col de l’utérus, ou le virus de l’hépatite C parfois à l’origine du cancer du foie. - les mutagènes chimiques sont les plus nombreux. Ils incluent le rôle de la pollution, les substances cancérogènes que

résultats peu probants [2], alors qu’un cancer risque de se déclarer 30 ans ou plus après une infection. En outre, les indices actuels montreraient plutôt une efficacité préventive contre les dysplasies, qui sont des lésions précancéreuses dues aux papillomavirus, mais qui ne permettent pas de conclure à une efficacité contre les cancers du col utérin eux-mêmes [3]. • Il existe un risque non négligeable que le vaccin favorise l’infection par d’autres souches de HPV qui déjoueraient plus facilement les

maladies sexuellement transmissibles Les maladies sexuellement transmissibles sont des maladies infectieuses provoquées par des bactéries (gonocoques, Treponema pallidum responsable de la syphilis, chlamydia…), des virus (hépatite B, HIV, herpès, papillomavirus …), ou des mycoses (Candida albicans). Ces infections se transmettent lors de rapports sexuels mais peuvent également se transmettre par d’autre voies : une mycose peut être provoquée par la prise d’un antibiotique, l’hépatite B peut se transmettre

représentent respectivement environ 80 % et 20 % des cancers bronchiques. Col de L’utérus virus de papillome humain (VPH) est responsable de l’infection. Une étude a été réalisée pour montrer s’il existait un lien entre une infection par le papillomavirus et le cancer du col de l’utérus. L’étude a été réalisée sur deux groupes de femmes, un groupe « témoin » et un autre « cancer ». 80% des femmes « témoins » n’ont pas été infectées par le VPH alors que 80% des femmes « cancer » ont été infectées

vaccinations recommandées concernent : • les maladies telles que la coqueluche, la rubéole, la rougeole, les oreillons, la varicelle, • les infections invasives à haemophilus influenza b, à pneumocoque, à méningocoque C, • les infections à papillomavirus humains (pour les jeunes filles entre 11 et 14 ans), • les hépatites B et A (pour les professionnels exposés à un risque de contamination). Calendrier À la naissance • BCG : uniquement pour les enfants exposés à un risque élevé (résidant

gros risque est quand même présent. Mais les préservatifs ne peuvent protéger du papillomavirus. D’autres méthodes a adopter sont le vaccin comme par exemple celui contre l’hépatite B extrêmement contagieuse qui a permis à Taiwan en 20 ans de diminuer le nombre de mort par cancer du a une hépatite de pres de 80%. Il existe aussi des moyens de dépistage qui mené vers des vaccins comme par exemple pour le papillomavirus a réduit par trois le nombre de décès en 1 an. Toutes ces méthodes sont à adopter

Les maladies sexuellement transmissibles Table des matières Introduction 3 1 Human Papillomavirus 5 2 Herpès 6 3 Gonorrhée 7 4 Syphilis 8 4.1 La Syphilis primaire : 8 4.2 La Syphilis secondaire : 8 4.3 La Syphilis tertiaire : 9 5 Hépatites B et C 10 5.1 Hépatite B : 10 5.2 Hépatite C : 11 6 Le VIH 12 6.1 Etre séropositif 12 6.2 Etre séronégatif 12 6.3 La contamination 12 6.4 La protection contre le SIDA 13 6.5 Le traitement contre le SIDA 13 6.6 Les fausses idées de transmission

Je présenterai cette partie par trois types de prévention : primaire, secondaire et tertiaire. PARTIE 1 : LES CAUSES 1 Les causes La principale cause du cancer de l’utérus est un virus, le Papillomavirus Humain (HPV), dans 99,7 % des cas. Certains types de ce virus, en infectant les cellules de la muqueuse du col de l’utérus, peuvent transformer les cellules normales en cellules anormales, qui pourront évoluer dans un petit nombre de cas, et

facilement. Mais il existe aussi d’autres types de facteurs moins visibles. C’est le cas dans le cancer du col de l’utérus. B – Le cancer du col de l’utérus 99% des cancers du col de l’utérus sont associés à des infections par un papillomavirus (HPV). C’est un virus transmissible lors des premières relations sexuelles. Il en existe plus de 200 formes différentes mais les plus virulents sont le HPV16 et/ou 18 car ils sont responsables de 82% des cancers du col de l’utérus. Ils agissent

l'utérus correspond au développement d'une tumeur maligne au sein de ses tissus. C'est un cancer sexuellement transmissible impliquant un virus : le virus HPV (Human Papilloma Virus) d'un type particulier « dit à haut risque » (ou oncogène). Les papillomavirus humains (HPV) sont des virus de petite taille, qui infectent spécifiquement la peau et les muqueuses. Certains types, dits « non oncogènes », induisent des lésions bénignes alors que les types dits « oncogènes » sont responsables du cancer du