Parc de Bagatelle

couchée au retour. Le lendemain au déjeûner, ce n’était plus la même femme. La douceur naturelle était revenue, et j’eus lieu de me croire pardonné. Le déjeûner était à peine fini, que la douce personne se leva d’un air indolent, et entra dans le parc ; je la suivis, comme vous pouvez croire. « D’où peut naître ce désir de promenade ? lui dis-je en l’abordant. — J’ai beaucoup écrit ce matin, me répondit-elle, et ma tête est un peu fatiguée. — Je ne suis pas assez heureux, repris-je, pour avoir à

trouvâmes couchée au retour. Le lendemain au déjeuner, ce n'était plus la même femme. La douceur naturelle était revenue, et j'eus lieu de me croire pardonné. Le déjeuner était à peine fini, que la douce personne se leva d'un air dolent, et entra dans le parc ; je la suivis, comme vous pouvez croire. «D'où peut naître ce désir de promenade ? » lui dis−je en l'abordant. «J'ai beaucoup écrit ce matin», me répondit−elle, «et ma tête est un peu fatiguée.» − «Je ne suis pas assez heureux, repris−je, pour avoir

Pellerin. « Je peux faire des chefs-d’œuvre ! » — « Tant pis pour vous, alors ! on n’a pas le droit… » — « Comment ? » — « Non ! monsieur, vous n’avez pas le droit de m’intéresser à des choses que je réprouve ! Qu’avons nous besoin de laborieuses bagatelles, dont il est impos¬sible de tirer aucun profit, de ces Vénus, par exemple, avec tous vos paysages ? Je ne vois pas là d’enseignement pour le peuple ! Montrez-nous ses misè-res, plutôt ! enthousiasmez-nous pour ses sacrifices ! Eh ! bon Dieu, les

on parlait à vingt lieues à la ronde et jusque dans les voitures publiques, d'Angers à Blois inclusivement? Au commencement de 1818, les Cruchotins remportèrent un avantage signalé sur les Grassinistes. La terre de Froidfond, remarquable par son parc, son admirable château, ses fermes, rivières, étangs, forêts, et valant trois millions, fut mise en vente par le jeune marquis de Froidfond obligé de réaliser ses capitaux. Maître Cruchot, le président Cruchot, l'abbé Cruchot, aidés par leurs

pis pour vous, alors ! on n'a pas le droit.... " −− " Comment ? " Chapitre V. 38 L'éducation sentimentale −− " Non ! monsieur, vous n'avez pas le droit de m'intéresser à des choses que je réprouve !. Qu'avons−nous besoin de laborieuses bagatelles, dont il est impossible de tirer aucun profit, de ces Vénus, par exemple, avec tous vos paysages ? Je ne vois pas là d'enseignement pour le peuple ! Montrez−nous ses misères, plutôt ! enthousiasmez−nous pour ses sacrifices ! Eh ! bon Dieu, les sujets

trouvâmes couchée au retour. Le lendemain au déjeuner, ce n'était plus la même femme. La douceur naturelle était revenue, et j'eus lieu de me croire pardonné. Le déjeuner était à peine fini, que la douce personne se leva d'un air dolent, et entra dans le parc ; je la suivis, comme vous pouvez croire. «D'où peut naître ce désir de promenade ? » lui dis−je en l'abordant. «J'ai beaucoup écrit ce matin», me répondit−elle, «et ma tête est un peu fatiguée.» − «Je ne suis pas assez heureux, repris−je, pour avoir

couchée au retour. Le lendemain au déjeuner, ce n'était plus la même femme. La douceur naturelle était revenue, et j'eus lieu de me croire pardonné. Le déjeuner était à peine fini, que la douce personne se leva d'un air dolent, et entra dans le parc; je la suivis, comme vous pouvez croire. " D'où peut naître ce désir de promenade? " lui dis-je en l'abordant. " J'ai beaucoup écrit ce matin " , me répondit-elle, " et ma tête est un peu fatiguée. " - " Je ne suis pas assez heureux, repris-je, pour

trouvâmes couchée au retour. Le lendemain au déjeuner, ce n'était plus la même femme. La douceur naturelle était revenue, et j'eus lieu de me croire pardonné. Le déjeuner était à peine fini, que la douce personne se leva d'un air dolent, et entra dans le parc; je la suivis, comme vous pouvez croire. “D'où peut naître ce désir de promenade?” lui dis-je en l'abordant. “J'ai beaucoup écrit ce matin”, me répondit-elle, “et ma tête est un peu fatiguée.” - “Je ne suis pas assez heureux, repris-je, pour avoir

trouvâmes couchée au retour. Le lendemain au déjeuner, ce n'était plus la même femme. La douceur naturelle était revenue, et j'eus lieu de me croire pardonné. Le déjeuner était à peine fini, que la douce personne se leva d'un air dolent, et entra dans le parc; je la suivis, comme vous pouvez croire. "D'où peut naître ce désir de promenade?" lui dis−je en l'abordant. "J'ai beaucoup écrit ce matin", me répondit−elle, "et ma tête est un peu fatiguée.""Je ne suis pas assez heureux, repris−je, pour avoir à me

depuis toujours. — C'est le moment d'apporter tes gâteaux, Ruth, dit-il en posant une main sur l'épaule de la jeune femme. — Oui, monsieur. — Monsieur ? répéta-t-il en haussant ses épais sourcils. Tu m'appelais « oncle Bob » quand nous t'emmenions au parc, Danny et moi. Tu ne te souviens pas du Monstre des Guilis ? — Oh si, je m'en souviens. Elle sentait la moiteur de la main de Lindahl traverser le coton de son chemisier blanc. A voir comme il la lorgnait, elle était heureuse de porter un pantalon