Parchemin

civilisation, exemple : le papyrus en Egypte, le papier de riz en Chine ou le parchemin en Europe. Avec le temps, les outils se perfectionnent avec le temps et c’est ainsi qu’après l’invention de l’imprimerie, succède une nouvelle évolution : l’informatique. II. Les premières formes du livre Le livre s’est répandu aux alentours du 9 ou 10ème siècle. 1. Le moyen âge  Au moyen âge, le livre est sur un parchemin. Il est manuscrit jusqu’aux alentours de 1450, c’est-à-dire qu’il y a des scribes

pierre ? Pas tout ce qui est gardé sur des ordinateurs, ou n’importe quel autre « machine moderne », est un sacrilège envers toute la littérature. C’est juste une évolution de la manière dont on transporte les œuvres, comme un jour on a évolué du parchemin au papier. Est-ce-que cela a menacé la disparition de la littérature à cette époque là ? Non, la littérature restera, et, même si son apparence sera différente, Elle restera un des piliers fondamentaux de notre culture, qui s’agrandit jour après

nombre par un « M » pour exprimer des milliers. Les outils Les outils utilisés pour écrire étaient assez variés. L’encre était essentiellement composée de suie broyée et délayée dans de l’eau, elle permettait d’écrire sur du papyrus ou du parchemin. Cette encre était mise dans des encriers qui pouvaient être en céramique, en bronze ou encore en terre cuite ; on les appelait atramentarium. Les Romains utilisaient aussi la cire d’abeille, qu’ils faisaient fondre sur des tablettes en bois ce qui

XIe siècle et se trouve dans une abbaye italienne. Enluminure : illustration peinte dans un manuscrit. Le manuscrit, au Moyen Age, n’est pas en papier car ça n’a pas encore été importé en Europe (c’est une invention des Chinois), mais en parchemin. Le parchemin est réalisé à partir de la peau d’animaux tannée et nettoyée. C’est très solide. Au centre, on voit une figure féminine, beaucoup plus grande que les autres ce qui signifie qu’elle domine tout le monde. Une légende en latin, au-dessus de

et sont réutilisés par les Romains mais cette fois-ci enroulé autour de deux bâtons de bois. Codex : Au IIème siècle après J-C., apparait le Codex, qui vient remplacer le rouleau de papyrus. Le codex est un livre formé de plusieurs feuilles de parchemin assemblées et d’une couverture. Les pages sont reliées entre elles et permettent ainsi d’accéder directement à la page voulu, contrairement au rouleau de papyrus. La reliure qui était le plus souvent décoré constituait la marge. Chaque page du codex

org/bloodwolf/erudits/plineancien/livre13.htm + http://classes.bnf.fr/livre/arret/histoire-du-livre/premiers-supports/04.htm Or, ce support est d’une extrême fragilité et bien sûr très cher compte tenu de sa rareté. Aussi le Moyen-âge se tourne-t-il vers le parchemin bien plus résistant. La peau commence à concurrencer la plante à partir d’Umène II (-197/-159) roi de Pergame qui en décrit le procédé de fabrication "la membrana pergamena scripta manent" ou aussi (221.12) https://fr.wikisource.org/wiki/Trait%C3%A9_de_documentation/Le_Livre_et_le_Document

textes, ou de mettre en rapport des passages éloignés. I.2. Le codex L'apparition du codex (pluriel: codices), qu'on peut définir comme livre avec des pages cousues ensemble est liée à l'utilisation de nouveaux supports d'inscription comme le parchemin. Même s'il a existé des codices de papyrus ou de tablettes de bois, c'étaient des matériaux peu pratiques pour cet usage. Pline l'Ancien ( Histoire naturelle, XIII,11) raconte que le roi d'Egypte Ptolémée, voulut défendre le secret de fabrication

livre. Le volumen était beaucoup plus fragile que le livre et beaucoup plus gros. On ne pouvait pas mettre le contenu d'un livre sur un seul rouleau. Le volumen est un papyrus alors que le livre est en parchemin (peau d'animal) Le volumen était donc beaucoup plus fragile, friable. Le parchemin de veau s'appelle le vélin (c'est le plus beau). Avec l'apparition du livre l'attitude corporelle du lecteur a changé. Avec le volumen le lecteur ne pouvait pas lire et écrire en même temps, avec le codex

texte manuscrit ou imprimé ». Dans son Nouveau Dictionnaire universel (édition de 1870), Maurice Lachâtre le définit comme un « assemblage de plusieurs feuilles de papier, de vélin, de parchemin, imprimées ou écrites à la main cousues ensemble et formant un volume recouvert d'une feuille de papier, de carton, de parchemin, de basane, de veau, de maroquin, etc. » Quant à l'Académie française, elle donne les définitions suivantes : « I. Assemblage de feuilles manuscrites ou imprimées destinées à être

à la main », que ce soit par son auteur (manuscrit autographe) ou non. Le propre de tout manuscrit est d'être un objet unique, qui n'est pas multiplié par des procédés mécaniques de reproduction, défini par son format, son support (papier, parchemin, cuir, etc.), le nombre de lignes par page et de mots par ligne, le style de l'écriture, la couleur de l'encre. Il n'existe donc jamais deux manuscrits identiques, même s'il peut arriver que le texte de deux manuscrits soit identique. Par extension