Participation Des Citoyens Au Pouvoir Politique

Préambule Fidèle à son choix irréversible de construire un État de droit démocratique, le Royaume du Maroc poursuit résolument le processus de consolidation et de renforcement des institutions d’un État moderne, ayant pour fondements les principes de participation, de pluralisme et de bonne gouvernance. Il développe une société solidaire où tous jouissent de la sécurité, de la liberté, de l’égalité des chances, du respect de leur dignité et de la justice sociale, dans le cadre du principe de corrélation

Deux communautés politiques aux enjeux différents A) Deux contrastes géographiques Athènes est une cité états. Espace urbanisé avec des murs d'enceinte plus tout se qu'il y a autour constitué d'un espace rurale. Elle est organisée en 3 points : lieux de pouvoir (la pnyx, agora, héliée), lieu de culte civique et lieu culturel. Athènes est à la tête d'un empire. Rome s'étend sur 5,000 KM2 B) Une grande différence démographique Athènes: environ 250, 000 habitants au Veme siècle, dont

mythe du citoyen passif ». De nos jours et depuis vingt ans, l’intérêt de la sphère politique vis-à-vis des citoyens est très critiqué. Principalement sur le fait du taux d’abstention qui inquiète énormément. Le travail de Pierre Rosanvallon, historien, sociologue et intellectuel français né en 1948, se penche sur l’histoire de la démocratie, du modèle politique français, le rôle de l’Etat,… etc. Ici, il nous présente son texte paru dans Le Monde en juin 2004 : « Le mythe du citoyen passif »

la Grèce antique. Selon cette perspective, le peuple détient la souveraineté et doit s'engager activement dans les affaires politiques. Il utilise fréquemment la citoyenneté antique pour critiquer la citoyenneté moderne, ce qui donne lieu à un débat réel entre les partisans des Anciens et des Modernes . Ce débat conduit à des conceptions politiques différentes et à des perspectives divergentes sur la notion de liberté. C'est dans ce contexte que nous

des droits de l'homme et du citoyen les piliers sur lesquels l'édifice démocratique allait s'appuyer sont posés. Le premier est la liberté de la presse. L'article 11 est sans concession, il affirme que la liberté d'opinion et le droit de la communiquer est un des droits les plus fondamentaux de l'homme. En effet, si le peuple doit être représenté, il ne peut l'être correctement que s'il est suffisamment sensibilisé à ce qui se passe dans les hautes sphères du pouvoir. En cela, la Révolution a été

les textes juridiques français.  Nous devons ces principes à la révolution française.  La  notion  de  liberté  peut  se  décliner  sous  plusieurs  formes.  Dans  l’opinion  commune  l’idée  de  liberté  renvoie  la  possibilité  de  pouvoir agir selon sa propre volonté, dans le cadre d'un système politique ou social, dans la mesure où l'on ne porte pas atteinte  aux droits des autres et à la sécurité publique. Mais dans le contexte de la révolution, le mot prend plus d’ampleur. Il prend une  connotation universelle

Traité de Maastricht. p3 B) Les droits du citoyen. p4 C) Citoyenneté incomplète et non autonome. p4 D) Doit-elle se substituer ou se superposer à la citoyenneté nationale ? notre avis. p4 II. Etat nation ou supranationalité p5 A) Définitions : p5 a) Europe des nations. p5 b) Europe supranationale. p5 B) Avis des partis politiques. p5 a) Les marxistes (communistes.)

la representation et de la participation de la societe civile face a l Etat ont souvent ete posees mais jamais resolues. Le processus de participation citoyenne amorce dans la constitution de 1979 se heurte a cette culture autoritaro-centraliste de l Etat qui, malgre la mise en place d une politique de decentralisation, n arrive pas a creer d espaces institutionnalises pour garantir la communication et la coordination entre la societe civile organisee et les pouvoirs publics. La constitution de

Définitions essentielles : * Politique : à l’origine il désigne les affaires de la Cité. Aujourd’hui il convient de distinguer le politique et la politique. La politique renvoie à un ensemble d’activité et à un espace de compétition pour la conquête et l’exercice du pouvoir. Pour Weber c’est « l’ensemble des efforts que l’on fait en vue de participer au pouvoir ou d’influer sur la répartition du pouvoir. ». Le politique renvoie à un espace social. Braud définit ainsi le politique : « un champs social dominé

SCIENCE POLITIQUE I. INTRODUCTION A LA SCIENCE POLITIQUE Science politique = discipline : complexe comme toutes les sciences sociales car prend en compte de nombreuses variables (géographie, religion, éducation, âge, sexe...) accessible car pas besoin d'être politologue pour faire de la politique, c'est de l'intérêt de tous. => aspect subjectif de la politique (cf militants qui cherchent à convaincre dans le but d'avoir une influence). A pour objectif d'étudier l'histoire politique du monde