Participation Des Habitants

............... p. 17 Renouveler la démocratie par la créativité ? ...................................................................... p. 19 Participation des citoyens : comment dépasser les blocages ? par Michel Bonetti .......................................................... p. 20 Interview : Pierre Mahey : « La participation des habitants est un facteur d’innovation » ........................................ p. 23 Dialogue citoyen : l’expérience nantaise par Luc Stéphan .............

« PUBLICS » CONCERNÉS À LA PRISE DE DÉCISION Par « publics » nous entendons, l'ensemble des parties prenantes du projet tels que les habitants, les usagers, les salariés riverains, c'est-à-dire toute personne qui vit, habite,travaille, se déplace et fréquente les équipements sur le territoire. Contexte: Le choix des outils relève du constat suivant : la participation reste fortement encadrée et sujette à des problématiques secondaires donnant l'illusion de participer. En effet, ce sont souvent

l’améliorationconstante du rendement et des conditions de travail, la découverte de méthode toujours destinés à accroître la production et par la voie de conséquences la richesse nationale. - Paiement des impôts :L’impôt est la participation de chaque citoyen aux dépenses de l’Etat. Tous les habitants du pays sont concernés. On distingue plusieurs impôt parmi lesquels La citoyenneté active est la mise en œuvre dans la vie de tous les jours de son rôle de citoyen. Elle passe essentiellement par le fait associatif

commune et l'A.N.A.H qui fixe les aides financières attribuées par chaque partie Z.A.C : [Zone d'aménagement Concerté] => Programme d'aménagement qui a pour objectif de créer un quartier au sein d'une ville. => Le dossier est porté aux habitants et il précise les équipements publics. Documents d'urbanismes : | Certificat d'urbanisme | Permis de construire | Définition | Renseigne les personnes sur les règles d'urbanismes liées au terrain. CUI certificat d'information

la composition urbaine 6 II. Les terrains de l’urbanisme 6 A. Les nouveaux quartiers : l’urbanisme de développement 6 B. Le centre urbain et les quartiers dégradés : l’Urbanisme de gestion 7 C. Les quartiers anciens d’habitat : l’urbanisme de participation 7 D. Au-delà de la ville : l’urbanisme rural à l’urbanisme de préservation 8 III. Les champs d’application de l’urbanisme 8 A. L’habitat 8 B. Les activités 9 C. Les transports 9 D. Les équipements 9 IV. Les voies et moyens de l’urbanisme 10 A.

le pôle jeunesse et petite enfance et le pôle animation de vie de quartier et participation des habitants. Il s’appuie sur une équipe composée de bénévoles encadrés par des salariés dans les activités telles que l’accompagnement à la scolarité, les ateliers d’apprentissage du français, les cours d’informatique, la ludothèque, les « ateliers femmes », les ateliers d’éveil musical, la chorale… Il associe les habitants à ses projets et anime la vie sociale du quartier à travers les activités menées

expriment un mode de vie. Plus spécifiquement, en géographie, organisation des espaces de vie des individus et des groupes. […] » (2003). Cet extrait, tiré du dictionnaire de la géographie et de l’espace des sociétés, nous rend attentif au fait que les habitants construisent leurs habitudes de vies par l’organisation de cet espace de vie. On comprend alors l’intérêt porté à l’urbanisme de nos jours dans un but de réorganiser les espaces sociaux et de réaménager le territoire dans son ensemble, qu’il soit

Le code général des collectivités territoriales à travers son article L. 2141-1 fait du « droit des habitants de la commune à être informés des affaires de celle-ci et à être consultés sur les décisions qui les concernent » un principe essentiel de la démocratie locale indissociable de la libre administration. Mais, l’information n’est que le préalable et la condition d’existence de la participation des administrés. Celle- ci a été reconnue et organisée par la loi ATR du 6 février 1992, et par la

assiste à un changement progressif de la population, une population plus hétérogène, plus fragile… Le militantisme et l’importance associative y est plus faible. S’accroît alors une certaine « désorganisation » : « Souvent les plus anciens des habitants décrivent une déchéance continue liée à la transformation du peuplement du quartier. C’est alors l’appel à une communauté ouvrière détruite par la concentration des immigrés et des « cas sociaux » qui s’impose. » c. Les deux grandes conséquences

nouveaux possibles, mettent à mal nombre de structures sociales et désunissent trop d'existences personnelles. Notre conception du Centre social et socio-culturel Le Centre social et socio-culturel entend être un foyer d'initiatives porté par des habitants associés appuyés par des professionnels, capables de définir et de mettre en œuvre un projet de développement social pour l'ensemble de la population d'un territoire. Nos valeurs de référence Se plaçant dans le mouvement de l'éducation populaire