Participation Des Habitants

Les Conseils de quartier La participation des habitants à la gestion urbaine de leur quartier en France Contexte et mise en œuvre des conseils de quartier L’histoire des conseils de quartier est étroitement liée à l’émergence du concept de « démocratie de proximité » en France et au processus de décentralisation mis en place. Alors que la loi de « démocratie participative » adoptée par le gouvernement Jospin en 2002 permet la création des conseils de quartier, dans les termes, l’expression de « démocratie

l’habitat (circulaire dite « barres et tours ») 21 mars 1973 Grands ensembles Lutte contre la ségrégation La circulaire vise à remédier aux défauts des « grands ensembles » (de plus de 2000 logements) peu conformes aux aspirations des habitants. Elle incite également la lutte contre la ségrégation sociale. Il s’agit de lutter contre les tendances à la ségrégation qu’entraine la répartition des diverses catégories de logements entre les communes des agglomérations urbaines. Programme opération

contribue à construire des alternatives éducatives, économiques, sociale. Les valeurs fondamentales qu’elle défend et qui fondent son action sont : l’émancipation, la coopération, la solidarité, la justice. Son objectif est de fonder en actes une participation égale de chacun à une démocratie continuée qui soit le produit d’une vie en société riche et diversifiée afin que chaque individu comprenne l’ensemble des citoyens sans distinction de condition ou d’origine. Portés par l’ensemble du tissu associatif

résultats IV. Apport de l’approche participative V. Avantages et inconvénients de la participation. 1- Principaux points forts de l’approche participative 2- Principaux risques et limites de l’approche participative VI. La participation de la population au développement local: une nécessité Deuxième partie : Enquête participative et Modélisation des déterminants de la participation I. Contexte général de l’enquête 1- Présentation de la Mauritanie 2- Présentation

est-il né ?......................................................................................................... 7 c. La finalité du projet : son déroulement sur les deux jours .............................................. 8 d. La participation des jeunes et des familles dans le projet ............................................... 8 e. Budget prévisionnel de l’action 2014............................................................................ 10 Montant .................

plus pauvres que si elle repose sur l’adhésion des populations aux principes démocratiques et leur réelle participation au débat public. C’est à cette adhésion populaire à la démocratie dans la capitale malgache que cet article s’intéresse. Si l’adhésion des Malgaches et tout particulièrement des Tananariviens à la démocratie est solide et largement partagée (première partie), les habitants des quartiers les plus pauvres de la capitale marquent systématiquement une plus grande défiance à l’égard

de vue politique et tenter d’installer l’organisation politique qui leur conviendrait au mieux. Seulement, alors qu'aux premières heures de la cinquième république les citoyens se sentaient fortement concernés par la vie politique du pays, la participation aux élections s’est peu à peu dégradée. Depuis 1990, les taux d’abstention aux élections augmentent de plus en plus pour quelques fois atteindre plus de 50%, et ce sans compter le nombre de personnes en âge de voter non-inscrites sur les listes

différents acteurs comme nous le démontre la couverture du magazine du Conseil régional de la région Centre de décembre 2010. En effet, ce document présente l’intérêt des forums participatif pour l’aménagement de la région en insistant sur la participation des habitants. Ainsi, nous pouvons expliquez que le conseil régional intervient avec d’autres acteurs même s’ils sont limités. L’illustration donne une image moderne de la région Centre avec la présence de tours de bureaux, de logements et d’éolienne

de partage et d’expression. Aujourd’hui les centres sociaux et culturels sont devenus des structures de proximités, se trouvant massivement dans les quartiers en difficultés, et permettant d’accueillir les habitants de ces quartiers. La ville de Pessac, près de Bordeaux, en Gironde, compte trois centres sociaux : celui de Saige, Alouette et la Châtaigneraie-Arago.

convivial ; ainsi que des projets participatifs pour que les habitants prennent des initiatives et mènent des actions. Depuis 2009, et dans le cadre du projet de rénovation urbaine, la structure doit développer les axes suivants : favoriser l'ouverture sur l’extérieur et développer le lien social du quartier, soutenir la vie associative locale et développer la participation des habitants : mobilisation / implication des habitants dans leur quartier, mixité sociale et intergénérationnelle