Partis Politiques Sous La Ve République

différents domaine et notamment pénale et politique. Ainsi la responsabilité pénale est l’obligation faite à une personne reconnue coupable par un tribunal de répondre d’une infraction délictueuse commise ou dont elle est complice, et de subir la sanction pénale prévue par le texte qui les réprimes. S’agissant de la responsabilité politique, c’est l’obligation pour le gouvernement de démissionner lorsqu’il ne dispose plus de la confiance de l’autorité politique devant laquelle il est responsable, en

La Ve République, des institutions garantes de la stabilité politique ? 1. L'analyse du sujet a) Les termes du sujet La Ve République → se demander à quel régime elle succède et dans quelles conditions ; préciser la date, l'auteur (le général de Gaulle) et le pourquoi de ce changement. Institutions → rappeler les différents pouvoirs définis par la Constitution. Garantes → montrer que les institutions affirment, maintiennent et cautionnent la stabilité. La stabilité politique → indiquer

Le rôle du peuple dans les institutions de la Ve République « Le peuple n’a jamais exercé le pouvoir et ne l’exercera jamais » selon Olivier Duhamel. Pourtant la définition même de la démocratie implique le gouvernement du peuple par lui-même et pour lui-même, principe posé par l’article 2 de la Constitution de la Ve République, promulguée en 1958. Dans la conception rousseauiste absolue, la souveraineté du peuple implique même la prise de décision par le peuple. Les citoyens cherchent

chronologique embrassé est précisé dans l’intitulé de la question obligatoire (« La Ve République : un régime politique inscrit dans la durée »). Il l’est également dans le titre des sujets d’étude. « Les Français et la construction européenne » couvre explicitement une période s’étendant « de la fin des années 1950 à nos jours » ; la « Géographie électorale de la France » reste circonscrite à « la Ve  République » ; le sujet d’étude consacré à « Charles de Gaulle, une vie d’engagements », conduit

La responsabilité de l’exécutif sous la Ve République La notion de responsabilité des membres de l’exécutif est devenue un thème majeur de la vie politique française et dès lors, un sujet fréquemment évoqué au sein de l’opinion publique. En effet, un exemple récent l’atteste. Le 15 novembre dernier, les sénateurs socialistes ont présenté un texte au Palais du Luxembourg portant sur le thème de la destitution du Président de la République. Ce texte, lourd de symbole pour la nouvelle majorité

COMPOSITION : DE GAULLE ET LA Ve REPUBLIQUE La Ve République a aujourd'hui cinquante ans ce qui prouve sa stabilité à l'heure où une importante réforme vient de l'actualiser. Sa naissance est intervenue dans un contexte de faillite relative de la IVe République, caractérisée par une «valse des ministères» et emportée définitivement en mai 58 par l'arrivée au pouvoir du Général de Gaulle. Celui-ci est alors célèbre auprès des Français pour son rôle dans la résistance à partir de 1940, sa participation

1958: DES REPONSES AUX ECHECS DE LA IV REPUBLIQUE ? Introduction: "Le président de la République doit être la clé de voute de notre régime parlementaire". Voici ce qu'énnonce Michel Debré dans son discours devant le Conseil d'Etat le 27 aout 1958. Pour Debré, la rationnalisation du parlement est nécessaire, pour une meilleure stabilité des institutions. Et le président de la République devrait être l'arbitre dans ces institutions. En effet la IVe République a été un échec pourtant elle a été une

LA DIMENSION PRESIDENTIALISTE DE LA Ve REPUBLIQUE La Ve République a introduit une nouvelle dimension qu’on qualifie de dimension présidentialiste de la République. Qu’est-ce que le présidentialisme ? D’après Jean Gicquel, c’est un mode d’exercice du pouvoir dans lequel le président est tout. Cependant, il ne faut pas confondre le présidentialisme avec le régime présidentiel ou bien encore le régime semi-présidentiel. Le présidentialisme est un exercice du pouvoir consistant à tout faire

François Mitterrand et la Ve République Introduction François Mitterrand, né le 26 octobre 1916 et mort le 8 janvier 1996, est un homme d'État français. Étant à la fois président de la République, Premier secrétaire du Parti socialiste, Député et Sénateur de la 3e circonscription de la Nièvre, il a laissé considérablement sa marque dans l’histoire de la Ve République. Après avoir étudié la vie politique de François Mitterrand, je m’intéresse à un sujet, qui est aussi la problématique d’aujourd’hui :

président de la République sous la Ve République est-il un leader ou un arbitre ? « Si vous me permettez une image empruntée à l’architecture, je dirais qu’à ce régime neuf il faut une clef de voûte. Cette clef de voûte c’est le Président de la République. » cette phrase très connue prononcée par Michel Debré le 27 août 1958 dans son discours au Conseil d’Etat, laisse deviner la place primordiale et centrale qu’occupera le chef de l’Etat au sein des institutions de la Ve République. Le terme