Pas De Coté Maçon

jamais entendu traiter ce sujet depuis mon entrée en maçonnerie , j’avancerais prudemment , avec le souhait de voir de plus éclairés que moi vous apporter leurs lumières. Tout d’abord , un peu d’histoire. C’est dans la cérémonie de réception des Maçons opératifs , dès le Moyen-Age que se trouve certainement l’origine de notre actuelle cérémonie d’initiation. Même si nous n’avons que peu de renseignements sur le déroulement précis de cette réception , elle s’adressait au Compagnon et rien n’indique

phase avec les coutumes, les habitudes de vie, le climat,… Lors de cette construction, il a favorisé l’utilisation de matériaux locaux (briques de boue,…) , et même d’une main d’œuvre locale(maçons principalement). Par exemple, lors de la réflexion en vue de la réalisation d’une voûte, il a fait appel à un maçon tout simplement qui avait une technique simple mais efficace qu’il avait développé de lui-même. Cependant l’architecte devait réaliser un « lotissement » d’une vingtaine de maisons. Il en a

franc-maçonnerie à donner à personne. Ma présentation de la franc-maçonnerie sera la plus large, la plus exhaustive possible, et, bien sûr, reflètera la façon, qu’à titre personnel, je vois la franc-maçonnerie. Cette présentation est à l’attention des non-maçons. Les maçons n’apprendront certainement rien de nouveau. Comme nous sommes dans le thème tradition et transmission, je tiens à vous faire part de ma petite transmission à moi. Je voudrais rappeler trois frères qui sont passés à l’Orient éternel et qui ont

inoubliable. Sur ce point je ne fut pas déçu. Aujourd’hui, je suis entrain de m’exprimer devant une assemblée de Franc-maçon, de vous livrer mes impressions et je réalise que moi aussi, je suis bien franc-maçon, que je porte des gants blancs et un tablier, que je bien suis bien dans une loge, que je suis dans le secret, que je suis dans ce que peu d’hommes ont pu vivre. Etre franc-maçon, sans être objet d’orgueil, je le ressens comme un privilège et un honneur. Les impressions que j’ai eues lors des

ciment, symbolise l'union de tous les maçons du globe, malgré les différences, les couleurs, les climats et les opinions politiques et religieuses. Il est l'image du Bien et du Mal dont est semé le chemin de la vie. Il est l'union étroite qui doit règner parmi les frères, liés entre eux par la vérité. Celle-ci n'est pas uniforme car elle est symbolisée par une alternance de couleurs. C'est le binaire des deux colonnes d'où on peut déduire que le maçon comme le profane est soumis aux rigueurs

MOBILIA ET LA POLITIQUE DE DEPLACEMENTS PROFESSIONNELS DOSSIER ETUDIANT PARTIE 1 - Le contexte Mobilia est le nom du spécialiste français du mobilier de plein air, moyen et haut de gamme, dont le siège social est situé en Bourgogne, à Mâcon. Contexte managérial ( Mobilia est créateur et producteur de mobilier de jardin, terrasses et piscines, que la société distribue en France et à l’étranger. ( Cette Société Anonyme commercialise plusieurs gammes de produits en teck, résine, métal

de nos Frères sont nostalgiques d’une Franc-Maçonnerie « 3ème République », représentation pour une large part mythique, et qui s’enracine dans l’article premier de la Constitution du Grand Orient de France qui évoque la nécessité pour tout Franc-Maçon d’améliorer à la fois l’homme et la société. On peut, comme ils le font, considérer cette proposition de foi progressiste comme la vérité indépassable de la Franc-Maçonnerie, sans voir à quel point cette position est un parti-pris idéologique qui n’a

nom et cette citation Gide pose déjà les jalons de l'opposition athéisme//religion. « L’an 1890, sous le pontificat de Léon XIII, la renommée du docteur X, spécialiste pour maladies d’origine rhumatismale, appela à Rome Anthime Armand-Dubois, franc-maçon. » C'est tout en une phrase le cadre, le but du voyage et la description du personnage. Le cadre d'abord l'annonce est abrupte, le début est clair net et précis , pas de doute possible quant a la période. Cependant le narrateur sur enchérie en précisant

à ma disposition le tableau noir, son éponge, ses craies mais également, la grande règle, l'équerre et le compas. C'est bien avec ce grand compas jaune que je passais la majeure partie de mon temps. Ce qui me fascinait dans l’objet, c’était son côté sophistiqué, sans doute qu'à mes yeux d'enfant, il était plus attractif que les autres instruments à ma disposition. Une grande habileté était nécessaire pour tracer un simple cercle, il fallait s'y prendre à plusieurs fois, en ajustant la craie

constitué en France entre 1774 et 1782 par deux groupes de maçons lyonnais et strasbourgeois, parmi lesquels on peut citer Jean et Bernard de Turkheim, Rodolphe Saltzmann et surtout Jean-Baptiste Willermoz qui en fut l'âme pensante. L'architecture du régime fut son œuvre, et c'est lui qui mit en forme la doctrine que celui-ci véhicule. Jean-Baptiste Willermoz, né à Lyon le 10 juillet 1730 mort dans la même ville le 29 mai 1824, fut un Maçon d'une envergure exceptionnelle, comme il ne s'en rencontre