Pascal Paoli

hasard. Mais à partir du XVIe siècle, les mathématiciens ont montré qu'il était possible de tenir des raisonnements mathématiques sur le hasard. Au XVIIe, le chevalier de Méré demanda à son ami Blaise Pascal comment partager les gains d'un jeu de hasard qui n'aurait pu être mené à terme. Blaise Pascal et Pierre Fermat jettent alors les premiers fondements de la théorie des probabilités, qui seront décrits dans un ouvrage de Christian Huygens, paru en 1657. Il faudra cependant attendre l'ouvrage posthume

l'appliquer à l'action de détourner l'essentiel en général et, par extension, à ce qui détourne quelqu'un de l'essentiel. Progressivement, il s'est associé à l'idée de plaisir et plus tard de loisirs. L'approche de Blaise Pascal [modifier] En 1662, le philosophe français Blaise Pascal élabore une approche renommée du divertissement qui sera publiée en 1670 dans les Pensées. Il y développe l'idée contradictoire selon laquelle il est nécessaire à l'homme de se distraire et donc essentiel pour lui de se

Non : elle est générale, et je hais tous les hommes : Les uns, parce qu'ils sont méchants et malfaisants, Et les autres, pour être aux méchants complaisants, Et n'avoir pas pour eux ces haines vigoureuses Que doit donner le vice aux âmes vertueuses. De cette complaisance on voit l'injuste excès Pour le franc scélérat avec qui j'ai procès : Au travers de son masque on voit à plein le traître ; Partout il est connu pour tout ce qu'il peut être ; Et ses roulements d'yeux et son ton radouci

Lorsque Blaise Pascal entreprend de composer son Apologie de la religion chrétienne, il est loin de mesurer l'étendu de son projet: «[le] dessein [de Pascal] était bien plus ample et plus étendu que l'on ne se l'imagine» indique Etienne Périer dans la préface des Pensées de Port Royal. Effectivement, la portée des Pensées à travers les âges à été immense et l'est encore aujourd'hui. Elle est non-seulement l'oeuvre la plus lue de Pascal, mais c'est aussi très étudiée, de nombreuses fois au programme

Celui qui n'a aucune sensibilté philosophique demeure prisonnier dans un certains nombres de préjugés, de croyance, de convictions reçus passivement au cours de son éducation sans avoir recours à la raison. Dès lors où nous entrons dans la démarche philosophique et que l'on fait bon usage de la raison, les choses les plus évidentes de la vie quotidienne posent problème. L'activité philosophique c'est l'art de poser les problèmes/ de les mettre en évidence.Quand on ne philosophe pas, on est aveugle

personnage. Il reprend des éléments essentiels comme sa date de naissance le 31 mai 1656, l’épisode de la mue qui bouleverse le jeune Marin. (Et que l’on retrouve largement décrit dans la leçon de musique). I : le personnage A : un personnage ambitieux. Pascal Quignard raconte l’histoire d’un élève dont le désir d’apprendre est parasité par l’ambition. D’une part par la volonté de s’élever et de quitter le monde de la cordonnerie de son père qu’il hait. -Page : 44 : il dit je cite : « » Il dit aussi

que possède l’Homme, de ses pensées, de ses sentiments et de ses actes. Elle fait de l’Homme un sujet capable de penser le monde qui l’entoure, c’est en elle que prennent racines le sentiment de l’existence et la pensée de la mort. A ce sujet Blaise Pascal dans Les Pensées, nous dit que : « L’Homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; Mais c’est un roseau pensant. ». En effet, car si la conscience d’un être humain fait sa misère, elle fait aussi sa grandeur. D’autre part, on distingue généralement

responsabilité de ce qu'il fait, de ces actions. Se connaître soi même : La connaissance de soi est le savoir qu'une personne acquiert sur elle-même, en termes psychologiques ou spirituels, au cours de sa vie à l'occasion de ses expériences. Blaise Pascal La connaissance de soi même est un ordre particulier de connaissance dans la mesure où, à son foyer même, le sujet connaissant et l'objet à connaître sont confondus, il est « juge et partie ». Cette difficulté centrale rend impérative une recherche

y faut un certain courage, non retrouver généralement. Quand il s’agit de se faire une idée juste de soi se dresse alors un obstacle qui n’est autre que l’orgueil: ne pas supporter ce que nous sommes, de voir ce qu’on est. Dans Pensées de Blaise Pascal, ce dernier explique que certains aspects de toute personnalité sont detestables. Soit une pensée entre et elle peut alors devenir consciente; soit elle n’entre pas et on dit qu’elle est refoulée. Quand une pensée est refoulée, elle est consciente

Tous les matins du monde – Pascal Quignard - - Le titre : « Tous les matins du monde » constitue la première partie d’un aphorisme, placée au début du chapitre 26 : « Tous les matins du monde sont sans retour ». Cette phrase est une sorte de leitmotiv de l’œuvre de Quignard, puisqu’on la retrouve dans Les petits traités et dans La Barque silencieuse. Elle traduit une réflexion sur le temps qui passe et ne revient pas. Le matin est d’ordinaire associé