Pathologie

Historique de l’anatomie humaine • 3000 av. J-C: premières descriptions anatomiques sur papyrus Papyrus médical d'Edwin Smith conservé à New-York, daté de 1.550 av. J.-C. (XVIII ème dynastie) Ce rouleau de 4,50 m de longueur est un traité de pathologie interne et de chirurgie osseuse. Il recense quarante-huit cas de blessures et de lésions, et les thérapeutiques correspondantes. Docteur Pascal Lemarque Service des urgences Historique de l’anatomie humaine • • Hippocrate (460 – 377 av. J-C)

repasser, de la natation avant son opération du genou ainsi que chez des amies rendre visite etc.… Elle avait donc une vie bien remplies Maintenant à l occasion de noël, des anniversaires ou Sainte-Catherine elle passe du temps avec sa famille. Pathologie actuelle Elle ne sait pas toujours quel jour nous sommes, elle peut passer plus d’une vingtaine de minutes à vous poser la même question malgré cela elle vit seule. Ces journées se constituent telle une routine Sa belle fille qui habite au

médecine. Par la suite on verra les émotions et ses conséquences sociales, le mieux-être apporté en gérant ses émotions. Enfin, le rapport entre le milieux médical et les patients.. On verra également le domaine de la prévention. On parlera ici de la pathologie et de la qualité de vie du malade. Le terme de psychologie de la santé peut être positif par l'état de santé et négatif par l'état pathologique, le dysfonctionnement. Les conceptions de la santé et de la maladie sont très variables due aux nouvelles

la MAIA auprès de ces personnes : - l’ensemble des dispositifs mis en œuvre de manière globale pour aider les personnes ont pour premier critères l’âge (+ de 65 ans), - les personnes ne peuvent plus avoir une activité professionnelle du à leur pathologie, - l’entourage (conjoint, enfants) sont d’avantage affectés par la situation de leur proche car ils vivent ensemble. De plus les maladies de la mémoire telle que la maladie d’Alzheimer sont associées dans notre société à des personnes vieillissantes

L'évaluation du risque anesthésique : la classification de l'ASA L'ASA (American Society of Anesthesiologists) à établit une classification des patients devant subir une intervention chirurgicale en 5 catégories selon la gravité de leur pathologie pour quantifier le risque anesthésique. Le risque est croissant de la classe 1 à la classe 5 : La classification de l'ASA Catégories Degré de gravité Exemples 1 Patient en bonne santé Hernie inguinale chez un patient par ailleurs en bonne santé

sur le point de se présenter aux enchere pour obtenir un une parcelle de terrain supplémentaire pour ces plantation ---- peur d’échouer et que tout s’arrete a cause de son hospitalisation et le fait que ses parents ne soient pas au courant de sa pathologie et de son besoin de repos il ne sait pas comment leur annoncer de prendre le relais pour gerer ses affaires l’histoire de quelques temps ----- l importance de l’entourage entre en compte ici afin de pouvoir envisager une suite sociale et pro

intelligence jusqu’à l’abolir ; Maupassant ne fut pas un grand écrivain, parce qu’il devint paralytique général : au contraire, la maladie a ruiné son talent ! Tel est le point de vue très intéressant auquel s’est placé M. Lagriffe. Sa compétence en pathologie mentale le désignait pour analyser et discuter la maladie de Maupassant. On ne saurait cependant admettre sans réserves tous les points de son argumentation. Avec lui, il nous semble inutile d’insister sur le diagnostic de l’affection de l’écrivain

Idée reçue : -> on ne lit pas dans les pensées -> on ne peut pas analyser quelqu'un a chaque fois -> vu comme madame Irma ou Harry Potter mais on n'a pas la réponse a tout, tous les problèmes. -> le psychologue ne traite pas uniquement la pathologie le "fou". =\= de la psychopathologie. -> psychologue est vu comme quelqu'un qui "sait tout", or c'est seulement un sujet supposé savoir, c'est le patient qui sait tout et relate de ses problèmes au psychologue. -> psychologue source de conseil

psychomotricité, si elle peut dire quelque chose de la santé mentale (et pas seulement via un catalogue de techniques, de pratiques), si c’est un objet épistémique (générateur de savoir), si c’est un objet de réflexion, dans le développement, dans la pathologie, dans la pratique (évidemment thérapeutique) : c’est d’abord un objet complexe, un objet carrefour d’intrications multiples et diverses. Or, on remarquera cependant que la complexité n’a pas bonne presse : on est plutôt dans un monde où il faudrait

dépression : l’humeur triste, perte du gout de vivre, … étaient présents chez bon nombre des personnes âgées que nous avons croisé. Nous nous sommes alors demandé quelles pourraient être les facteurs protecteurs et les facteurs facilitateurs de cette pathologie chez un sujet âgé. C’est ainsi que nous avions décidé de travailler et d’approfondir la question sur la dépression en nous intéressons à l’influence des caractéristiques personnelles notamment l’estime de soi et le choix de stratégie d’ajustement