Patriarche de Constantinople

par l'intermédiaire de Léon III, légitimer la rénovation de l’Empire. Ainsi, en l'an 800, le sacre de Charlemagne s'imposer aux peuples de Gaule, d'Espagne, d'Italie et de Germanie. De plus, cela lui permet de gagner de l’influence sur le patriarche de Constantinople et donc sur l’Empire romain d’Orient. Toutefois, il est pertinent de remarquer que l'Eglise s'est servie de Charlemagne comme d'un protecteur, puisque celui-ci fut le rempart entre les Lombards et la papauté. Charlemagne, roi des Francs

La Renaissance a commencé en 1453 avec la fin de la guerre de 100 ans et la prise de Constantinople par les Turcs. C'est aussi la fin du Moyen-Age et le début de l'époque moderne. La renaissance est la période de redécouverte de l'antiquité, de la civilisation gréco-latine, tant dans le domaine de l'art, de la technologie, ou de la philosophie. Ce renouveau culturel est permis par l'émancipation de l'homme par rapport a la doctrine de l'église qui freinait la progression de l'art et de la science

l'Italie, la Gaule et la Germanie) et le fait que Charlemagne n'a accepté que pour se soumettre "en toute humilité à Dieu" et aux désires du peuple chrétien =composantes politique et religieuse .Cela lui permet de gagner de l’influence sur le patriarche de Constantinople et donc sur l’Empire romain d’Orient. En devenant Empereur , Charlemagne possèdera un titre au dessus de celui de Roi. -Le Pape Léon III manque d'envergure et réclame la protection de Charles 1er .L'Église souhaite restaurer le pouvoir

vers 64) devinrent bientôt les deux lieux les plus importants du christianisme. En 313 Constantin se convertit et par un Edit, reconnaît officiellement le christianisme. C'est la fin des persécutions et le début de la religion d'État. En 324, Constantinople fut fondée. C'est alors que vint le temps de l'épanouissement sous toutes ses formes. En 356, le culte païen est interdit. Le christianisme s'accommode d'un certain conformisme et on assiste à un relâchement des moeurs par la hiérarchie ecclésiastique

et non-arabes... 3. Byzance Le basileus : conception et moyens du pouvoir à Constantinople Comme à Rome, c’est l’armée qui fait l’empereur (le basileus) en l’élevant sur le pavois. Puis le Sénat et le peuple ratifient cette " élection ". L’empereur est le " lieutenant de Dieu sur terre  ". Son pouvoir est donc de nature théologique. L’étape décisive de son investiture se déroule à Sainte-Sophie, où le patriarche couronne le nouveau souverain. L’empereur occupe alors dans la cité terrestre la

Tous droits réservés. Lorsque, après le partage de l’Empire romain, en 395, l’Égypte devient byzantine, le patriarche d’Alexandrie a acquis une grande puissance au sein de l’Église chrétienne et il bénéficie du soutien du pape contre son rival de Constantinople. Saint Cyrille, patriarche d’Alexandrie de 412 à 444, obtient la condamnation pour hérésie de Nestorius, patriarche de Constantinople (voir nestorianisme). Mais le pouvoir du patriarcat alexandrin devient menaçant pour la papauté elle-même

Illettré et brutal, Boris Godounov poursuit l'œuvre d'Ivan IV. Il soumet la haute noblesse et construit une ligne de forteresses pour protéger le pays contre les Tatars. Dans le même temps, le patriarcat orthodoxe de Moscou s'émancipe de celui de Constantinople et prétend faire de Moscou la «troisième Rome». Peu après, la famine qui met à mal le Trésor du tsar. Le désarroi populaire alimente une rumeur selon laquelle Boris Godounov aurait assassiné Dimitri, fils cadet d'Ivan IV le Terrible et héritier

visant à persuader les différents princes mongols d'abandonner l'invasion de l'Occident, les convertir au christianisme et ramener les Chrétiens nestoriens très présents en Asie dans le droit chemin. En effet, condamné au concile d'Éphèse en 431, le patriarche Nestorius s'était réfugié en Perse sassanide. Le nestorianisme s'y était organisé en Église et avait progressivement répandu sa doctrine dans toute l'Asie. Les Mongols n'était pas chrétiens en majorité, mais le nestorianisme exerçait une influence

opposition à hérétique). Églises orthodoxes : Églises chrétiennes orientales, séparées de Rome depuis 1054, mais restées fidèles à la doctrine définie par le concile de Chalcédoine (451). Rassemblées sous la primauté d'honneur du patriarche œcuménique de Constantinople, les Églises orthodoxes (env. 180 millions de fidèles) comprennent notamment les trois anciens patriarcats d'Alexandrie, d'Antioche et de Jérusalem, les patriarcats plus récents de Géorgie, de Bulgarie, de Serbie, de Russie et de Roumanie

Ainsi l’exemple du catholicisme est particulièrement représentatif, le concile Vatican II (1962-65) aboutissant à une ouverture de l’Eglise vers les autres religions, avec un œcuménisme affiché (levée de l’excommunication qui frappait le patriarche de Constantinople, messe dite non plus en latin mais dans la langue vernaculaire)/ Cela n’empêche pourtant pas l’Eglise catholique perdre un nombre important de fidèles. De la même manière, l’ensemble des religions assistent à la sécularisation des sociétés