Pauca Meae

Le ton apaisé du poème montre que Hugo a réussi à surmonter dans la parole et la ritualisation et la tentation du désespoir comme le poeme 4 du livre 4 des contemplations Paucae meae “Oh je fut comme fou” Ce pèlerinage est un moyen pour le pere de se rapprocher de sa fille. L'imagination du poète comble la distance temporelle et géographique de sa fille bien aimée. Cet éloignement n’est pas une séparation, puisque l’imagination

définitive, les contemplations mettent en avant l’engagement de Hugo dans ses combats et sa vie professionnelle.       En effet, Hugo a écrit les Contemplations en hommage à sa fille Léopoldine, il expose son deuil à travers le livre IV intitulé Pauca Meae ce qui signifie quelques vers à ma fille. La mort de sa fille conditionne la structure du livre et sa séparation en deux parties. La perte de Léopoldine et le deuil sont omniprésents dans le quatrième livre. Le deuxième poème de ce livre est divisé

à la mort de sa fille, Victor Hugo, père du romantisme du XIXe siècle, a dédié de nombreux poèmes à sa fille Léopoldine, morte à l'âge de 19 ans avec son mari lors du naufrage de leur bateau, notamment "Demain dès l'aube" et "À Villequier" dans "Pauca Meae", le quatrième livre dans "Les Contemplations". Hugo évoque minutieusement les mémoires de la famille, vouant respect voire vénération à sa fille, impliquant les parents des défunts à partager leurs souffrances. Bien que l'initiative de Hugo fut

L’écrivain n'apprendra la mort de sa fille que quatre jours plus tard dans la presse. Il ne pourra venir sur sa tombe qu'en septembre 1846 et consacrera à la mémoire de sa fille de nombreux poèmes, notamment « Demain, dès l'aube… » « À Villequier » dans Pauca Meae, le quatrième livre Les Contemplations, ainsi que : " Elle avait pris ce pli..." II. Bibliographie Poésie : Odes et poésies diverses (1822) Nouvelles Odes (1824) Odes et Ballades (1826) Les Orientales (1829) Les Feuilles d'automne (1831)

avec beaucoup de sentiment nostalgique,et on les ressent vraiment ce qui fait apprécier le poème en lui même. (J'aime beaucoup les poèmes qui rappelle un drame.) (+) La mort de Léopauldine lui a sans doute inspiré ses vers les plus déchirants (''Pauca meae'', 4e partie des Contemplations où l'on trouve en particulier ''A Villequier'' et ''Demain dès l'aube'' ; et à la fin du recueil, '' A celle qui est restée en France''). Il est vain de lui reprocher d'avoir ''exploité'' cette grande douleur. (Paragraphe

que la société a une image du père. Quelle est cette image, voilà à quoi s’intéressent les quatre documents dont nous ferons la synthèse. Deux d’entre eux relatent des expériences personnelles, même si le point de vue diffère. Ainsi V.Hugo, dans Pauca meae, poème extrait des Contemplations et publié en 1856 évoque les temps heureux vécus avec sa toute jeune fille, Léopoldine. Dans « Le procès d’un tyran », article paru dans la revue Autrement en juin1984, Bernard Golfier, au contraire, étudie et présente

scandale (La nature) ; il s’élève à des vues philosophiques, explique le mal comme une épreuve (Explication), décrit le châtiment des maudits (Saturne) et glorifie ceux dont le génie déchiffre l’énigme universelle (Magnitudo Parvi). Livre IV : Pauca meae (Quelques vers pour ma fille) C’est le livre du deuil. Hugo médite sur le coup qui l’a frappé. Tantôt il se révolte contre la cruauté du destin (Trois ans après), tantôt il s’attendrit au souvenir du passé (Elle avait pris ce pli), tantôt il se

silence. » Ceci montre que la mort a détruit sa vie en emportant la femme qu’il aimait. Dans le deuxième poème, Victor Hugo s’adresse à sa fille Léopoldine, morte noyée par accident en 1943. Ceci est prouvé par le titre d’une partie du recueil Pauca Meae qui signifie «quelques vers pour ma fille. » Nous pouvons également remarquer un poète triste pas cet évènement, « Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit. » (v.8). Dans le troisième poème, Pierre de Ronsard s’adresse à Marie de Clèves,

méritent pas leur sort. Il comprend que le peuple souffre et qu’il a besoin d’être aidé. Il sait qu’il peut faire quelque chose pour ces personnes qui vivent dans la misère et la pauvreté, alors pourquoi ne le ferait-il pas ? – Aujourd’hui Livre 4 : Pauca Meae Tout ce livre n’est que souffrance. Les différents poèmes retracent le processus de deuil de l’auteur suite à la perte de sa fille bien-aimée. Une mort tragique, subite dont l’auteur va tenter de trouverhttps://www.lesresumes.com/litterature/vi

monde avec leurs écrits. Certains poètes arrivent, à partir de leurs peines personnelles, à concevoir des écrits qui nous touchent puisque nous nous sentons proches des auteurs par le biais des expériences qui y sont contées. Victor Hugo, dans « Pauca Meae » apparaissant dans Les Contemplations, semble se livrer complètement à ses lecteurs par rapport à la perte de sa fille Léopoldine. Le poème, de forme très naturelle, amène à penser qu'Hugo fait preuve de sincérité et de spontanéité ; il partage