Paul Eluard On Ne Peut Me Connaître

Jean de LA FONTAINE (1621-1695) « Le Corbeau et le Renard » m'a séduit comme pour « la Cigale et la Fourmi » grâce à sa morale qui est que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute et que si un inconnu flatte une personne sans le connaître c'est qu'il attend forcément quelque chose en retour. Le corbeau, par vanité, montre le peu de richesse qu’il a et il se le fait voler. Le renard, lui ne possède rien, mais il repart la bouche pleine. Le Corbeau représente quelqu’un de très fier

femme rencontrée le 4 octobre 1926 à Paris, Léona Delcourt, qui se surnommait elle-même « Nadja ». http://fr.wikipedia.org/wiki/Nadja_(Andr%C3%A9_Breton) Une ouverture vers l’histoire du surréalisme La lecture de Nadja peut fournir un point de départ utile pour connaître le projet surréaliste. Publié en 1928, le livre correspond à une période d’éclatement des œuvres issues de ce mouvement, et possède une certaine forme narrative qui, sans trop déconcerter le lecteur débutant, lui permet de s’initier

elle en reste « poustouplate » comme elle le dit. A Paris elle rencontre tout un tas d’artistes lors des banquets intellectuels organisés, c’est ainsi que la jeune fille devient un témoin de l’envers du monde des intellectuels. Yvette rencontre Paul Eluard et Nush qui se réfugient chez les Zervos, ils sont fugitifs sous l’Occupation Allemande et se cachent donc chez eux. La fillette établit une relation très fusionnelle avec eux, elle les considère comme ses parents adoptif de réserve, qui, contrairement

de Saint-Luc où il apprend le dessin d'après nature. Il y rencontre Josep Francesc Ràfols, Sebastià Gasch, Enric Cristòfor Ricart et Josep Llorens i Artigas avec qui il constitue le groupe artistique intitulé « Groupe Courbet »Mink 2, qui se fait connaître le 28 février 1918 en apparaissant dans un encart du journal « la publicité »4. Miró découvre la peinture moderne à la galerie Dalmau de Barcelone, qui expose depuis 1912 des peintures impressionnistes, fauvistes et cubistes6. En 1915, il décide

maîtrise des moyens picturaux se reflète impeccablement dans cette œuvre réaliste28,25. Les premières critiques barcelonaises furent chaleureuses29. Pour l'une d'elle, si cet « enfant de Figueras29 » tourna son visage vers la France « c'est parce qu'il peut le faire, parce que ses dons de peintre que Dieu lui a donné doivent fermenter. Qu'importe si Dalí pour aviver le feu se sert du crayon à mine de plomb d'Ingres ou du gros bois des œuvres cubistes de Picasso » — Propos rapportés par Robert Descharnes

PREFACE Les poètes se servent de la poésie pour partager leurs passions et exprimer leurs idées de diverses façons. C’est pour cela que l’on peut classer les poèmes dans différents thèmes, classer eux même dans différents chapitres. Les chapitres sont : La poésie lyrique, la poésie engagée, la poésie s’amuse, la poésie célèbre la ville et la poésie s’inspire d’inventions récentes. La poésie lyrique permet au poète d’exprimer une émotion personnelle intense. Par conséquent les thèmes abordés

initiateurs de ce mouvement, Tristant Tzara, aurait ouvert au hasard un dictionnaire et serait tombé sur le mot dada, donc les artistes qui le suivaient ont décidé de nommer ce mouvement «dadaïsme». Ce mot ne veut à la base rien dire, et donc il ne peut être contesté par d'autres, il est donc un «manifeste»( quelque chose d'incontestable; une évience) à lui tout seul. Mais le mouvement dada est majoritairement un mouvement artistique, littéraire et intellectuel. b)Quelles sont les nouveautés apportées

Hitler. En 1937, le gouvernement républicain est au pouvoir et commande a Picasso une toile pour le Pavillon espagnol de l’Exposition Universelle de Paris. (Où les investisseurs viennent montrer leurs produits en espérant remporter des prix, se faire connaître, puis gagner de l’argent). Le matin du 26 avril 1937 c’est un jour de marché à Guernica qui une petite ville basque dans le nord de l’Espagne avec une population de 7000 habitants. A la demande de Franco les Allemands bombardent Guernica. L’objectif

de la poésie. Aujourd’hui encore, les poèmes semblent être la forme littéraire la plus fréquemment choisie pour exprimer ses sentiments. Va à la ligne Cependant, cela signifie-t-il que la vocation absolue de la poésie est de célébrer l’amour ? Ne peut-elle avoir d’autres fonctions ? La poésie est-elle forcément lyrique ? Va à la ligne C’est ce à quoi nous nous efforcerons de répondre en démontrant dans un premier temps que la vocation première et essentielle de la poésie fut de célébrer l’amour

de son cœur, parce qu'il cherche à traduire ce qu'il éprouve, parce qu'il transforme ces expériences vécues en mots capables d'aller vers les autres. Il a donc d'une part une sensibilité exacerbée, d'autre part le désir d'aller vers l'art. Le poète peut se définir comme un « voyant ». Partant du mot, de sa polysémie, de ses sonorités, il cherche à dire dans sa poésie la multiplicité du monde, parfois oublier par les lecteurs. Tandis que le langage commun rejette la complexité et le mystère, le langage