Paul Éluard

La courbe de tes yeux De Paul Eluard 1895-1952 ; Paul Eluard est un poête de la première moitié du XXe siècle : c’est un des pilier du surréalisme (+imaginaire, rêve, inconscient…) dans les années 1920. En 1926 il publie son premier recueil :Capitale de la douleur, dédié à la femme qu’il aime, Gala. Le poême que nous allons étudier est extrait du recueil Capitale de la douleur, il s’agit de La courbe de tes yeux. Dans ce poême, il s’adresse à Gala (elle a également inspiré Gali), il fait l’éloge

croyances) - Abolition du futur Le seul Dieu qui reste est celui de la créativité immédiate et chacun a le droit d’être ce qu’il est. 3. 1919 : Rencontre d'André Breton, de Louis Aragon et de Paul Eluard En 1919 sous l’invitation des intellectuels André Breton, Louis Aragon et Paul Eluard, Tristan Tzara se rend à Paris. Ces trois artistes rompent avec l’écrivain roumain car ils reprochent au mouvement Dada de n’être que destructeur. Ils fondent alors le mouvement surréaliste, dont Apollinaire

photographie du Chant d'Amour (1914) de Giorgio de Chirico. C'est le choc et le début de sa grande période surréaliste avec, en 1926, la réalisation de " Le Jockey perdu ". Il s'installe ensuite en banlieue parisienne où il fréquente André Breton, Paul Eluard et le groupe surréaliste parisien avec lequel il participe au dernier numéro de La Révolution surréaliste avec un texte majeur : Les Mots et les images. De retour à Bruxelles en 1931, tout en étant devenu le chef de file du mouvement surréaliste

“dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale”, puis, la même année, il contribue à la création du Bureau de la recherche surréaliste. Louis Aragon, Robert Desnos, Paul Eluard, René Magritte, Philippe Soupault, Salvador Dali et Jacques Prévert sont quelques-uns des plus connus de ses camarades écrivains, poètes, peintres. Sous la direction de Breton, le surréalisme est devenu un mouvement européen qui a influencé tous

exposition des artistes locaux au théatre municipal de Figueras. Puis il entra à l’école des Beaux Arts de Madrid. Il est par la suite influencé au surréalisme, après avoir fait la connaissance, à Paris, de Pablo Picasso, de Joan Miró surtout de Paul Éluard et d’André Breton. Dalí crée son propre musée à Figueras, où il meurt. La persistance de la mémoire est le plus célèbre tableau de Salvador Dalí il représente les célèbres montres molles. "La persistance de la mémoire (les montres molles)" de

arrive à Paris, à la gare St-Lazare où Marcel Duchamp l'accueille. Le soir même, il est présenté à des surréalistes comme Louis Aragon, André Breton, Paul Éluard et Gala... Il s'installe dans le quartier du Montparnasse, rencontre et tombe amoureux de la chanteuse française et modèle : Kiki de Montparnasse. Il rencontre également le couturier Paul Poiret. Il réalise de nombreuses photos de mode qui sont publiées dans les magazines et contribuent à le faire connaître. En 1925, il présente ses

la nature et la poésie dans un poème de R.G. Cadou ; Le lyrisme africain de Senghor ; de la poésie lyrique à la poésie engagée : Barbara, de Prévert ; Eluard, poète lyrique et engagé: “Notre vie” et “Avis” ; Dénoncer la barbarie de la guerre : « Oradour », de Jean Tardieu ; La poésie clandestine et la fraternité chez P. Emmanuel, J. Cayrol, P. Eluard et M. Cohn ; Chanter la grandeur de l’engagement R.G. Cadou: “Les fusillés de Châteaubriant” - écriture : écrire un poème d’après l’analyse d’un tableau

surréaliste "Paris Pendant La Guerre"a été écrit par Paul Eluard en 1926. Le poème a le ton d’un rêve et de nombresuses allusions sont faites à la nature, au silence, aux ombres, à la nuit et à des choses secrètes. Les arguments: -Eluard parle du "silence…de ses rêves." De plus, les rêves se manifestent pendant la nuit, qui est un temps de silence, d’ombres et un temps pour des choses cachées. -Dans "Paris pendant la guerre," Eluard fait des juxtapositions ironiques qui est une autre façon

toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée. Il tend à ruiner définitivement tous les autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie. C'est dans une lettre de Guillaume Apollinaire à Paul Dermée, de mars 1917, qu'apparaît pour la première fois le substantif « surréalisme » : « Tout bien examiné, je crois en effet qu'il vaut mieux adopter surréalisme que surnaturalisme que j'avais d'abord employé. Surréalisme n'existe pas encore dans

La couture dans les Mains Libres La couture est un thème récurrent au sein du recueil les Mains Libres, qui est une collaboration, publié le 10 novembre 1937, entre l’artiste Man Ray avec ses illustrations et l’auteur Paul Éluard avec ses poèmes. Nous cherchons à déterminer si la couture n’est qu’un motif parmi d’autres au sein de l’œuvre ou si elle revêt une signification particulière. Le thème de la couture est lié à d’autres thèmes que l’on retrouve également dans le recueil et il prend différentes