Paul et Virginie

acquis, suivant acte authentique en date du 06/10/2009, régulièrement publié au bureau des hypothèques de Nancy, un local à usage d’habitation sis à Nancy, 12 cours Léopold, alors propriété de Monsieur LAURENT Gérard et de sa soeur, Madame LAURENT Virginie. Or cette dernière qui occupait les lieux avec son époux Monsieur DUVIVIER Georges, n’a pas libéré les lieux dans les délais impartis. L’acte de vente, bien que prévoyant le transfert de propriété le jour même de la vente de l’immeuble, en différait

+failles : - Paul quitte la maison - 1ers signes de la maladie chez Virginie failles surmontées * Félicité n’a pas encore de contact avec la religion * Mais elle manifeste des traits de caractères très importants pour la suite : pouvoir primitif avec les animaux ( histoire avec les bœufs puis taureau) Chapitre 3 : Virginie part au couvent. Félicité revoit souvent son neveu Victor. Victor part en tant que marin, puis meurs de maladie. Puis Virginie meurt au couvent

références L’édition de référence du livre pour les pages indiquées au cours de cette fiche : L’Histoire de Pi, collection Folio Junior, numéro 1395. Le film : L’Odyssée de Pi de Ang Lee (sortie 19 décembre 2012). Pour les textes complémentaires : Paul et Virginie, Bernardin de Saint-Pierre, collection Folio classique, numéro 4064 ; Le Royaume de Kensuké, Michael Morpurgo, collection Folio Junior, numéro 1437 ; Vendredi ou la vie sauvage, Michel Tournier, collection Folio junior Textes classiques, numéro

qu’on y peut apporter. Le mérite et l’originalité de l’auteur est d’y substituer, d’un bout à l’autre, le sentiment, l’éloquence, le charme des tableaux à la science. Le talent de peintre de la Nature de Bernardin est le plus apparent dans son Paul et Virginie (1787). Chef-d’œuvre, il présente, sur fond d’un paysage neuf et grand, deux gracieuses créations de figures adolescentes, et peint la passion humaine dans toute sa fleur et dans toute sa flamme ; presque tout est parfait, simple, décent et touchant

travailler chez elle ou elle passera toute sa vie. C’est elle qui fait tout dans la maison. Elle s’occupe même des deux enfants, Paul et Virginie, âgés de sept et quatre ans. Un jour Virginie tombe malade. Et Victor, il part pour un long voyage, ce qui désole Félicité. Peu de temps après, une lettre lui annonce qu'il est mort de la fièvre jaune. Puis Virginie meurt d'une maladie. Félicité étant toute seule donne toute son affection à perroquet appelé Loulou, donné à Mme Aubain. Loulou

dire : ― Soit, je vous accepte ! Félicité, un quart d'heure après, était installée chez elle. D'abord elle y vécut dans une sorte de tremblement que lui 11 causaient « le genre de la maison » et le souvenir de « Monsieur », planant sur tout ! Paul et Virginie, l'un âge de sept ans, l'autre de quatre à peine, lui semblaient formés d'une matière précieuse ; elle les portait sur son dos comme un cheval, et Mme Aubain lui défendit de les baiser à chaque minute, ce qui la mortifia. Cependant elle se trouvait

Un cœur simple Résumé : Félicité âgée de 50 ans, est au service de Mme Aubain, veuve endettée, vivant à Pont-l’évêque et mère de deux enfants, Virginie et Paul. Elle est entrée au service de Mme Aubain à 18 ans suite à une déception amoureuse, l'homme qu'elle aimait s'est marié avec une vieille femme pour échapper à la conscription. Elle est totalement dévouée à celle-ci mais surtout aux enfants. Le fils, déjà grand, est envoyé au pensionnat d'un collège. La fille, de trois ans sa cadette, commence

même des deux enfants, Paul et Virginie. Levée dès l’aube, elle s’affaire la journée durant et s’endort le soir au coin de l’âtre. Son dévouement ne connaît pas de bornes: il s’étend à son neveu Victor, qu’elle a retrouvé par hasard. Victor s’engage comme matelot à bord d’un navire qui part faire le tour du monde. Un jour la nouvelle de sa mort parvient à Félicité. À peine est-elle remise de ce deuil que la petite Virginie meurt. La désolation s’abat sur la famille Aubain: Paul a quitté sa mère pour

« - Soit, je vous accepte ! » Félicité, un quart d'heure après, était installée chez elle. D'abord, elle y vécut dans une sorte de tremblement, que lui causaient « le genre de la maison » et le souvenir de « Monsieur », planant sur tout ! Paul et Virginie, l'un âgé de sept ans, l'autre de quatre à peine, lui semblaient formé d'une matière précieuse ; elle les portait sur son dos comme un cheval ; et Madame Aubain lui défendit de les baiser à chaque minute, ce qui la mortifia. Cependant elle se

| |Vincent et Virginie ont réalisé le circuit schématisé ci-contre. Pour Vincent, l’intensité du | | |courant qui sort du générateur est plus grande que celle qui entre. Virginie pense que | | |l’ampèremètre n’indiquerait pas la même valeur s’il était placé entre les deux lampes. | | |Sur le schéma, indiquer le sens de circulation du courant. | | |Virginie et Vincent ont-ils raison