Paul Valéry La Belle Au Bois Dormant

ville de Meung. Mais là, comme il descendait de cheval à la porte du Franc Meunier sans que personne, hôte, garçon ou palefrenier, fût venu prendre l’étrier au montoir, d’Artagnan avisa à une fenêtre entrouverte du rez-de-chaussée un gentilhomme de belle taille et de haute mine, quoique au visage légèrement renfrogné, lequel causait avec deux personnes qui paraissaient l’écouter avec déférence. D’Artagnan crut tout naturellement, selon son habitude, être l’objet de la conversation et écouta. Cette

ville de Meung. Mais là, comme il descendait de cheval à la porte du Franc Meunier sans que personne, hôte, garçon ou palefrenier, fût venu prendre l’étrier au montoir, d’Artagnan avisa à une fenêtre entrouverte du rez-de-chaussée un gentilhomme de belle taille et de haute mine, quoique au visage légèrement renfrogné, lequel causait avec deux personnes qui paraissaient l’écouter avec déférence. D’Artagnan crut tout naturellement, selon son habitude, être l’objet de la conversation et écouta. Cette

ville de Meung. Mais là, comme il descendait de cheval à la porte du Franc Meunier sans que personne, hôte, garçon ou palefrenier, fût venu prendre l’étrier au montoir, d’Artagnan avisa à une fenêtre entrouverte du rez-de-chaussée un gentilhomme de belle taille et de haute mine, quoique au visage légèrement renfrogné, lequel causait avec deux personnes qui paraissaient l’écouter avec déférence. D’Artagnan crut tout naturellement, selon son habitude, être l’objet de la conversation et écouta. Cette

l’Antiquité nous sont restés constamment présents à l’esprit, ceux de Florence Dupont comme ceux de Paul Veyne, depuis Les Grecs ont-ils cru à leurs mythes ?49 jusqu’au très inspirant « Polythéismes ou monolâtrie dans le judaïsme ancien » publié en appendice de Quand notre monde est devenu chrétien.50 49 50 Paul Veyne, Les Grecs ont-ils cru à leurs mythes ?, éditions du Seuil, coll. Essais, 1983. Paul Veyne, Quand notre monde est devenu chrétien, Albin Michel, 2007, p. 269 à 311. 17 PREMIÈRE

rajouté le u. Il n'y était pas. - ?... - Oui. En revoyant les épreuves sur le marbre. J'ai cru que c'était une coquille du typo. Et j'ai rajouté le u. C'était si énorme et si pareil à ce qu'elle pensait de mon orthographe qu'elle me crut et rit de plus belle : « Ça ne m'étonne pas de vous ! » Et pour une longue période, elle chercha lequel de mes amis pouvait être l'auteur du Silence de la mer.1 1 Vercors, La Bataille du silence, Lonrai, Les Éditions de Minuit, 1992, p. 210 Ou bien celle-ci, où Vercors

CONTENTS xiii 253 254 256 258 260 262 264 264 265 266 267 268 269 270 270 270 271 273 274 275 276 276 277 278 280 280 281 282 283 284 284 285 287 288 288 290 293 294 296 1850–1914 The moralizing school of manners Boulevard theatre of the Belle Époque Naturalist theatre Symbolist theatre Melodrama Conclusion The novel 1800–30 The ‘personal’ novel Mainstream fiction Romantic fiction to 1830 1830–48 The roman libertin Colonial fiction Foreign imports Stendhal Balzac Mérimée Sand 1848–90 The Goncourts

rapport consécutif du type « le monde vient par la parole » afin de rendre compte des stratagèmes des intrigants du théâtre de Marivaux – lesquels inventent le langage du libertinage amoureux – ou de la création des paysages blêmes et féériques du poète Paul Verlaine proches en cela des divinités champêtres qui inspirent également la conversation paradoxale de Socrate, causeur travesti à l’occasion de ses blâmes et éloge de l’amour humain : « Le monde vient à nous comme illisibilité. Cette expérience nous

que ces aubaines iconographiques font trop souvent l’objet d’une utilisation au premier degré, sans la moindre critique. Tel auteur a pu écrire, au vu de gravures flamandes et allemandes qui représentent des villes du Sud-Est, que les moulins en bois sur pivot et les maisons à mur-pignon en façade y ont existé pendant quelques générations aux xvie-xviie siècles. Par ailleurs, une gravure peut être le mauvais plagiat d’une autre éditée 6. Bibliographie succincte : D. de Courcelles, éd., Nature

ville de Meung. Mais là, comme il descendait de cheval à la porte du Franc-Meunier sans que personne, hôte, garçon ou palefrenier, fût venu prendre l’étrier au montoir, d’Artagnan avisa à une fenêtre entrouverte du rez-de-chaussée un gentilhomme de belle taille et de haute mine, quoique au visage légèrement renfrogné, lequel causait avec deux personnes qui paraissaient l’écouter avec déférence. D’Artagnan crut tout naturellement, selon son habitude, être l’objet de la conversation et écouta. Cette

ville de Meung. Mais là, comme il descendait de cheval à la porte du Franc Meunier sans que personne, hôte, garçon ou palefrenier, fût venu prendre l'étrier au montoir, d'Artagnan avisa à une fenêtre entrouverte du rez-de-chaussée un gentilhomme de belle taille et de haute mine, quoique au visage légèrement renfrogné, lequel causait avec deux personnes qui paraissaient l'écouter avec déférence. D'Artagnan crut tout naturellement, selon son habitude, être l'objet de la conversation et écouta. Cette