Paul Verlaine L Angoisse

chacun prête à ce terme la nuance qui convient le mieux à son propre tempérament. Le romantisme libère surtout la poésie, qui tend à exprimer des états de l’âme. Lamartine, Hugo, Vigny, Musset, Nerval traduisent en vers leurs souffrances, leurs angoisses ou leurs extases.  Les romantiques, pourtant, ne s’e tiennent pas toujours aux confidences sentimentales ; beaucoup d’entre eux se croient investis d’une mission sociale et tâchent de formuler dans leur poésie les aspirations de leur siècle : ainsi

l’imaginaire. Exalté, source de l’art et ouvre l’âme à la nuit. Comment représenter le rêve, la folie, la mélancolie. Œuvre d’art excède l’art touche autre chose d’humain plus que l’artifice. VIGNY (1797-1863) Représente le passage de ce que Paul Bénichou a appelé le temps des prophètes (Chateaubriand, Lamartine, Hugo..) et l’école du désenchantement (révolution de 1848). Expression de Balzac. Le poète devient un marginal. Sombre dans le désespoir = d’une famille noble ruinée. Défendent

le symbolisme. Les créateurs les plus importants échappent cependant à un étiquetage étroit et offrent des œuvres multiples et encore proches de nous, particulièrement dans le domaine de la poésie (avec Lamartine, Vigny, Musset, Hugo,Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé…) comme dans le domaine du roman (avec Stendhal, Balzac,Dumas, Hugo, Flaubert, Zola, Maupassant, Verne…) et dans une moindre mesure au théâtre avec le drame romantique et ses épigones(avec Musset, Hugo, Edmond Rostand…). La poesie au XIXeme

Tout à coup on se sent happé.  L'engrenage vous tient, le regard vous a pris.  Vous êtes perdu.  Vous y passerez tout entier.  Un enchaînement de forces mystérieuses s'empare de vous.  Vous aller tomber d'engrenage en engrenage, d'angoisse en angoisse, de torture en torture, votre esprit, votre fortune, votre avenir, votre âme.  Cette poésie est lyrique. Victor Hugo mélange ici le culte du moi et la passion comme thématique mais avec une fin irrémédiablement tragique alors que rien ne fait penser

Tout à coup on se sent happé. L'engrenage vous tient, le regard vous a pris. Vous êtes perdu. Vous y passerez tout entier. Un enchaînement de forces mystérieuses s'empare de vous. Vous aller tomber d'engrenage en engrenage, d'angoisse en angoisse, de torture en torture, votre esprit, votre fortune, votre avenir, votre âme. Cette poésie est lyrique. Victor Hugo mélange ici le culte du moi et la passion comme thématique mais avec une fin irrémédiablement tragique alors que rien ne fait penser

guerre puis revient s’installer à Nice. Il y meurt en 1949 après avoir publié, un an auparavant, Bulles bleues où il évoque les souvenirs de son enfance. Poète Son recueil poétique Serres chaudes paraît en 1889 chez Léon Vanier, l’éditeur de Paul Verlaine. Ces vers s’inscrivent dans la ligne de la « dépersonnalisation de l'écriture » et réalisent en partie l’idéal mallarméen : la suggestion, comme essence de « tous bouquets », devient le principe générateur de l’acte de création « pure ». Par

réservé à des initiés, et, d’autre part, parce qu’il cherchait à créer une nouvelle manière de s’exprimer, peu compréhensible parfois pour des lecteurs encore une fois peu avertis. Quant aux influences, elles vinrent de France pour la plupart avec Verlaine, Mallarmé et d’autres poètes symbolistes ou parnassiens de la fin du XIXème, lesquels par l’image idéalisée de cette « bohème parisienne dorée » exerçaient une véritable fascination sur les auteurs espagnols qui ne rêvaient que de cette Lutèce décadente

paradoxes. Grâce à lui nous atteignons à toutes les libertés, mais lorsqu’il se mue en cauchemar nous ne pouvons plus lui échapper. Bienfaiteur lorsqu’il nous permet de vivre l’interdit, il peut aussi retourner contre nous nos plus profondes angoisses. Et comme l’a écrit Valéry, « Le rêve est le phénomène que nous n’observons que pendant son absence », puisque par définition le rêveur est inconscient. Et c’est peut-être précisément pour conjurer cette volatilité que la littérature s’est emparée

plus ou moins manifeste (à l'égard de quelqu'un ou de quelque chose). • ressentir une certaine antipathie à l'égard de quelqu'un. - anxiété (anxieux - anxieuse) : Malaise psychique dû à l'anticipation d'un danger réel ou imaginaire. Synonyme: angoisse, inquiétude. • vivre dans l'anxiété. - arrogance (arrogant - arrogante) : Attitude de mépris et de défi combinés. Synonyme: insolence. • Et il a l'arrogance de me faire des reproches! - autorité (autoritaire*) : Pouvoir de se faire obéir

syllabes fréquent dans la poésie lyrique. Du/temps/que/j’é/tais/é/co/lier (Alfred de Musset) Vers impairs, convenant à l’expression de sentiments complexes. • L’ennéasyllabe, vers de neuf syllabes, rendu célèbre par Verlaine. De/la/mu/sique/a/vant/tou/te/chose (Paul Verlaine) • L’heptasyllabe, vers de sept syllabes qui permet l’accélération du rythme. Ce/lui/qui/croy/ait/au/ciel (Louis Aragon) Vers libres. Apparus dès la fin du XIXe siècle, ils n’obéissent à aucune contrainte, ni accent