Pauline Kergomard

: division des salles, enfants groupés pas tranche d’âge. En 1879 : Jules Ferry, président du conseil et ministre de l’instruction publique, nomme Pauline Kergomard (1838- 1925) inspectrice des écoles maternelle. Elle occupe ce poste de 1879 à 1917. Ce gouvernement veut redonner le nom des écoles maternelles (avant salle d’asile). P Kergomard obtient ce changement de nom pour enlever le terme de charité. L’école est une nuance plus souple. Elle est d’accord avec J Ferry pour la laïcisation

développent surtout sous le Second Empire, grâce à l'action de Marie Pape-Carpantier. Elles prennent le nom d'écoles maternelles, une première fois le 28 avril 1848, officiellement seulement en 1881, pendant la Troisième République, sous l'autorité de Pauline Kergomard, qui en est la première inspectrice générale. Celle-ci s'oppose à la tendance qui veut faire de ces écoles des lieux d'instruction à part entière, voulant plutôt favoriser le « développement naturel » de l'enfant. Les maternelles ont dès l'origine

Spécialisé des Écoles Maternelles, ce sont en grande majorités des femmes, elles ont deux employeurs car elles dépendent de la commune mais aussi du directeur de l'école. Dans une class c'est toujour le professeur qui a la responsabilité pédagogique, Pauline Kergomard, qui est la fondatrice des écoles maternelles, devient inspectrice de ces écoles et déclare qu'il est important d'avoir une « femme de service », mais à l'époque il règne une sorte de méfiance car se sont des femmes populaires qui ne sont pas

va pas faire unanimité auprès des éducateurs et instituteurs de l’époque notamment Pauline Kergomard. Elle deviendra en 1879 l’inspectrice générale des salles d’asile et écoles maternelles. Pauline Kergomard s’oppose et elle déplore que l’éducation soit sacrifiée à l’instruction. Selon elle l’enfant ne vient pas à l’école maternelle pour apprendre mais pour y suivre son développement naturelle. Pauline Kergomard a une position de différenciation et s’inscrit dans la rénovation pédagogique de la

» (par sexe, par niveau scolaire). Il met en scène un apprentissage par imitation, différent d'une véritable organisation du savoir. • • • Le jeu à l’école IV. Le jeu à l’école maternelle 1. Le jeu dans les instructions officiels • Pauline Kergomard, inspectrice générale de 1881 à 1917, a joué un rôle central dans l'évolution des écoles maternelles dont elle définit la pédagogie : « L'école maternelle n'est pas une simple garderie mais un établissement éducatif. Elle doit tenir compte de

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l’objet et la méthode qui doivent être utilisés à l’école maternelle. Ces programmes s’articulent autour de disciplines référencées et d’activités planifiées. En 1910 est créée, dans chaque département, une inspection des écoles maternelles. Pauline Kergomard, inspectrice générale de l’école maternelle, œuvre entre 1879 et 1917 à l’évolution de l’institution. À cette époque, elle préconise déjà des idées d’avant garde en demandant notamment que : • L’enfant soit respecté. • Les exercices

publique » en 1793 dit : « Vous pouvez appliquer à l’instruction publique et à la nation entière la marche que J.J. ROUSSEAU a suivi pour l’Emile » Il est aussi à l’origine de la création et l’évolution de l’école maternelle. De 1879 à 1917, Pauline Kergomard, contre le dressage, fait pénétrer en France les principes de Rousseau. Livre I : de 0 à 2 ans Emile vit en France, il est riche, noble, orphelin et en bonne santé. De 0 à 2 ans. Rousseau veut montrer comment on peut former la nature

l'impérialisme montant des mass-media, ou, depuis 1971, de la « formation permanente » . C'est que la scolarisation des sociétés occidentales est un trait majeur des XVIIIème -XXème siècles. « Je rêve... d'envahir la famille par l'école », déclarait Pauline Kergomard. On n'y a que trop bien réussi ; pas seulement la famille, le monde du loisir tout entier. De deux à seize ans, toute la jeunesse de France est obligatoirement scola risée ; une importante fraction l'est au-delà de seize, jusqu'à vingtdeux, vingt-cinq

org/idex1118.html Gabriel Compayré Premier cours de sciences de l’éducation, Toulouse en 1874 Ferdinand Buisson Dictionnaire de pédagogie 1887 Henri Marion Emile Durkheim L’évolution pédagogique en France 1917, publié à titre posthume Pauline Kergomard, Crée l’école maternelle L’influence du ministère de l’instruction publique 1883, création de la 1ère chaire de science de l’éducation à Paris 1884, chaire créée à Bordeaux, Lyon, Montpellier et Nancy. 1887, chaire créée à Toulouse