Paupérisation

ayant des intérêts communs à défendre (classe pour soi). Les classes se forment donc par et dans la lutte. La mobilisation se met en place. D’autant plus que le mode de production capitaliste souffre de contradictions internes qui provoque une paupérisation du prolétariat et une accumulation du capital entre des mains de moins en moins nombreuses. La révolution prolétarienne aura lieu qui renversera la bourgeoisie et permettra l’avènement de la dictature du prolétariat puis d’une société sans classes

(46% de Russes en plus entre 2011 et 2012). | * Contraintes des normes environnementales * Intégration de la convivialité dans les stations * Problèmes climatiques (avalanche, problème de décalage de saison, réchauffement climatique) * Paupérisation d’ou limitation du budget vacances * Forte saisonnalité : différence de fréquentation été/hiver | B TO B FORCES | FAIBLESSES | * Image positive et luxueuse de la station influant ainsi l’image propre de l’entreprise. * Prestations

industrie mais qu'on garde ne réserve. Si l'on utilise de plus en plus de machines un emploi qui ne va pas croître autant qui provoque le chômage. On appelle cela la loi général de l'accumulation du capitalisme. Autodestruction du capitalisme *Paupérisation ou chômage: - production > à la demande: chute du prix (crise) car les salariés ne peuvent pas consommer tous ces produits. - Affaiblissement du système: Crise de plus en plus fréquentes. Le système s'affaiblit par lui même, qui entraîne une

ressources naturelles et agricoles, services financiers et services aux entreprises, un des plus visités. Croissance fragilisée par un dualisme économique interne très fort (dualisme population noire/blanche et émergence d'une classe moyenne noire, paupérisation d'une partie de la population blanche). II) D'autres facteurs indispensables sont à prendre en compte pour expliquer la forte croissance des pays émergents A) La mise en place d'institutions stables Douglas NORTH met en évidence la

réduites, mais pour les seuls salariés à temps complet ; pire, les hauts revenus explosent dans les années deux mille, d’où un nouveau creusement des inégalités économiques. Depuis les années soixante-dix, la montée du chômage, la précarisation et la paupérisation de la jeunesse participent au déclassement entre les générations et au cours du cycle de vie. Déclassement et peur du déclassement sapent la cohésion sociale en générant des tensions entre les groupes socialement proches. Les catégories « petite-moyenne »

interventionnistes : NEW DEAL ae Rapatriement des capitaux + Baisse des importations entraine DIFFUSION DE LA CRISE au reste du monde ene provoque REPONSES POLITIQUES CHOMAGE TROUBLES DEPRESSION DE MASSE ET SOCIAUX intervention ECONOMIQUE [ff PAUPERISATION § ETCRISES des Etats dans DES SOCIETES POLITIQUES les economies a fp . Vimpact de la crise de 1929 : ‘ déséquilibres économiques et sociaux ee EL seme Krach économique Misére de Wall Street cei “Apparition Migrations

puisqu’elle est en partie constituée de ce type d’emplois. La montée du chômage (multiplié par 5 depuis 1970) associée à celle des emplois précaires constituent à la fois la vulnérabilité des classes populaires sur le marché du travail, ainsi que sa paupérisation (bien que le taux de pauvreté ait diminué de 8,7 points entre 1970 et 2000, il est toujours présent à 7,0% en 2000). Nous devons également tenir compte de la reproduction sociale des individus, ici celle des ouvriers. En effet, cette classe demeure

éducation. La construction d'écoles publiques ou privées vont se multiplier. Le but premier de l'école était bien entendu de socialiser l'enfant mais surtout les enfants les pauvres. On peut voir ici une volonté des pouvoirs en place de rompre avec la paupérisation grâce à l'instruction. Dans ce cadre l'enfant vivait dans une société stricte, l'école était un endroit spécial, les enfants y étaient élevés mais de facon stricte. De plus, les batiments scolaires étaient construient de tel sorte que l'élève

|consommateurs entraînent des salaires bas. | | |Délocalisation et paupérisation de salariés situés en bas de l’échelle sociale :| | |« working poor » (activité mal payée et couverture sociale misérable) | |

fructifier ces terres, trop exiguës pour être rentables, et les revendent donc, pour ensuite reprendre leur vain combat. C-Un contraste sociétal freinant la productivité Cet espoir de réussir dans la culture du coton amplifie la paupérisation d’une population jeune et dynamique qui pourtant devrait porter le pays. Des bidonvilles ou favelas apparaissent peu à peu non loin des exploitations agricoles. Cette extrême pauvreté freine la croissance de ce pays à double vitesse. Les grosses