Peau De Chagrin Argument Mort

auteur, à la Bibliothèque : Mademoiselle Fifi Le Rosier de Madame Husson Contes de la bécasse Pierre et Jean Sur l’eau Les dimanches d’un bourgeois de Paris Miss Harriet La Petite Roque La main gauche Yvette Bel-Ami Mont-Oriol Notre cœur Fort comme la mort 3 La maison Tellier Édition de référence : Paris, Paul Ollendorff, Éditeur, 1891. Image de couverture : Auguste Renoir, Bain à la Grenouillère, 1869. 4 À Ivan Tourgueneff Hommage d’une affection profonde et d’une grande admiration GUY DE MAUPASSANT

quotidien. Or, un soir, vers la fin du mois de mai, le premier arrivé, M. Poulin, marchand de bois et ancien maire, trouva la porte close. La petite lanterne, derrière son treillage, ne brillait point ; aucun bruit ne sortait du logis qui semblait mort. Il frappa, doucement d’abord, avec plus de force ensuite ; personne ne répondit. Alors il remonta la rue à petits pas et, comme il arrivait sur la place du Marché, il rencontra M. Duvert, l’armateur, qui se rendait au même endroit. Ils y retournèrent

Chapitre quarante-quatre Chapitre quarante-cinq Chapitre quarante-six Chapitre quarante-sept Veronica Roth Extrait : Never Sky CHAPITRE UN Je m’éveille avec son nom à la bouche. Will. Les yeux fermés, je le revois qui s’affale sur le trottoir. Mort. Et c’est moi qui l’ai tué. Tobias s’accroupit devant moi, une main sur mon épaule gauche. Le wagon tressaute sur les rails. Marcus, Peter et Caleb sont debout devant la portière ouverte. Je gonfle mes poumons et je bloque ma respiration dans l’espoir

73) Chapitre XI : la scène du meurtre, de « Le crépuscule venait… Elle y resta pliée, pâmée, morte. » (pp.110-112) Chapitre XXII : le sentiment de culpabilité des personnages : de « Ses remords… avec brutalité. » (pp.184-185) Chapitre XXXII : la mort des héros « A ce moment là…de regards lourds » 3) Lectures cursives complémentaires. a) Corpus de textes théoriques : Texte 1 : Introduction à la médecine expérimentale, Claude Bernard (1865) Texte 2 : Thérèse Raquin, préface (1868) – voir livre

s’y fait à pied, par des itinéraires dont la topographie est chargée de sens. Le Père Goriot peut aussi se lire comme une traversée réussie de Paris. Entre la colline du Panthéon et celle du PèreLachaise, un parcours initiatique mène Rastignac d’une mort symbolique 7 (les enfers parisiens, la rue de la pension Vauquer qui semble mener aux catacombes) à une seconde naissance sur la tombe du père Goriot. Un « enfer » et un « monstre » Rastignac saura tirer son épingle du jeu parce qu’il comprend

73) Chapitre XI : la scène du meurtre, de « Le crépuscule venait… Elle y resta pliée, pâmée, morte. » (pp.110-112) Chapitre XXII : le sentiment de culpabilité des personnages : de « Ses remords… avec brutalité. » (pp.184-185) Chapitre XXXII : la mort des héros « A ce moment là…de regards lourds » 3) Lectures cursives complémentaires. a) Corpus de textes théoriques : Texte 1 : Introduction à la médecine expérimentale, Claude Bernard (1865) Texte 2 : Thérèse Raquin, préface (1868) – voir

72- 73) Chapitre XI : la scène du meurtre, de « Le crépuscule venait… Elle y resta pliée, pâmée, morte. » (pp.110-112) Chapitre XXII : le sentiment de culpabilité des personnages : de « Ses remords… avec brutalité. » (pp.184-185) Chapitre XXXII : la mort des héros « A ce moment là…de regards lourds » 3) Lectures cursives complémentaires. a) Corpus de textes théoriques : Texte 1 : Introduction à la médecine expérimentale, Claude Bernard (1865) Texte 2 : Thérèse Raquin, préface (1868) – voir livre

auteur, à la Bibliothèque : Clair de lune Mademoiselle Fifi Miss Harriet Mont-Oriol La main gauche Contes de la bécasse Yvette Sur l’eau L’inutile beauté La maison Tellier Monsieur Parent La petite Roque Le Horla Une vie Les sœurs Rondoli Fort comme la mort Le docteur Héraclius Gloss et autres contes Les dimanches d’un bourgeois de Paris Le rosier de Madame Husson Contes du jour et de la nuit La vie errante Notre cœur 3 Pierre et Jean Image de couverture : Terrasse à Sainte-Adresse, de Claude Monet

la cuisine et le ménage, cousait, lavait, repassait, savait brider un cheval, engraisser les volailles, battre le beurre, et resta fidèle à sa maîtresse, qui cependant n'était pas une personne agréable. Elle avait épousé un beau garçon sans fortune, mort au commencement de 1809, en lui laissant deux enfants très jeunes avec une quantité de dettes. Alors elle vendit ses immeubles, sauf la ferme de Toucques et la ferme de Geffosses, dont les rentes montaient à cinq mille francs tout au plus, et elle

cuisine et le ménage, cousait, lavait, repassait, savait brider un cheval, engraisser les volailles, battre le beurre, et resta fidèle à sa maîtresse, – qui cependant n’était pas une personne agréable. Elle avait épousé un beau garçon sans fortune, mort au commencement de 1809, en lui laissant deux enfants très jeunes avec une quantité de dettes. Alors, elle vendit ses immeubles, sauf la ferme de Toucques et la ferme de Geffosses, dont les rentes montaient à 5000 francs tout au plus, et elle quitta