Peine De Mort De Claude Gueux

Né à Besançon en 1802 et mort à Paris en 1885, Victor Marie Hugo est le fils d’un général de l’Empire. Il est considéré comme l’un des plus grand écrivain de la langue française et un des auteurs représentatif du romantisme qui est un mouvement littéraire du XIXème siècle qui s’oppose aux traditions classiques et s’affirme par une quête de spiritualité en donnant de l’importance au « moi », au sentiments personnels, à la nature et à l’amour. Malgré son jeune age, en 1819 il fonde avec ses deux

à la société car elle peut être engagée, elle a une valeur morale et elle permet de donner des arguments grace à des évènements passé ou présents. Victor Hugo, par exemple, était un auteur engagé : il a lutté pour l'abolition de la peine de mort à travers Claude Gueux et Le dernier jour d'un condamné. Cependant, contre ces points positifs de la présence d'évènements d'actualité dans la littérature, il y en a aussi des négatifs. Les auteurs doivent faire attention à ne pas oublier que le but primaire

extrait du dernier jour d’un condamné, la notion de spectacle est très importante car elle permet à Victor Hugo de dénoncer l’horreur de la peine de mort, en mettant en scène la joie et l’excitation des spectateurs face à la souffrance du condamné. Nous pouvons rapprocher cet extrait à celui de Claude Gueux de Victor Hugo car ce roman dénonce aussi la peine de mort.

Victor Hugo : Victor Hugo est né le 26 février 1802 à Besançon et est mort le 22 mai 1885 à Paris, c'est un poète, dramaturge et prosateur romantique considéré comme l'un des plus importants écrivains en France. Il est aussi une personnalité politique et un intellectuel engagé. Victor Hugo occupe une place marquante dans l'histoire au XIXe siècle, dans des genres et des domaines très variés. On le découvre poète lyrique dans ses recueils comme Odes et Ballades (1826), mais il est aussi un poète

critiquer différents sujets, notamment la domination du pouvoir politique, les lettres de cachets en sont l'exemple même. Ensuite, il critique la hiérarchie sociale, prouvée par l'abus sexuel de Mons de Louvois sur la jeune Saint-Yves, ce qui provoque sa mort. Une autre critique est celle de l'ethnocentrisme, c'est-à-dire de la curiosité malsaine envers le étrangers. Voltaire, à travers son œuvre montre également que les plus hauts placés ne sont pas forcements les plus civilisés, ni les plus moraux. En

Préoccupé par l'adéquation entre la justice sociale et la dignité humaine, Victor Hugo a déjà écrit en 1829 Le Dernier Jour d'un condamné, long monologue et réquisitoire contre la peine de mort. Il poursuit en 1834 avec Claude Gueux. En 1845, alors qu'il vient d'être fait Pair de France par le roi Louis-Philippe Ier, le peintre François-Auguste Biard fait constater le flagrant délit d’adultère de sa femme Léonie Briard avec le poète. Léonie est emprisonnée pendant deux mois dans la prison Saint-Lazare

d’auteures femmes depuis Olympe. EX : D’Olympe à « me too » = O de G, G. Sand, S. de Beauvoir / B. Groult, V. Despentes 2. Des combats aboutis ⇒ La décolonisation et l’abolition de l’esclavage EX : O de G / Voltaire /……….. ⇒ Abolit° de la peine de mort : un combat qui a a abouti en France ! ms qui est remis en cause..tjs se battre « Ex : O de G et Voltaire, Hugo, Badinter = abolit° en 1981. B. Des auteurs parviennent à modifier leur monde 1. S’intéressent aux affaires de leur temps EX

une  Charte,  le  pouvoir  exécutif  est  du  Roi,  le pouvoir législatif: deux Assemblées au suffrage censitaire. Entre  les années  1815 et  1820,  ce  règne  est  calme et bénéficie d’une certaine prospérité économique. Cependant en 1824, la mort de Louis XVIII donne le trône à son frère Charles X  puis  cette  prospérité  obtenue  change.  Étant  Charles  X  plus  traditionnel,  il  affaibli  la Charte  de  son  frère   et  va  favorisé  les  ultras.  La  dissolution  de  l’Assemblée  (1830)

un raisonnement argumenté. QUESTION 6 Par ses dessins, par ses oeuvres narratives (Claude Gueux, Le Dernier Jour d'un condamné), par ses discours, Victor Hugo lutte jusqu'à la fin de ses jours contre la peine de mort. En juin 1848, il prononce à la tribune de l'Assemblée constituante la phrase que Robert Badinter reprendra en 1981 «Je vote l'abolition pure et simple et définitive de la peine de mort ». Ce dessin représente l'horreur du gibet. Victor Hugo avait essayé de faire gracier

Le premier de tous les combats de Victor Hugo – le plus long, le plus constant, le plus fervent - est sans doute celui qu’il mène contre la peine de mort. Dès l’enfance, il est fortement impressionné par la vision d’un condamné conduit à l’échafaud, sur une place de Burgos, puis, à l’adolescence, par les préparatifs du bourreau dressant la guillotine en place de Grève. Hanté par ce "meurtre judiciaire", il va tenter toute sa vie d’infléchir l’opinion en décrivant l’horreur de l’exécution, sa barbarie