Peine De Mort Platon

LA MORT DANS NOTRE SOCIETE PROBLEMATIQUE : Comment est perçue la mort dans notre société ? I-L ’idée de la mort. II-Evolution de la vision de la mort dans notre société depuis l’Antiquité jusqu’à aujourd’hui. III-Regard sur la mort au XI ème siècle. Introduction : Depuis toujours, la mort ne cesse d’alimenter la philosophie, les cultures, les croyances et l’histoire des civilisations. Son interprétation et sa représentation varient d’une région du monde à l’autre, mais aussi d’une époque

allez-vous permettre une interruption de la grossesse et un avortement thérapeutique ? Parce qu’il faut bien le dire : l’avortement est un meurtre ! Vous tuez un embryon. Le médecin nous dit : « Oui, mais c’est quand il va naître qu’il sera voué à la mort, autant anticiper le calvaire » ou : « Oui, mais il y a des malformations… ». Si un embryon n’a pas ses deux bras, on peut effectivement préconiser une interruption médicale de grossesse, mais s’il ne lui manque qu’un bras ? Vous voyez que fixer les

dénominateur commun pour toute l’Europe. Le christianisme est une religion révélé !! II) Bibliographie Histoire des idées politiques, Dalloz Les grandes œuvres politiques, Jean Jacques Chevalier, chez Armand colin + acheter la République de Platon chez folio 1ère PARTIE : LA GRECE ANTIQUE Introduction Pour notre société occidentale, l’histoire des idées politiques prend son départ avec la Grèce antique. Donc on a tout un héritage apparent, qui remonte à ce legs de l’antiquité grecque

jour présent, et les plaisirs qu'il nous tend : il suffit de regarder près de soi et d'avancer la main. De là une sagesse consistant à estimer les biens présents, par exemple en goûtant voluptueusement le festin qui se présente, sans se mettre en peine de tout ce qui peut manquer. C'est l'art de jouir sans désirer, attentif seulement à saisir l'occasion. Mais carpe diem n'est pas, comme on dit parfois, un mot d'ordre épicurien. Ne pas penser au lendemain, c'est fermer les yeux sur les conséquences

violence en restant doux ? Moralement, nous n’avons le droit de nous battre ou de tuer que pour empêcher un mal plus grand, par exemple plus de morts, ou de souffrances, ou de violences. On dira que chacun pourra en juger à sa façon. Mais alors, la peine de mort pourrait-elle être justifiée ? Si elle peut dissuader et sauver des personnes à long terme, personne ne pourra trouver à y redire. Mais dans ce cas là, pourquoi on n’interdirait pas l’avortement ? Tout peut être remis en question. Il ne s’agit

: « Le beau est ce qui plaît universellement sans concept » : Kant. « Le jugement de goût est seulement contemplatif ; c'est un jugement qui, indifférent à l'existence de l'objet, ne fait que lier sa nature avec le sentiment de plaisir et de peine » : Kant, Critique de la faculté de juger. « Personne ne peut voir dans l'oeuvre dans l'artiste comment elle s'est faite ; c'est son avantage, car partout où l'on peut assister à la formation, on est un peu refroidi » : Nietzsche, Humain, trop humain

philosophie ? Qu'est ce que la philosophie ? PHILO/SOPHIE Amour Sagesse: PLATON, Théetète « L'image du philosophe » -théorique : recherche rationnelle de la vérité sur le monde . -pratique : penser à notre rapport au monde et développer/user de sa raison pour devenir heureux L'Homme, au nom de sa raison, éprouve le besoin fondamental de déceler la vérité. C'est la prise de conscience de la mort (« L'Homme meurt, l'animal périt » de HEIDEGGER) qui pousse l'Homme à s'interroger

heureux sous la torture) La mort d’Ivan Ilitch de Tolstoï, devenir h meilleur en affrontant la mort Bien moral posé au dessus de bien physique (distinction de base de la moralité) ; bien physique = se sentir bien, bien être moral ou physique VS bien moral 3. Les joies de la lucidité ? Comment comparer les plaisirs ? Evaluation utilitariste = calcul des suites Nature des facultés impliquées dans jouissance (Montaigne critique ainsi le plaisir sexuel) Platon : expérience des ≠ plaisirs permet

valorisation sous la forme d'une philosophie de l'action ou encore d'une esthétique des passions, quelle place l'homme peut-il et doit-il leur accorder ? Une science des passions, au sens d'un bon usage, est-elle possible? Nous verrons d'abord que , de Platon à Kant, les ennemis de la passions ont été nombreux, la condamnant au nom de la vérité, de la sagesse, de la liberté et de la dignité humaine. Et pour le comprendre nous nous attacherons à expliquer les liens entre passion et désir, passion et action

de plaisir pour être heureux ? Ainsi, comment la doctrine Kantienne, qui ne suggère pas de bonheur en ce monde, peut-elle aboutir à quelque chose ? Car si l’objectif ultime de l’homme, dans sa vie (j’entends ici la période entre sa naissance et sa mort, excluant un éventuel au-delà) est d’accéder au bonheur, il n’est pas envisageable de ne même pas le chercher, sans quoi la vie n’aurait aucun sens. Il est important de concevoir un bonheur dynamique, résultant de nos actions sans quoi nous ne tenterions