Peinture Baroque Illusion

propos et intelligence après avoir mûrement réfléchi Avorton : personne petite, faible que tu hais B Badiner : plaisanter avec engouement Badin : qui plaisante, aime à rire Bafouer : traiter avec un mépris outrageant Baquet : cuve en bois Baroque : qui est d’une irrégularité bizarre = biscornu, étrange, excentrique Baroud : combat. Un baroud d’honneur : dernier combat pour l’honneur avant de se rendre Batardeau : digue, barrage provisoire établi sur un cours d’eau Batifoler = Folâtrer :

vont amener le fantastique en France, à l’époque où le romantisme règne. La génération romantique accueille favorablement l’héritage fantastique, grâce notamment à la notion de « rêve ». Le récit d’un rêve devient un élément littéraire. L’époque baroque travaille sur la notion de métamorphose, de changement, d’évolution. Gérard de Nerval écrit dans Aurélia, écrit : « la règle est une seconde vie ». La morte amoureuse laisse un doute entre ce qui est bien et ce qui est mal. Frankenstein découle de

découvrir des personnages en rupture. L’analyse de cette œuvre permet aussi de comprendre les mutations à l’œuvre au XVIIIe siècle. La séquence 3 (« Voyage au bout de la nuit ») est centrée sur le thème de la guerre. À travers des supports variés (peinture, photographie, roman, installations ou encore témoignages et cinéma), les Arts interrogent les limites de la représentation. La séquence 4 (« Personnage et société ») se centre davantage sur les relations entre le personnage et la société, devenant

l’extraordinaire et de préférer le surprenant au vraisemblable. Racine fait la promotion de la simplicité selon d’Aubignac. La tragédie doit reposer sur une action simple et peu chargée. ( a noter : toujours peu de personnages) L’intérêt serait dans la peinture des passions et pas dans les rebondissements. Cette conception s’oppose assez radicalement à celle d’Aristote. Racine :Préface de Bérénice : « toute l’invention consiste à faire quelque chose de rien » Promotion de la bienséance par Racine et

plus d'un jeune homme ardent qui dépensait sa jeunesse sans mesure, mais de l'apôtre des droits individuels contre les obligations de la morale universelle. Ce qui avait poussé les gens de l'époque vers le thème de Don Juan était sans doute le goût baroque du merveilleux, de la multiplicité et de l'imprécision des lieux ; le goût de la machinerie au théâtre ; le désir d'un divertissement assaisonné de «lazzi» et de bons mots. Molière a-t-il lu le “Burlador”? Autrefois, on croyait que non ; on est moins

retenir et la caractériser, pour en détailler la puissance du pâtir comme de l’agir sur un spectateur qui, à la différence de ce qui se produit avec la peinture, devient le sujet même de l’enquête 3. 152 CiNéMAS, vol. 16, nos 2-3 Contrairement à ce que fait Deleuze dans son grand ouvrage sur Bacon, où il engage l’analyse de la peinture depuis l’expérience même de peindre, en investissant les déterminants sensibles de ce que peut être le point de vue du peintre, nombre d’analyses menées

découvrir des personnages en rupture. L’analyse de cette œuvre permet aussi de comprendre les mutations à l’œuvre au XVIIIe siècle. La séquence 3 (« Voyage au bout de la nuit ») est centrée sur le thème de la guerre. À travers des supports variés (peinture, photographie, roman, installations ou encore témoignages et cinéma), les Arts interrogent les limites de la représentation. La séquence 4 (« Personnage et société ») se centre davantage sur les relations entre le personnage et la société, devenant

elle termine à la potence. « Quasimodo », fou de douleur, jette Frollo dès la tour qui est mort à côte du cadavre de la fille. • Les Misérables: Le roman le plus populaire de la littérature française. C’est un roman realiste, comme de la peinture de la vie et la société de Paris au XVIIIème siècle. 11 MUSSET (1810-1857) ET GEORGE SAND (1804-1876) Musset, on l’appelait la vedette du romantisme. Il a été l’écrivain romantique le plus gâté. Il était un homme beau qui plaisait aux femmes

fonctionnement. Incluses dans un système optique, salle et scène sont dépendante l’une de l’autre. Perspective et auditive, la courbe auditive et visuelle dessine et commande le théâtre. La machinerie est contrainte de faire de la scène une boîte à illusion. Le théâtre classique Français avec ses trois unité (unité de temps, unité d’espace, unité de lieux) sont moins touchés par la rapidité des changements de décor, les décors restant symboliques demandent moins de machineries. Le théâtre des Tuileries

plus d'un jeune homme ardent qui dépensait sa jeunesse sans mesure, mais de l'apôtre des droits individuels contre les obligations de la morale universelle. Ce qui avait poussé les gens de l'époque vers le thème de Don Juan était sans doute le goût baroque du merveilleux, de la multiplicité et de l'imprécision des lieux ; le goût de la machinerie au théâtre ; le désir d'un divertissement assaisonné de «lazzi» et de bons mots. Molière a-t-il lu le “Burlador”? Autrefois, on croyait que non ; on est moins