Pekin Sous Les Ming

RÉSUMÉE fin dynastie Ming critique historique et des institutions généralisation de l'argent comme moyen de payement (cuivre pour bricoles), influences scientifiques de l'occident introduit par les jésuites. Dynastie Qing 1644-1612 Jürchen descendants des tribus toungouses En rébellion ouverte contre les Ming dès 1616, les Mandchous prirent progressivement le pouvoir dans l'ensemble de la Chine, prenant Pékin en 1644 mais la Chine ne fut totalement sous leur autorité qu'en 1683. 1656 WANG

qui marque l’ouverture des Européens au monde, afin de cerner les dynamiques à l’œuvre, dynamiques dont le cœur est ibérique et plus largement européen. Au XVe siècle, le monde s’organise autour de vastes territoires plus ou moins unifiés (Chine de Ming, Empire ottoman, empires aztèque et inca) et de régions plus morcelées (royaumes européens). De vastes zones d’échanges et de circulation relient déjà ces mondes dont il convient de mettre en regard différents lieux. Le programme propose ainsi plusieurs

La raisonnabilité de stratégie de préche chrétien de Matteo Ricci en Chine sous la dynastie Ming Introduction Matteo Ricci (Macerata, 6 octobre 1552 - Pékin, 11 mai 1610) , prêtre jésuite italien et missionnaire en Chine, il arrive à Macao en août 1582 puis entre en Chine en 1583 et s'installe à Zhaoqing, près de Canton, où il parvient à entrer en contact avec des mandarins, grâce à ses grandes connaissances en mathématiques et en astronomie. Il reste dix-huit ans dans le sud de la

Cité Impériale jusqu’au dernier empereur A) Jusqu’à Pu-Yi La construction de la Cité Impériale a commencé en 1369 grâce à l’Empereur Hongwu après l’invasion de Pékin par les armées Ming. La construction a réellement débuté en 1416. Deux dynasties ont vécus dans la Cité Impériale : la dynastie Ming et la dynastie Qing. La dynastie Ming a régné de 1368 à 1644, succédant la dynastie mongole des Yuan. Elle compte 16 empereurs. Le premier est Zhu Yuan Zhang, chef légendaire de paysans rebelles, il

dissertationnord-ouest de l’Anatolie, péninsule balkanique) et prend Constantinople en 1453. L’empire atteint son apogée sous l’impulsion du sultan Soliman le Magnifique (de l’Afrique du Nord à l’Iran, en passant par l’Egypte, doc. 3, p. 161). Les sultans prennent le titre de calife (celui qui dirige l’ensemble de la communauté des musulmans : l’umma). Son pouvoir politique revêt ainsi une dimension religieuse, car le calife doit veiller au respect de la charia (loi conforme au Coran). Le calife

Le contexte sociohistorique de la période (les faits marquants) 1950 : Sur l'ordre de Mao, l'armée chinoise envahit le Tibet et très rapidement l'annexe. En 1959, le jeune Dalaï-Lama, la première autorité du pays, que Pékin voudrait manipuler à sa guise, n'a d'autre choix que l'exil pour sauver encore ce qui peut l'être. C'est le début de l'une des pages les plus noires de l' histoire du Tibet. Impuissantes à faire avaliser par la population le rattachement forcé à la "mère patrie", les forces

devenue une destination touristique « presque » comme une autre. Mais le pays est tellement vaste et les différents sites qui méritent une visite si éloignés les uns des autres. Quelques beaux vestiges 遗迹 de la Chine impériale se trouvent à Pékin et dans ses environs, avec la Cité interdite*, le palais d’Été*, et la Grande Muraille*. On peut également voir les nombreux monuments (les remparts , la grande pagode de l’oie sauvage *,) de Xi’an* – en particulier, 40 km à l’est, l’armée enterrée

Chapitre 24.— Cristallisation de la pensée chinoise Chapitre 25.— Le conquérant du monde 3 René GROUSSET — Histoire de la Chine Chapitre 26.— Qoubilaï, « le grand sire » Chapitre 27.— Marco Polo Chapitre 28.— Une restauration nationale : les Ming Chapitre 29.— Le drame de 1644 Chapitre 30.— Les grands empereurs mandchous : K’ang -hi et K’ien -long Chapitre 31.— L’irruption de l ’Occident Chapitre 32.— La révolution chinoise Chapitre 33.— Données permanentes et problèmes actuels * **

Les rivalités entre les Européens et l’empire ottoman 1) L’apogée de l’empire ottoman La dynastie ottomane annexe de nouveaux territoires (nord-ouest de l’Anatolie, péninsule balkanique) et prend Constantinople en 1453. L’empire atteint son apogée sous l’impulsion du sultan Soliman le Magnifique (de l’Afrique du Nord à l’Iran, en passant par l’Egypte, doc. 3, p. 161). Les sultans prennent le titre de calife (celui qui dirige l’ensemble de la communauté des musulmans : l’umma). Son pouvoir politique

sont écrasées à la bataille de Köse Dag en 1243). C’est pourtant dans l’Anatolie mongole, où les Turcs ne contrôlent plus le pouvoir politique, que naît l’aventure ottomane. Osman, chef de guerre turc d’Anatolie occidentale, crée en 1299 un beylicat sous contrôle (nominal) mongol, celui d’Osmanlis, aux alentours de Nicée. Rapidement, Osman étend son territoire au détriment de Byzance : en 1301, il bat l’armée byzantine à Baphaion, puis son successeur Orhan prend Nicée et Nicomédie dans les années 1330