Pen

confrères : « Il n'y a pas d'électorat FN. Il y a un électorat populaire qui vote parfois Front national, mais aussi communiste et socialiste. Ces électeurs-là pensent à peu près la même chose. » Le plus bel éloge venait de Jean-Marie Le Pen : « C'est le meilleur observateur politique. […] Le plus intelligent, le plus sérieux. […] C'est vrai, il a donné à Sarkozy les mots, les codes, le langage qu'il faut employer vis-à-vis des électeurs du Front national. […] Au fond de son cœur

répondre à quelques faits constatés, notamment à une interview du sieur Jean-Marie le Pen, tortionnaire de son état et député en France, que la vulgate officielle des médias français a cru bon de rediffuser en boucle pour bien leur donner des arguments visant à légitimer le discours ultrasécuritaire du pouvoir.Sous la plume de Pepper Seargent nous lisons : « Un documentaire daté d’avril et consacré à Jean-Marie Le Pen vient de refaire surface avec force remous. Dans une séquence pendant laquelle le vieillard

des moyens pour reconnaître le couples homosexuels. De plus, cette polémique sépare le parti car certains soutiennent les homosexuels. f) Le Front National (extrême droite) : Le Front National rejette l'homosexualité. En effet, Jean-Marie Le Pen, fondateur du Front National, a declaré le 13 février 1984, dans «L'heure de Vérité», sur Antenne 2 : «L'homosexualité n'est pas un délit, mais constitue une anomalie biologique et sociale». De plus, il rejette l'homoparentalité. Ainsi, le 25 Mars

l'influence de l'extrême-droite, particulièrement du FN, s'accroit régulièrement (14,4 % lors du 1er tour de la présidentielle de 1988, 15,3 % en 1995, 16,9 % en 2002). Le vote-protestation semble pourtant le plus courant, eu égard au score de Jean-Marie Le Pen au second tour (17,8% contre 82,2 % en faveur de J. Chirac). Enfin, quelques mots au sujet de l'UDF et des autres droites gaullistes ; leur déclin est visible. Une partie sera même absorbée par le groupe UMP lors des législatives. Cet apport contribue

"pour certains, c'est un gros mot", avait-il souligné, à Besançon, le 13 mars 2007. "Je ne veux pas laisser le monopole de la nation à l'extrême droite. Je veux parler de la nation française parce que je n'accepte pas l'image qu'en donne Jean-Marie Le Pen", avait-il expliqué. L'idée de ce ministère était venue de Patrick Buisson, influent conseiller de M. Sarkozy. Cet ancien journaliste venu de l'extrême droite, présenté comme "l'hémisphère droit de Sarkozy", avait convaincu le chef de l'Etat de la

réformes sur les retraites ou la sécurité sociale ne sont pas menées. Jospin critiqué pour son immobilisme. 2002-2007 : Président : Jacques Chirac 1er ministre : Jean-Pierre Raffarin Chirac, réélu Président en 2002 au second tour face à Jean-Marie Le Pen, Front national, qui a continué sa progression depuis les années 80. Réforme sur les retraites. Mais le mécontentement dans la société progresse (cf. élections régionales de mars 2004) Villepin remplace Raffarin en mai 2005. Echec du référendum sur

l’élection présidentielle de 2007 : Philippe de Villiers. L’extrême droite Front national (FN), dirigé par Jean-Marie Le Pen depuis sa fondation, en 1972. Mouvement national républicain (MNR), issu d’une scission du Front national, en 1998. Président : Bruno Mégret. Un parti catégoriel

million 900.000 exemplaires en France et 25 traductions. Le livre a connu un grand succès en 2002 (plus d'un million d'exemplaires vendus) après la surprise du premier tour de l'élection présidentielle où le candidat d'extrême-droite, Jean-Marie Le Pen, fut qualifié pour le second tour. Cette œuvre fait référence au régime totalitariste. Ce régime politique fait référence à la couleur brune. Matin brun est une nouvelle de 11 pages et un apologue (court récit dont on tire une instruction morale)

politisation accrue de ces thèmes ainsi que d’un écho grandissant au sein des différents électorats. Un exemple criant de l’implantation des formations populistes et d’extrême droite est le score réalisé par le leader du Front National français, Jean-Marie Le Pen, aux élections présidentielles de 2002. En effet, celui-ci a éliminé Lionel Jospin au premier tour en totalisant un score de 19% des suffrages, score faisant l’effet d’une bombe car de nombreux observateurs avaient donnés le FN comme mort suite à la

un nouveau coup. L’avis du FN Invitée dimanche soir du « Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI », la présidente du Front national a fait valoir que le vote pour le FN est désormais « un vote d'adhésion » et non plus seulement de « sanction ». Marine Le Pen triomphe, mais sans excès d'effusion. Invitée dimanche soir du «Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI», la présidente du Front national est revenue sur le plateau après la fin de l'émission pour commenter à chaud la victoire de son candidat, Laurent Lopez, au