Pendage

des gisements de fer oolithique du Maroc, qui sont connus de la Meseta jusque dans l’Anti-Atlas et dates du dévonien. Morphologie et relation avec l’encaissant : La Formation de Tachilla y compris le gisement montre une direction N20°E et un pendage de 25°. La bande ferrugineuse est constituée de deux unités lithologiques bien distinctes. Principales phase minérales : • Hématite massive • calcarenites oolithiques cimentes par de l’hématite. Type : sédimentaire Hypothèse génétique : Le

soutènement (stabilité et tassement) ; - la nature des sols : argiles molles ou dures, marnes, sables et graviers, terrains rocheux. Les essais géotechniques permettent de connaître la nature des différentes couches du terrain, leur épaisseur, leur pendage, leurs caractéristiques physiques et mécaniques, ainsi que la présence d’eau éventuelle. Ils peuvent influencer l’adaptation au site (stabilité de talus) et les conditions d’exécution des travaux (stabilité provisoire des parois). Une connaissance

définit complètement ce plan par deux angles : la direction (azimut α de l’horizontale du plan) et le pendage (angle β entre l’horizontale et la droite de plus grande pente, en précisant le sens par rapport à la direction de l’horizontale). La figure 2.2.a illustre la notation. En mécanique des roches, on préfère utiliser la notation de l’AFTES et de l’ISRM basée sur les coordonnées du vecteur-pendage p tel qu’il est représenté sur la figure 2.2.a : – Azimut : angle de la projection horizontale du vecteur

par un mouvement de convergence affectant une strate qui fléchit et se plisse au lieu de se failler car elle est souple. Un pli comporte une région anticlinale (sommet de l'ondulation) et synclinale (base de l'ondulation). Un pli est défini par son pendage : l'angle d'inclinaison formé entre ses flans et l'horizontale. Les strates se sont affinées sous la pression au niveau des flans et épaissies au niveau des charnières. Pli couché = l'axe du pli, initialement vertical, s'est affaissé sur le côté

séisme né sur un plan à faible pendage (14°W) orienté N13°E, subparallèle à la direction moyenne N16 de la fosse du Japon, à une profondeur de 24 km. La magnitude déterminée est de Mw 9,0 (Mo=3,9×1022N.m)9. Harvard Seismology conclut à des caractéristiques mécaniques semblables avec un pendage de 9°, une direction N21°E à une profondeur de 20 km9. Le Deutsche GeoForschungsZentrum (GFZ) émet une hypothèse différente — jugée problématique par certains9 — avec un pendage de 9° vers l’est (plan N17°E)

d’eau, routes, villes, voies ferrées, forêts, courbes de niveau... • des informations géologiques : - nature des roches rencontrées (à l’aide de couleurs et d’abréviations), par exemple, J9, Portlandien, calcaire à tubulures, - type de sondage, - pendage des couches, - contacts anormaux, - failles... • des informations complémentaires : profils géologiques, coupes, cartes de synthèse à petite échelle... Outre la carte, on trouve un livret explicatif plus ou moins facile d’abord, suivant son auteur

interne. • III. SOURCES ET LEUR CONTEXTE La source Sidi Trad est localisée dans des formations gréseuses numidiennes à une dizaine de kilomètres à l’E de Zitouna. Le lit du cours d’eau matérialise bien une zone de cisaillement senestre N130 à pendage de 60°S d’une puissance minimale de 20 m dont les rejeux ont été multiples. Toutes les autres sont dans la haute vallée de Hammam, à 15-20 km au SW de Zitouna. Celles de Beni Salah, de Latrèch et de Zatout ont leurs exsurgences dans des formations

formation de cratères d'explosions circulaires de quelques centaines de mètres de Les sédiments, d’une puissance estimée à 250 mètres, se sont déposés dans le cratère en couches plus ou moins homogènes, en forme de carène de bâteau avec des pendages d’environ 30° sur les bords, s’atténuant jusqu’à devenire subhorizontales au centre. On retrouve à la base un conglomérat de base 5 6 en fait des brèches volcaniques liées à l’activité explosive du volcan, surmonté des pélites. ■

bioturbée. Les processus de déformations sont très communs dans les deltas au fait de fort taux de sédimentation et de la forte pression de pores associée. Les failles de croissance résultent de l’augmentation du taux de sédimentation vers l’aval pendage. Elles se développe en même temps que la sédimentation. Les diapirs de boue peuvent se former quand d’épais dépôts de prodelta sont recouvert par des sables de barres d’embouchure. Les glissements (Slumping) peuvent amener à la présence de faciès

grauwackeux. La minéralisation serait de type exhalatif, liée au volcanisme andésitique sous-marin et affectée de métamorphismes ultérieurs. Les concentrations correspondraient à des replis tectoniques de l’horizon porteur. A la faveur de ces replis, le pendage des couches ferrifères passe de la verticale à 30 °- 40 ° et leur puissance augmente pour former les gîtes exploitables. Dans sa thèse soutenue en 1985, Wade fait une étude pétrographique et géochimique des minéralisations de magnétite contenues dans