Pénis

le(s) support(s) de travail Document 1 : Les caractères sexuels. Dès la naissance et pendant toute l’enfance, un garçon et une fille se distinguent par leurs caractères sexuels primaires, c’est-à-dire leurs organes génitaux : les testicules et le pénis chez le garçon ; les ovaires, l’utérus et la vulve chez la fille. A la puberté, le corps se transforme progressivement, les caractères sexuels secondaires apparaissent et distinguent un homme d’une femme. Document 2 : Les changements du corps. Les

consiste par une prise de conscience de la différence des sexes. Cela consiste à la prise de conscience de la présence ou non-du pénis tant chez les filles que les garçons. Chez les garçons cela va passer par nié la castration par la négation de sexe féminin ou bien par la croyance d'une mère pourvue de pénis alors que les filles vont manifester son envie d'avoir un pénis et la possibilité que le clitoris grandisse et également par des attitudes « d'ambition phallique » (comportements violents, allures

du sexe opposé et être en rivalité avec le parent du même sexe en plus de craindre la castration du père car le garçon et la fille la vie différemment, le garçon a peur de perdre son pénis. Il va commencer à se détacher de sa mère pour faire comme son père. C’est alors qu’il va prendre conscience du pouvoir de son pénis. Et va quitter petit à petit le complexe d’Œdipe tandis que la fille à un sentiment d’en avoir été privée elle va chercher dans le regard du père si elle a de la valeur et aimé par

d’œdipe : Au départ, garçon et fille ont comme 1er objet d’amour la mère Pour le garçon : · Le père se présente comme rival· Dans la compétition le garçon craint de perdre le pénis, il se soumet.· La mère est alors abandonnée comme objet « amoureux »Pour la fille :· Elle rend la mère responsable du fait de ne pas avoir de pénis · Elle se tourne vers le père parce qu’il pourrait le lui donner · Parce que le père le lui refuse (prohibition de l’inceste), elle s’identifie à la mère Ainsi garçon et fille

spermatozoïdes sont ensuite conduits par les canaux déférents ou il se mélangent à des liquides sécrétés par les vésicules séminales et pas la prostate. L’ensemble forme le sperme. Lors d’une stimulation le pénis se dresse: c’est l’érection. Le sperme est alors chassé dans l’urètre jusqu’à l’orifice du pénis: c’est l’éjaculation . La durée de vie d’un spermatozoïde dans les voies génitales féminines est de 2 à 5 jours.  Produisant des gamètes mâles… L’appareil génital masculin est constitué de différents

d’être punis car privé de pénis tout comme sa mère, que nait la peur de castration. L’enfant débutera alors un processus d’identification au père. La petite fille va reprocher à sa mère de l’avoir faite comme elle, c'est-à-dire sans sexe apparent, symbole de force et de pouvoir. Cependant elle ne peut pas occulter complètement son attachement à cette mère qui fut son premier lien d’amour. Pour lutter contre cette ambivalence, elle décide de compenser son absence de pénis en se faisant faire un

le phallus attribut de l'autorité et de la puissance allant jusqu'à penser que celui-ci pourrait lui enlever cette part de virilité. Tandis que la fille à l'impression qu'autrefois elle possédait un pénis et que la mère le lui a pris. Elle se tourne donc naturellement vers le père, porteur de ce pénis dont elle est privée. La fin du complexe est aussi complètement différente entre la fille et le garçon. Le jeune enfant renonce au désirs sensuels dirigés vers la mère et aux souhaits hostiles envers

liquide séminal qui sert à la survie des spermatozoïdes. Prostate : déverse le liquide prostatique qui facilite le déplacement des spermatozoïdes. Pénis : sert à déposer le sperme dans l'organisme féminin. Ovaires : fabriquent les gamètes féminines ou ovocytes et les hormones sexuelles. Utérus : lieu ou se développe le fœtus. Vagin : reçoit le pénis lors du rapport sexuel. Gamétogénèse. Gamétogénèse : formation des gamètes. Tube séminifère : lieu de la spermatogénèse. Lumière du tube :

ne peut pas avoir d’enfants lui-même il imagine que quand il va faire « loumf » il est en train d’avoir un enfant. La relation particulièrement tendre avec la mère et le fait de heurter à la barrière de l’inceste comme le fait que Hans vante son pénis à sa mère, sont à l’origine de son angoisse qui correspond à une aspiration libidinale refoulée encore sans objet. Hans rêve qu’il perd sa mère et qu’ « il ne pouvait plus faire câlin avec elle » et comme il est angoissé par ceci la mère le console

lesbiennes utilise des godes, des vibro...qui sont à peu près comme des vrais pénis (forme, couleur,..) mais nous pouvons tout de suite nous demander quel est l'interet qui les pousse à utiliser ces ustensiles, pourquoi n'utilise-t-elle pas carrément le naturel... Ont elles vraiment plus de plaisir avec ces ustensiles qu’avec un vrai pénis? comment elles font ? Est-ce que c’est meilleur qu'avec un homme, avec un vrai pénis ? Est-ce qu’elle le font juste avec ces vibro ? Es-ce qu’une lesbienne seule