Pension Vauquer Et Sa Propriétaire

l’évolution d’un personnage qui perd son innocence, et évoquer toutes les facettes d’un cadre historique et social. Le roman : En 1819, Eugène de Rastignac, un jeune homme noble mais pauvre, arrive à Paris pour faire carrière. Modestement logé dans la pension Vauquer, il y rencontre Goriot, un vieillard misérable qui s’est ruiné pour installer ses filles dans la haute société : Anastasie, devenue Mme de Restaud, et Delphine, qui a épousé le banquier Nucingen. Usé, miné par l’ingratitude de ses filles, le père

l’évolution d’un personnage qui perd son innocence, et évoquer toutes les facettes d’un cadre historique et social. Le roman : En 1819, Eugène de Rastignac, un jeune homme noble mais pauvre, arrive à Paris pour faire carrière. Modestement logé dans la pension Vauquer, il y rencontre Goriot, un vieillard misérable qui s’est ruiné pour installer ses filles dans la haute société : Anastasie, devenue Mme de Restaud, et Delphine, qui a épousé le banquier Nucingen. Usé, miné par l’ingratitude de ses filles, le père

mari et le trompe ; enfant mal aimé, il a vécu seul, plus ou moins abandonné, dans un collège à Vendôme, dans le Loir-et-Cher. Sa famille ne s’installe à Paris, dans le Marais, après la retraite du père, qu’en 1814 ; il a quinze ans et il est mis en pension, puis suit de vagues études de droit. Il est ensuite placé durant quelques années comme clerc de notaire chez un avoué : il en retiendra un goût prononcé pour les questions de droit, de propriété et d’argent. Quand son père se retire à la campagne

semblait un coma et qu’il attribua pour sa part à une «congestion d’idées», Honoré fut retiré en hâte du collège et ramené à Tours, où Mme Balzac s’employa vivement à lui redonner des couleurs. Après quelques mois de repos,il fut sans doute mis en pension à Paris chez Ganser et Beuzelin, au Marais (dans le bâtiment qui abrite aujourd’hui le musée Picasso). Il connut là, entre autres, les jeunes frères Cavaignac, qui s’illustrèrent ensuite tous deux dans la politique. Et assista peut-être aux Tuileries

d’énonciation ? FASCICULE PREMIÈRE Page41 10- Apprécie la vitesse du récit dans la dernière partie du texte ? TEXTE 2 Madame Vauquer, née de Conflans, est une vieille femme qui, depuis quarante ans, tient à Paris une pension bourgeoise établie rue Neuve-Sainte-Geneviève, entre le quartier latin et le faubourg Saint-Marceau. Cette pension, connue sous le nom de la Maison Vauquer, admet également des hommes et des femmes, des jeunes gens et des vieillards, sans que jamais la médisance ait attaqué les

alors bien plus nombreux que les aga- 352 Revue critique cements généraux, et l’on ne retiendra que ceux-là. Citons, en particulier, la remarquable analyse du motif de la grille chez Balzac (p. 16-24), ou encore l’objet « jupon » de Mme Vauquer (p. 30-31) : intelligentes, audacieuses, souvent même amusantes, ces pages sont des modèles de micro-lectures, et prouvent avec brio que l’analyse littéraire générale de qualité n’a pas besoin de s’encombrer de positionnements théoriques excessifs

nom de celui, qui, pour être digne de leur estime, se suiciderait. Malheureusement une balle est restée dans le pistolet que la bande pensait non chargé. François MAURIAC (1885-1970) Notice biographique Né à Bordeaux dans une famille de propriétaires terriens. Il a reçu une éducation très catholique. En 1909, il donne un premier recueil de poésie. C’est surtout dans le roman qu’il va pouvoir développer ses talents et où il atteindra la grande célébrité. En 1933, il entre à l’Académie Française

l’originalité de la narratrice principale du récit (il y a une seconde narratrice, Paloma, une adolescente à la Zazie qui tient son journal), une concierge mal embouchée, répondant au patronyme popularisé par la culture populaire, de Madame Michel, propriétaire bien sûr aussi d’un chat. Laquelle s’avère être dès le début du roman une concierge atypique, cultivée, éprise de musique classique et de cinéma et fascinée par la culture japonaise – rappelons au passage que Muriel Barbery vit au Japon. 1. Un

comme un membre de la maisonnée. 3 a. Soulignez les termes qui révèlent un jugement du narrateur. Quel est ce jugement ? b. Quelle impression générale produisent les objets présents dans cette pièce ? Doc. 3 5 10 La salle à manger de la pension Vauquer Cette salle, entièrement boisée, fut jadis peinte en une couleur indistincte aujourd’hui, qui forme un fond sur lequel la crasse a imprimé ses couches de manière à y dessiner des figures bizarres. Elle est plaquée de buffets gluants sur lesquels

croyant exemplaire qui devrait nécessai­rement trouver sa place au Paradis. Il tenait la comptabilité de la mosquée sur un cahier d’écolier vert. Les biens de la mosquée, à savoir les récoltes, allaient au fqih en exercice, qui en était le légitime propriétaire. À la communauté de semer,