Perception Alain Anticipation

rationalité limitée des dirigeants, prise en compte des objectifs personnels des décideurs, etc. Pour Herbert Simon, la rationalité du décideur est nécessairement limitée car la décision s’intègre dans un environnement complexe qui restreint la perception des choix et impose de nombreuses contraintes au décideur. La cohérence des décisions est également limitée par d’autres facteurs, comme l’émotivité du décideur (Janis), la personnalité même du décideur, son profil psychologique. 2.2 – Les modèles

government decided to get rid of the former system based on annual installment owing to its many drawbacks, which are the financial distress and inequalities between generations and within a generation. This decision is in line with a general policy of anticipation of the aging population’s consequences, made up of reduction of public debt and health outlays, to be able to face the future needs of a generation while in the same time preserve the competitiveness of the economy. Despite the slowness of the

........................ 30 SOMMAIRE 3•3 INTRODUCTION La Ville est l’Oeuvre de l’homme. Il a créé son propre environnement communautaire dans lequel il a établi sa hiérarchie sociale, son commerce, sa vie en fonction des autres. La perception qu’il en a peut varier selon la taille de l’espace, la géographie la culture et même la météo. Le citadin perçoit des sensations qui le guident vers une vision personnelle de la ville, que l’on peut ressentir dans le livre de Georges Perec où un

revues littéraires désireuses de créer de l'actualité ainsi que par Alain Robbe-Grillet qui souhaitait promouvoir les auteurs qu'il réunissait autour de lui chez Minuit, où il était conseiller éditorial. Il serait cependant faux de concevoir le Nouveau Roman comme une école littéraire unifiée par une esthétique commune, à l’image du romantisme ou du surréalisme. Il y a en effet peu de ressemblance entre les parodies d’un Alain Robbe-Grillet et les épopées tragiques d’un Claude Simon, ou entre l’impressionnisme

années soixante. Le tournant qu’a marqué l’intelligence artificielle, combinant logique, mathématique et informatique, fait que, depuis les problèmes ne se posent plus de la même façon. La robotique se définit maintenant au travers du triptyque : perception, raisonnement et action. La neurobiologie et l’informatique laissent penser qu’un cerveau électronique peut être réalisé et associé à un robot. L’association de ces deux disciplines : neurobiologie et informatique, et l’anthropomorphisme dans la

E AN FRANC AUCH ENTREP RISE RESPONSABLE 2009/2010 SOMMAIRE 2 ÉDITO - Interview croisée d’Arnaud Mulliez et Philippe Baroukh 4 À PROPOS DE... avec Alain Mikol et Denis Jouffe 6 CONTEXTE 8 RESSOURCES HUMAINES - Devenir l’école de la réussite 09 ¬ Donner leur chance à tous les profils 10 ¬ Contribuer à la professionnalisation des jeunes 11 ¬ Faciliter la réussite de chacun par la formation 12 ¬ Responsabiliser les collaborateurs et développer la promotion interne 13 ¬ Donner toute sa place

 Alain (Émile Chartier) (1916) Éléments de philosophie Un document produit en version numérique par Mme Marcelle Bergeron, Professeure à la retraite de l’École Dominique-Racine de Chicoutimi, Québec et collaboratrice bénévole Courriel: mailto:mabergeron@videotron.ca Site web: http://www.geocities.com/areqchicoutimi_valin Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi

des personnes et entreprises suivantes : Christine MILLET Agence Informatique pour les Finances de l’Etat Cyrille ROY AGF-I Alain DELBOY Air Liquide Pascal BUFFARD AXA France Service Robert ZEITOUNI Crédit Agricole SA François-Xavier TUAL DCNS Jean-Yves BIGNON Euro Disney Associés S.C.A. Yves SPIELMANN Euro Disney Associés S.C.A. Eric VERTOUT Groupe Les Mousquetaires Alain BOUILLE Informatique CDC Jean-Pierre VUILLERME Michelin Jean-Jacques CASSE Pfizer France Rachelle BALMADIER Renault SA Muriel

et Michel JANODY (CETE de Lyon) regroupant des responsables de services de villes et de l’Etat. Ont participé à ce groupe de travail : Alain ARMENI (CERTU), Hervé BARON (DDE 77), Joseph COPPA (Ville de Chambéry), Claude CURTAT (Ville de Grenoble), Jean DAUMONT (Ville de Créteil), Yannick DENIS (DDE 69), Jeanne DULA (DDE 93), Christian FAVRE (Ville de Grenoble), Alain GUIHO (CETE de l’ouest), A rnaud JOUINOT (Ville de Châteauroux), Odile LAPOTRE (DGUHC/UC IUH2), Jean-Paul MAZALLON (Ville de Châteauroux)

tableau n° 1 . 1 retrace les différentes approches pour chaque concept ainsi que les manières de les calculer. Cette comparaison met bien en valeur les différences fondamentales entre analyse financière classique et analyse financière publique dans la perception des notions : l'une privilégie le fonds de roulement en tant que somme des disponibilités financières, son but est purement opératoire, l'autre tente d'expliciter l'origine de chaque notion à partir des éléments comptables disponibles. (24)