Percevoir Est Ce Seulement Recevoir

pourtant que c’est la même. Ce qu’est réellement la cire, je le sais par l’entendement, faculté des concepts. (Penser c’est conceptualiser, c’est donc connaître). Conséquence : percevoir ce n’est pas voir mais comprendre ce que nous voyons, identifier des objets. Les sens à eux seuls ne nous donnent pas la chose mais seulement des qualités sensibles : rouge, forme, etc. Donc : avoir conscience des choses c’est d’abord avoir conscience de moi, qui les connaît. Connaissance de l’esprit, plus facile

choses et des êtresA. Le voile qui s'interpose entre nous et les chosesDès le début du texte, Bergson utilise le terme de “voile” afin de décrire une chose qui nous séparerait de notre conscience, Il nous empêcherait donc de communiquer ou bien de recevoir des “informations” de notre inconscient ce qui limiterait la compréhension de nos sentiments et de l’unicité des éléments extérieurs. En effet, ce voile permet d'appréhender la vie selon nos besoins et il ne nous est nécessaire que de savoir si un

La vérité y en a seulement une, mais presque tout le monde la confonde avec leurs propre points de vues, qui sont influences par leurs culture, leurs idéologies, leurs religions … Et c’est la même chose dans des roman, nouvelle, dialogue… ou l’auteur qui s’adresse aux lecteurs peut où faire passer la vérité avec un point de vue équilibrer ou donner son point de vue plus personnel qui nous fera voir seulement un version de l’histoire que parcoure en nous influence et limitent notre « vérité ».

INTRODUCTION : Dans son ouvrage, c’était la guerre des tranchées, Jacques Tardi décris plusieurs histoires totalement différentes. Il n’y a pas de héro principal. Toutes ces situations sont en anachronisme. Il a choisi de raconter ces scènes seulement du côté français. Son registre de langue est plutôt familier. Il ne voulait pas faire un travail d’historien mais simplement connaître la vie des gens banals durant la guerre 14/18. Depuis tout petit, il a été bercé par les histoires que lui racontaient

particulier la Parole initiatique à laquelle nous entraîne la Franc-maçonnerie quand elle ouvre ses travaux sur le Livre de la Loi sacrée au prologue de l’Évangile de Saint Jean : « Dans le principe était la Parole… » La parole, ce n’est bien entendu pas seulement une voix, aussi caressante soit-elle. Certes la voix, comme d’ailleurs l’ensemble du corps et de la gestuelle, est essentielle à l’expression de la parole, mais la voix seule, sans parole à exprimer est un leurre ou un piège. La parole ce n’est pas

On peut toutefois se demander s’il suffit de sentir pour prendre conscience. Percevoir, n’est-ce pas en effet toujours reconnaître, saisir quelque chose à travers ce qui est senti (ce que laisse entendre l’étymologie latine du verbe percevoir : per capere, « saisir à travers ») ? L’expérience immédiate de la sensation ne livre pas le recul constitutif de la conscience : percevoir, ce n’est pas seulement recevoir ; c’est s’apercevoir de ce qui est perçu. B. La conscience, fonction intellectuelle

nous pouvons recevoir sans réaction, nous pouvons assimiler sans préavis, mais nous pouvons tout aussi user d’une relativité et d’un parti pris envers chaque chose, la prendre et la « customiser », la « personnaliser », se l’accaparer suivant notre goût. Mais tout relativisme ne vient pas de façon immédiate. Les sens entraînent donc l’expérience et nous font acquérir des connaissances. Ils permettent notamment la distinction. Ce sont les sens qui permettent de percevoir et de juger

3 T ro is o b je c ti fs Satisfaire un besoin social Égaliser le niveau d’information Avoir un résultat +➢Le verbe communiquer ne signifie pas seulement transmettre, Il signifie « être en relation avec »; ➢Il est aussi utiliser dans le sens de mettre en commun; changer, partager, consulter, participer….. ➢Communiquer, c’est donc être reçu et recevoir; ➢or, nous sommes « reçus » avec le cadre de référence de l’autre et nous comprenons soit en utilisant notre propre cadre de référence, soit en

 par  :       La  Vue  ;   c’est   le   plus   subtil   et   le   plus   délicat   de   tous   les   sens.   Grâce   à   lui,   nous   sommes   à   même   de   percevoir   la   lumière,   et   par   elle,   les   couleurs,   les   formes,   le   mouvement   des   choses  et  des  êtres  qui  nous  entourent,  étant  entendu,  qu’au  moment  de

sur quel mode l’âme peut-elle percevoir ces objets ? Est-ce par le moyen d’images ressemblant aux objets que ces derniers lui enverraient, comme le supposent les scolastiques ? Ou à l’inverse, ces images sont-elles formées par l’âme lorsqu’elle est mise en contact avec des objets ? A la question de savoir si c’est l’âme ou bien les objets qui forment des images s’en ajoute une autre, celle de savoir de quelle « nature » sont ces images qui permettent à l’âme de percevoir les objets. Ces images sont-elles