Père des peuples

l’âge de 17 ans (en 1819) et convainc ses parents de s’installer dans leur château des Peuples, sur la falaise d’Yport en Normandie. ChapitreIISensible et romanesque, elle désire ardemment connaître le bonheur et a tout pour être heureuse : éducation, fortune et beauté. Elle goûte pendant quelque temps une félicité sans mesure, et, toujours assurée de l'indulgente affection de sa famille et portant à son père une tendresse particulière, elle jouit pleinement de leur présence. ChapitresIIIetIVBientôt

la mort de Lénine en 1924. Le titre est « Longue vie au grand Staline ». Description : Au centre de l'affiche, on voit Staline. A droite, il y a des soldats et des avions. A gauche, on aperçoit le Kremlin, des avions, des chars et le peuple soviétique brandissant le drapeau de l'URSS. Au centre, les jeunes défilent. Analyse : Le portrait de Staline est massif et occupe une grande partie de l'affiche. Sa tenue blanche est une tenue de maréchal de l’Union Soviétique : décoration

La gloire de mon père de Marcel PAGNOL Partie n° 1 ( pages 11 à 20 ) Page 11 Je suis né dans la ville d'Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers. Garlaban, c'est une énorme tour de roches bleues, plantée au bord du Plan de l'Aigle, cet immense plateau rocheux qui domine la verte vallée de l'Huveaune. La tour est un peu plus large que haute : mais comme elle sort du rocher à six cents mètres d'altitude, elle monte très haut dans le ciel de Provence

qu’ils ont été les seuls à conserver des traits archaïques introuvables ailleurs. De plus, ces primitifs sont considérés comme race à part car ils n’ont aucune parenté physique, ni linguistique avec leurs voisins les plus proches, c’est-à-dire, les peuples mélanésiens, polynésiens, malais… Cette tribu a de nombreuses caractéristiques, tout d’abord, les habitants ne bâtissent pas de maisons, cabanes, ne possèdent pas d’animaux, et ne cultivent pas le sol. Ensuite, ils se nourrissent de la chair de tous

Refléter la société ? Documents A – Honoré de Balzac, Le Père Goriot, 1835. B – Émile Zola, Germinal, 1885. C – Guy de Maupassant, Bel Ami, 1885. D – Victor Hugo, Quatre-vingt-treize, 1874. m Dans chacun de ces textes, de quelle manière les romanciers donnent-ils, à travers leurs personnages, une image de la société ? Après avoir répondu à cette question, vous devrez traiter au choix un des trois sujets nos 26, 27 ou 28. Document A Sous la Restauration, durant le règne de Louis

de la « co-régence ». Titus en vint rapidement à détenir les mêmes pouvoirs que son père, ne se distinguant de ce dernier que par le fait qu’il n’était pas grand pontife et ne portait pas le titre de père de la patrie. À la mort de Vespasien, en 79, la succession ne fit donc pas difficulté. Titus disposait de pouvoirs juridiques, mais aussi d’une certaine légitimité, reposant sur l’héritage symbolique de son père. Héritier, Titus n’en devait pas moins, comme tout nouvel empereur, susciter l’adhésion

Néanmoins le fait que la peste soit un élément problématique du peuple de Thèbes fait penser à les peste qui a sévit dans cette région en 429. Quoiqu’il en soit l’époque de l’écriture et très proche de l’époque de l’action. Chapitre IV Un mal mystérieux sévit sur la ville de Thèbes : Le peuple de Thèbes est affamé, une peste ravage les troupeaux de moutons, les terres, tout comme les femmes, sont devenues stériles. Le peuple se tourne vers Œdipe dont il attend une solution car c’est l’homme

Puy-en-Velay, Jules Vallès est le troisième enfant d’un père instituteur et d’une mère, fille d’un paysan. La vie des parents de Vallès ne sera pas très heureuse, dû aux faibles revenus. En 1833, le père de Vallès travaille comme maître d’études au collège royal du Puy, mais il est renvoyé et reprend ce travail en 1839. C’est pour cela que Vallès connaîtra donc une enfance difficile et malheureuse marquée par la pauvreté au Puy-en-Velay. Son père est intransigeant et sa mère violente, possessive et

l’âge de 17 ans (en 1819) et convainc ses parents de s’installer dans leur château des Peuples, sur la falaise d’Yport en Normandie. Chapitre II Sensible et romanesque, elle désire ardemment connaître le bonheur et a tout pour être heureuse : éducation, fortune et beauté. Elle goûte pendant quelque temps une félicité sans mesure, et, toujours assurée de l'indulgente affection de sa famille et portant à son père une tendresse particulière, elle jouit pleinement de leur présence. Chapitres III

Contrôle de lecture : l’œil d’Horus 1. Comment s’appelle le père de Menî ? Il s’appelle Kanefer. Il s’appelle Antaref. Il s’appelle Akhénaton. Il s’appelle Aménophis. 2. Dans le premier chapitre, pourquoi le roi est-il soucieux ? Parce que son fils est parti chasser l’hippopotame. Parce que son fils ne se prépare pas à son futur métier de roi. Parce que la guerre menace le pays. Parce que son fils est parti parler au scarabée d’or pour apprendre les secrets du désert. 3. Pourquoi