Période interglaciaire

calottes glaciaires, les sédiments marins ou les spéléothèmes (dans une grotte, les, spéléothèmes sont des dépôts minéraux précipités). Le climat mondial global actuel se situe dans une période interglaciaire, c’est-à-dire caractérisée par des calottes de glace peu développées, par opposition aux périodes glaciaires. Il y a quelques milliers d'années, le Sahara avait un climat humide et de nombreux fleuves et lacs, dont le Lac Méga-Tchad. Le bassin parisien a aussi changer de climat.

l’effet de serre ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 Variations passées du climat . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6 Les cycles glaciaires-interglaciaires depuis un million d’années L’interglaciaire actuel depuis 8000 ans Les changements climatiques sont déjà là : observations scientifiques . . . 7 L’homme est responsable . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

d’air prisonnières dans des couches de glaces en Antarctique et du deutérium dans l’eau de ces glaces nous donnent des résultats concordants sur l’évolution du climat. Celui-ci a connu une grande instabilité : des périodes froides marquées par un δD et des taux de CO2 faibles, des périodes chaudes avec un δD et un taux de CO2 plus élevé. De la même façon, la calotte glaciaire du Groenland a aussi été étudiée et on a montré que les variations climatiques enregistrées au pôle Sud étaient synchronisées

Origine Le réchauffement climatique est en fait un phénomène naturel qui fait partie d’un cycle. L’étude des variations climatiques durant les 700 000 dernières années montre une alternance de périodes glaciaires et interglaciaires. Un cycle de 100 000 ans rythme les glaciations. L’origine de ces périodes est à rechercher dans les phénomènes de nature astronomique et géologique mais à notre époque ce sont les activités humaines qui amplifient ce phénomène avec un plus grand dégagement des gaz à effet

d'associations végétales actuelles. On s'appuie donc sur le principe d'actualisme. Ainsi on peut montrer la succession des périodes froides et chaudes du quaternaire. L'analyse pollinique d'Iversen et sa représentation schématique du cycle bioclimatique ont mieux caractérisé les successions de végétations situées aux latitudes moyennes dans les cycles glaciaires et interglaciaires (in Revue Histoire et Archéologie Cf. Bibliographie). Les diagrammes polliniques montrent l'évolution climatique, mais aussi

époque de la période Néogène. Le Pléistocène correspond à une période géologique allant de -2588 Ma à -0.0117 Ma, en Préhistoire il correspond au Paléolithique. C’est durant cette période que les hominoïdes se sont développés jusqu’à devenir Homo Sapiens, et que des mammifères de zones chaudes (l’éléphant d’Afrique, l’hippopotame, le rhinocéros), et d’autres des zones froides (le renne, le glouton, le bouquetin, le chamois, la marmotte) sont apparus. Cette période a donc connu des périodes plutôt chaudes

l'augmentation du niveau moyen de la mer". Ce graphique montre l’évolution des températures moyennes mondiales sur mer et sur terre de 1850 à 2008. En ordonnée, se trouvent les écarts de températures en °C par rapport aux normales calculées pour la période 1961-1990. + 0,55°C entre 1935 et 2009. Question de l’analyse : Ce réchauffement est-il du à l’activité humaine ou résulte t’il des cycles naturels de la Terre qui se répète au fils du temps comme le prétendent certains sceptiques ? CONTEXTE

atmosphériques en dioxyde de carbone et en méthane ont augmenté de 30 % et de 150 % depuis le début de l'industrialisation en 1750. Les concentrations actuelles sont nettement plus élevées qu'elles n'ont jamais été lors des 650 000 dernières années, période pendant laquelle des données fiables peuvent être extraites des calottes glaciaires. D'autres indices géologiques tendent à montrer que les concentrations actuelles en CO2 sont les plus élevées jamais atteintes depuis au moins 20 millions d'années

profondeur à laquelle ces sédiments se déposent, nous pouvons déterminer des cycles de transgression-régressions, qui correspondent à une montée-descente du niveau de l’eau. Ces cycles nous informent des différentes périodes glacière et interglaciaire qui se sont écoulée, car en période glacière, il n’y a pas beaucoup d’eau à l’état liquide présente sur Terre. Cet affleurement nous permet donc de dire que l’Auvergne, par son passé, a été sous des centaines de mètres d’eau avant d’être aujourd’hui

Le comportement sociable s’accentue dans ces milieux ouverts. 11 Service Education Plusieurs rameaux de ces espèces ont disparu mais les formes rusa (bois simple à deux andouillers) et sika (6 ou 8 cors de petite taille) qui datent de cette période sont encore répandues en Asie. le genre dama, aux bois palmés, existe dès le Pliocène. En fit partie le plus grand cervidé ayant jamais existé : la fameux cerf géant des tourbières d’Irlande, Cervus megaceros, dont les bois atteignaient jusqu’à 4