Péripétie

Dans l’ordre chronologique. | Elément perturbateur : L’attachement du lieutenant au fort | | Péripéties :-l’attente d’une attaque ennemie qui n’arrive Jamais. -Quelque fausse alerte. | | Elément de résolution : L’ennemi attaque enfin. | | Situation finale : Drogo malade se retire, son ennemi a présent est la mort. | 8. |

sur l’autoroute 20 et ils s’entendent tellement bien qu’ils décident de renouveler l’expérience à l’avenir. Après quelques rencontres, Étienne se met à douter d’avoir déjà été ami avec Alex, l’auto-stoppeur, avant ses 9 ans. Principales péripéties :   1. Lors d’une nuit, Étienne fait un rêve : il marche dans un bois, par une belle journée ensoleillée. Des arbres, un petit sentier de terre battue. Il marche et tout-à-coup une couleuvre rampe entre ses pieds. Il lève la tête et voit

l'aimait avec passion ». un élément perturbateur: (l64 à 70) « Zadig était blessé plus dangereusement; un coup de flèche reçu près de l'œil lui avait fait une plaie profonde. […] ; mais un abcès survenu à l'œil blessé fit tout craindre. » une péripétie: (l70 à 72) « on envoya jusqu'à Memphis chercher le grand médecin Hermès qui vint avec un nombreux cortège.il visita le malade, et déclara qu'il perdrait son œil; il prédit même le jour et l'heure où ce funeste accident devait arriver. » élément

moment là que Hans découvre que Conrad, depuis sa dernière lettre avait changeai d'avis. Le schéma narratif : _La situation initiale : Une grande amitié se lie entre Hans et Conrad. _l'élément pertubateur : L'arrivé d'Hitler au pouvoir _les péripéties : Hans subit les persécutions de ses camarades de classe et découvre que la mère de Conrad déteste les juifs. _l'élement de résolution : Hans part pour l'Amérique _situation finale : Conrad est mort car il à participer à la tentative d'assassinat

perturbateur : " Papa ne disait rien. D’habitude… ", le silence devient écart par rapport à tous les autres jours. Cette rupture dans l’itératif est donc un élément perturbateur, du reste interprété comme tel par l’enfant. 4 Les actions : Les différentes péripéties de la promenade dans lesquelles le narrateur suggère par petites touches, la séparation prochaine du père et de l’enfant. 5 L’élément équilibrant : Par la disparition du pot de géranium, le père prend conscience de l’arrestation de son épouse.

furent attaqués par deux chenapans qui voulaient s’en prendre à Hari. Quand Hari et Hummin s’étaient débarrassés d’eux, Hummin voulait cacher Hari parce qu’il pensait que c’était Demerzel qui les avait envoyés, donc il se cacha alors sur la capitale. Péripéties : Hari se cacha alors à l’université, parce qu’Hummin a dit que l’endroit le plus sûr dans toute la galaxie était la capitale, parce que l’empereur ne voudrait pas créer un scandale. Aussi les empereurs auparavant avait fait un traité avec l’université

|Face à cette nouvelle situation, il faut agir. Les | | | |actions s’enchaînent : ce sont les péripéties. Elles| | | |correspondent aux différentes étapes du récit. | | |

le petit enfant. D'ailleurs, il est plongé dans un monde merveilleux. Élément perturbateur : Ce qui trouble ce bien-être c'est la ruine du père qui a perdu son capital : l'argent qu'il portait sur lui est tombé quelque part dans un souk. Péripéties : Le voyage du père à la campagne, où il exerce un travail pénible afin de pouvoir amasser de l'argent nécessaire pour se rétablir dans son atelier. (Ch. VIII, IX, X, XI). Le congé accordé au petit qui ne va pas à l'école coranique à cause de sa

la fois un nouveau personnage, Billie, et un héros qui va se transformer au fil des pages et des péripéties. « Qui êtes-vous ? demandais-je » p.73 (Tom) « Je pensais que vous me reconnaîtriez » p.73 (Billie) « J’avais plus de preuve qu’il n’en fallait, mais cela me déroutait tellement. » p.104 Troisième partie : C’est dans la troisième partie que se déroulent presque toutes les péripéties de nos deux héros : les voyages pour retrouver Aurore, la femme que Tom croit aimer, les sorties en

caractères mais pas sans actions. Notion d’effectuer l’œuvre propre de la tragédie qui se fait mieux pour les tragédies ayant un assemblage d’actions. De plus : plaisir que nous trouvons dans la tragédie est d’avantage pour les parties de la fable (péripéties). Il est plus aisé d’arriver à la vérité précise avec les caractères qu’avec les actions. Fable : « âme de la tragédie ». Ensuite viennent les caractères, puis la pensée. -> pensée c’est la faculté de trouver le langage adéquat pour la situation