Périphrase

coupure de la réalité extérieur. 3ème strophe Au V1 la coupure se prolonge (« je ne regarderai ni (…) Vers Harfleur). Hugo met en valeur les éléments concrets par le recourt à des figures de rhétoriques. V1 « l’or du soir qui tombe » est une périphrase qui désigne le crépuscule. C’est en outre une métaphore hyperbolique comme le montre le mot « or ». Au V2 nous pouvons relever une autre figure de rhétorique, une synecdoque « les voiles » désigne les bateaux. Au V3 Hugo réserve un puissant

penséeIl s’agit d’un écart entre ce qui est dit et ce que l’on pense. Une antiphrase : Elle exprime une idée par son contraire, l’intention est en général ironique. Ex : tu as admirablement échoué à ton permis de conduire : bravo ! continue !Une périphrase : Elle consiste à remplacer un mot par une expression de sens équivalent. Ex : Une petite chose noire et poilue tissant une toile ( = araignée)Un euphémisme : Cette figure sert à modérer le caractère pénible d’une idée ou d’un sentiment.Ex : une

présent et renforce l’idée d’imaginaire, de rêve. Et cet idée se renforce avec le: vers 9 “Morphée” qui est la déesse du sommeil. Mais avec le vers 6: “ et mettait a profit” qui est un verbe d’action dans ce vers “l’absence du soleil” est une périphrase renvoyant a la nuit qui donc nous fait penser a l’imaginaire. Grâce a cela cette fable appartient a l’imaginaire. b- La réalité de la vie De plus, la réalité est aussi omniprésente grâce au verbe d’action qui sont fréquemment utilisé vers 6

Figures de style -la métonymie : consiste à remplacer, dans le cours d’une phrase, un mot par un autre, qui entretient avec lui un rapport logique. Ainsi la métonymie est une figure opérant un changement de désignation. -la périphrase : consiste à remplacer un mot par sa définition ou par une expression plus longue, mais équivalente. -la comparaison : consiste à mettre en relation, à l'aide d'un mot de comparaison appelé le comparatif, deux réalités appartenant à deux champs sémantiques différents

ou d’une réalité concrète « La nature vous aimes, et ça se voit. » Métonymie : Désigne un élément par un autre « L’adieu suprême des mouchoirs = le départ. » Synecdoque : Désigne une réalité par une de ses parties « Une voile = un bateau. » Périphrase : évoque une réalité par une expression synonyme « La perfide Albion = l’Angleterre. » Antiphrase : exprime le contraire de la pensé « Belle, belle, belle. » Antithèse : oppose de thermes « On est en deuil, on est en fête. » Oxymore : Allie deux

verser des torrents de larmes ; être doux comme un mouton… en cliché : Ex : des cheveux d’or ; un cœur de pierre… Les figures de substitution, qui remplacent un terme par un autre terme ou par toute une expression : Métonymie Synecdoque Périphrase Elle remplace un mot par un autre mot selon un lien Ex : Je viens de lire un Balzac. / Boire un verre. logique. Il est premier violon à l’orchestre de Lille. Le Vatican est en désaccord avec la Maison blanche. La France a remporté la Coupe

de la simple constatation Le monde décrit aurait pu être beau, radieux et heureux, mais il n'est qu'apparence. En neuf syllabes, les dernières, le poème invite son lecteur à une relecture. Le sommeil et la mort offrent la même apparence. La périphrase "Il a deux trous rouges au côté droit" (14) est un euphémisme d'une neutralité efficace, au puissant pouvoir de suggestion. Le constat dépourvu de toute affectivité place le lecteur devant le fait accompli. La mort arrive comme une surprise macabre

large ou plus restreint qu’il ne comporte habituellement. Vous dites adieu à ces murs que vous allez quitter (Alain) ; « ces murs » = cet établissement. « Acheter un vison » pour « Acheter un manteau fait en peau de vison ». La périphrase Elle consiste à remplacer un mot par une expression de sens équivalent qui évite une répétition ou donne une explication. Le 7ème art pour le cinéma. Le plancher des vaches pour le sol. III) Les figures par opposition L'antithèse

mourir de rire litote : dire moins que ce qu’on pense : je ne suis pas mécontent (=je suis content) oxymore : unit deux caractéristiques opposées : neige brûlante paradoxe : idée qui surprend par illogisme : un malheur peut être profitable périphrase : remplace un terme par une définition : la capitale de la France pléonasme : répéter une même chose ds une même expression : monter en haut prétérition : faire semblant de ne pas dire et dire qd même : je ne vais pas te dire que tu as tort redondance

incompréhensibles 2 questions interrogatives normales qui montrent le discours est creux. L 2 deviens le décalage énorme entre les personnages. L 1 à 8 discours creux. II Un regard critique sur la société La préciosité Une périphrase L9 Il va utiliser le langage précieux = volonté d’ironie Expression qui marque l’essai L’adjectif est placé devant le nom = forme d’insistance L 11 de trop = évoque l’essai L 13 vacuité du langage Le sentiment de supériorité