Périptère

fait d'ivoire, les cheveux, la barbe, les sandales, et la draperie, en or. Le trône était d'ébène et d'ivoire. Par vénération pour le sculpteur, l'atelier fut conservé jusqu'au Ve siècle après J.-C.. Le temple était, quant à lui, de style dorique périptère (6 x 13 colonnes), construit avec le calcaire coquillier local et recouvert de stuc blanc. Seul le toit et quelques décors étaient en marbre. Le temple de Zeus est dû à l'architecte éléen Libon (en). La statue de marbre de la victoire, qui atteignait

(31 m sur 15 m) et l’utilisation des ordres sont dus à l’influence grecque. Le pronaos ouvert précède la cella, salle cultuelle. Des demi-colonnes engagées tout autour de la cella prolongent la colonnade du pronaos. Cette disposition, dite pseudo-périptère, anime et rythme les façades. Elle s’impose à Rome au cours du Ier siècle avant J.-C. Nemausus, la divinité topique, de l’eau, devait faire l’objet d’un culte sur le lieu même de la Fontaine, où une dédicace retrouvée près de la source est également

Polyclèse et Dionysios. 179 Refection -33 -23 au revers des deux temples (selon le forma urbis) abside ( curia Octaviae, bibliothèque 119x132 plan différent pour temples 1. Junon (ouest) prostyle, hexastyle 2. Jupiter, periptère sine postico ( à la base il devait être périptère, selon Vitruve, réfection augustéenne) incendi 80 et 191 2 propylées pour les entrées sur plinthes en tuf opus quadratum murs latéraux en brique à l'origine recouvert de marbre propylées quatre colonnes d'entrée, corinthiennes

bois, dont a seulement retrouvé les trous. On a pensé que ce bâtiment était à l’origine de la construction des temples grecs. Ce site n’aurait rien de cultuel. Il aurait probablement eu un auvent pour protéger la brique de la pluie. = bâtiment périptère, colonnes de bois, surmonté d’un tumulus recouvert d’une sépulture. Il y aurait eu un porche, une grande salle, deux petites pièces puis l’abside. Au centre de la grande salle, on a trouvé deux fosses (inhumation). Dans la plus grande, les

l’autorité papale(laboratoire, foyer des arts et de l’urbanisme. Radicalisation extrême des 1ers principes de la Renaissance. • Edifice religieux à plan central Tempietto San Pietro in Montorio, Bramante, 1502 : monument, martyrium, temple périptère circulaire, point culminant de la Renaissance classique, reconstitution du bâtiment idéal. • Palais Romain = palais florentin remis en question, plus spectaculaire, plus imposant Cour plus imposante, en U ouvert sur le jardin, façade

central Basilique St Pierre, Rome Le chantier de la nouvelle basilique est capital = laboratoire pour ttes les nouveautés (Raph, Mich, Vignole, Bernini s'y succèdent) Tempietto San Pietro in Montorio, Bramante, 1502 : monument, martyrium, temple périptère circulaire, point culminant de la Renaissance classique, reconstitution du bâtiment idéal. Palais Romain = palais florentin remis en question, plus spectaculaire, plus imposant Cour plus imposante, en U ouvert sur le jardin, façade intérieure

généralement profond, et une céna. La colonnade qui fait le tour du bâtiment est constituée de demi colonnes, elles sont engagées dans les murs de la cella, sur ses coté et à l'arrière, il n'y a donc pas de péristyle. C'est ce qu'on appel un temple pseudo periptere. Prewence d'un escalier frontale, façade princiape du temple, et seul accès. le niveau du sol s'est relevé avec le temps, le temple est posé sur un podium. ordre ionique, couramment utilisé à la période de la fin de la reoublique. il ne s'agit pas

L’architecture religieuse Le temple romain : vient du temple grec. Le temple romain est surélevé, il est posé sur un podium rectangulaire, il est généralement orienté vers l’Est, on y accède par un escalier situé sur le côté. Il est généralement pseudo-périptère : salle principale : Sélat avec des colonnes qui sont engagées dans le mur. 2 éléments constituent le temple : -cella -pronaos : portique Pour les colonnes, c’est l’ordre corinthien qui orne les colonnes . Le temple romain est hexastyle :

Drusus[8], qui correspond à l'ultime bâtiment dont on peut voir les vestiges. Il s'élevait sur un soubassement recouvert de tuf et de travertin, de 50 m par 30 m, avec sur chaque côté des escaliers étroits recouverts de marbre. Il était octostyle et périptère, c'est-à-dire avec huit colonnes corinthiennes en façade, et onze colonnes sur chaque côté. A l'intérieur (cella), deux rangées de colonnes bordaient chaque paroi. Les ruines actuelles laissent voir une partie du soubassement et trois colonnes de

Pierre  VIGNON,  Eglise  de  la  Madeleine,  Paris,  1808-­‐1848   Pastiche  :  copie   conforme  d'un   monument   Ici  pastiche  d'un   temple  Romain   pourvu  d'une   colonnade  périptère   (qui  fait  le  tour  de   l'édifice).  Les   colonnes  sont   corinthiennes.  Ce   bâtiment  sert  de   point  de  repère  dans   la  ville  tout  comme   l'Arc  de  Triomphe