Permien

comme celle d’un volcan des philippines « Pinatubo » a changé en 1991 à lui seul la proportion des gaz et la luminosité sur toute la bande équatoriale. 3.1.3 Crises passées et potentielles à crise pendant le primaire ou Paléozoïque (Silurien - Permien). On suit l’évolution du nombre d’espèces ou de genres présents dans les strates et on observe une diminution importante qui a l’échelle géologique est relativement rapide Cela correspond aussi à une crise géologique correspondant à la constitution

repéré cinq crises géologiques principales datantes de 435 MA, 360 MA, 245 MA, 205 MA, et 65 MA. Elles correspondent toutes à des extinctions massives suivies d’une diversification des espèces. Avec un taux d’extinction de 90%, la crise de la fin du Permien est la plus importante de toutes les crises. L’étude des roches montre que des manifestations géologiques de grandes ampleurs se sont produites à cette époque (Trapps de Sibérie et volcanisme intense en Chine) ainsi qu’une modification de l’atmosphère

siluriennes, du fait de leur profondeur d'enfouissement, sont principalement génératrices de gaz naturel, sauf dans les extensions vers le sud-ouest. Le gaz qu'elles ont produit a chargé la formation « Khuff », une strate de carbonates datant du permien. Les schistes et les marnes jurassiques, plus récentes et donc moins profondes, sont, elles, en phase de génération de pétrole, ce qui correspond à un stade moins avancé de la maturation du kérogène. Le pétrole produit par ces roches très riches

emballement de l'effet de serre pourrait être causé par la libération de méthane à partir des clathrates (hydrates de méthane qui tapissent le fond des océans) suite au réchauffement planétaire. On suppose que l'extinction massive d'espèces lors du Permien-Trias a été causée par un tel emballement [3]. Il est également estimé que de grandes quantités de méthane pourraient être libérées de la toundra sibérienne qui commence à dégeler, le méthane étant 21 fois plus puissant comme gaz à effet de serre

généralement 5 grandes extinctions:     À la fin de l'Ordovicien (-440 Ma): un tiers de la faune marine s'éteint.     À la fin du Dévonien (-367 Ma): l'écosystème de récifs disparaît presque complètement pour ne réapparaître qu’au Trias.     À la fin du Permien (-245 Ma): c'est la plus grande extinction ; plus de la moitié des familles d'organismes marins disparaissent et les vertébrés terrestres sont décimés. Plus de 90% des espèces disparaissent.     À la fin du Trias (-208 Ma): les organismes nectoniques

de l'Éocène au Silurien, prélevés sur le continent nord-américain. En trait vert, c'est la trajectoire établie à partir d'échantillons datant de l'Éocène au Jurassique, prélevés en Inde. E=Éocène (50 Ma); J=Jurassique (175 Ma); T=Trias (225 Ma); P=Permien (260 Ma); Ca=Carbonifère (320 Ma); S=Silurien (420 Ma); Cb=Cambrien (530 Ma). Deux choses apparaissent anormales ici: 1) les trois trajectoires ne coïncident pas; il devrait pourtant n'y avoir qu'une seule trajectoire puisqu'il

. • Les limites entre les Eres se sont imposées par une modification drastique de la faune et de la flore fossile. •Les limites des étages correspondent à des modifications moins importantes 140 Secondaire Mésozoïque Jurassique 195 Trias 230 Permien 280 Carbonifère 350 Dévonien Primaire Paléozoïque 400 Silurien Dévonien 500 Cambrien 440 âges absolus de ces limites ont été déterminés par géochronologie. •Les 570 Précambrien Datation absolue par Géochronologie Décroissance au cours du temps

crise ordovicienne permet de voir à partir du document du document la disparition du groupe des Hybocrinides. Cette crise n’aura d’effet que sur ce seul groupe. Elle n’a pas eu de conséquences sur les autres groupes et sous-groupes. Au niveau du permien , la crise permo-triasique va causer la perte de quatre groupes de crinoïdes. En effet à partir du document, on constate que cette crise correspond à la disparition des Flexibilia , des Cladida, des Camerata et des Aethocrinus. Enfin la dernière

de diversification biologique importante (apparition  de nouveaux groupes et espèces) Cinq crises majeures ont eu lieu: Fin Ordovicien (-440 Ma, 57% d’extinction des genres dans la faune marine) Fin Dévonien (-365 Ma, 50% d’extinction) Fin Permien (-245 Ma, 83% d’extinction) Fin Trias (-205 Ma, 48% d’extinction) Fin Crétacé (-65 Ma, 50% d’extinction) Source Source : Lethiers, Evolution de la biosphere et evenements geologiques. 1998 (GBSP)   Après ces cinq grandes phases d’extinction

qui a lui-même lentement dérivé vers le nord, amorce sa collision avec le supercontinent Laurussia, créant l'orogénèse hercynienne (voir hercynien) qui soulève les Appalaches et les Maurétanides : c'est l'assemblage de la Pangée, achevé au début du Permien (290 Ma). Au sein de la Pangée, Gondwana perd encore le terrane de Cimmeria, incluant des fragments de l'actuelle Turquie, Iran, Afghanistan et Tibet, qui dérive vers le nord. Pangée se fracture à la fin du Trias, approximativement là où elle s'était