Personnag Du Lys Dans La Vallée

universelle ; pour Démocrite, il est lié au hasard et ne peut faire l’objet de châtiments. La mythologie grecque met aussi en place une forme de « cacogonie » positive. Dans le Protagoras de Platon, on trouve un récit anthropogonique autour des personnages fondateurs que sont les deux frères Epiméthée et Prométhée. Le moins que l’on puisse dire est que tout commence bien « mal » pour l’homme : Epiméthée l’a oublié et il apparaît « nu, sans chaussures, ni couverture, ni armes ». Pourtant, c’est de

affirmation exacte à propos de Francisco Franco : A) Il a été le chef de l’Etat espagnol de 1939 à 1975 B) Il est mort en 1979 C) Il portait le titre de Caudillo D) Il a combattu aux côtés d’Hitler 65. Spartacus est : A) Un soldat romain déserteur B) Un personnage inventé C) Un général romain D) Un esclave gladiateur 66. Aïda est un opéra de : A) Verdi B) Monteverdi C) Rossini D) Vivaldi 67. La Douma est, en Russie : A) Le Parlement B) La place devant le Kremlin C) Un quotidien D) Une prison 68. Qui est Mariano

de Clèves 3 Abbé Prévost, Manon Lescaut 4 D. Diderot, Le Neveu de Rameau G. de Maupassant, Bel-Ami 5 Dissertation sur le réalisme Prolongements Séquence 14 L’amour dans le récit réaliste Stendhal, La Chartreuse de Parme H. de Balzac, Le Lys dans la vallée ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE Stendhal, La Chartreuse de Parme TEXTE 2 A. Dumas fils, La Dame aux camélias D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 P. Mérimée, « Carmen » ANALYSE D’IMAGE G. Verdi, La Traviata TEXTE 3 G. Flaubert, L’Éducation sentimentale D’UN TEXTE

progrès scientifique et industriel 2 4. L’empire colonial 2ème séance Napoléon I, figure du siècle Un personnage historique d’exception tel qu’a été le général Bonaparte puis l’Empereur Napoléon n’a pas manqué d’intéresser la littérature. Toute cette littérature, tous ces discours qui portent sur l’Empereur se nomme LA LEGENDE NAPOLEONIENNE. Répondant à la complexité même du personnage historique, cette légende (ou ces légendes) n’a rien d’homogène. Par besoin de clarté, on dira que cette légende

Connaissances-savoirs » : de quoi s’agit-il ? Connaissances sur l’homme ? Savoirs historiques, géographiques, scientifiques « Plaisir » : De quels plaisirs parlons-nous ? Plaisir de l’histoire, plaisir du style, plaisir, plaisir de connaître des personnages... « Mission » et « Maître d’école » : notion limitée. Voir d’autres fonctions. « Vous appuierez votre réflexion sur des exemples » : donnez des exemples, pas de généralités. « Que pensez-vous... » : la discussion est ici clairement possible. On

confrontation du spirituel et du temporel. Scène découpée en 3 parties : Centre : le collecteur d’impôts (histoire revisitée, dans les Evangiles, cela se passe dans la maison où sont installés Jésus et les apôtres, ici, on est devant le paysage de la vallée de l’Arno, scène extérieure.) Jésus entouré des apôtres, qui tend le bras vers Saint Pierre, à qui il ordonne d’aller pêcher un poisson dans le lac, où ce dernier trouve une pièce. (figure de st Pierre encore). A droite : Pierre paie le collecteur

récit une forme étiologique ouvrant sur les grandes découvertes (l’Histoire), les fondations des villes (les mythes), le rôle et la force des légendes (la civilisation). Les élèves pourront lire l’album comme une devinette : de qui parlent les personnages ? On proposera à leurs lectures des textes complémentaires sur la légende de Didon dont une version courte est présentée en fin d’album. Le travail d’interprétation pourra être mené comme la recherche d’une énigme créée par l’auteur qui ne rend

printemps. Ô coteaux ! ô sillons ! souffles, soupirs, haleines ! L’hosanna des forêts, des fleuves et des plaines, S’élève gravement vers Dieu, père du jour ; Et toutes les blancheurs sont des strophes d’amour ; Le cygne dit : Lumière ! et le lys dit : Clémence ! Le ciel s’ouvre à ce chant comme une oreille immense. Le soir vient ; et le globe à son tour s’éblouit, Devient un œil énorme et regarde la nuit ; Il savoure, éperdu, l’immensité sacrée, La contemplation du splendide empyrée,

là le printemps. Ô coteaux ! ô sillons ! souffles, soupirs, haleines ! L’hosanna des forêts, des fleuves et des plaines, S’élève gravement vers Dieu, père du jour ; Et toutes les blancheurs sont des strophes d’amour ; Le cygne dit : Lumière ! et le lys dit : Clémence ! Le ciel s’ouvre à ce chant comme une oreille immense. Le soir vient ; et le globe à son tour s’éblouit, Devient un œil énorme et regarde la nuit ; – 17 – Il savoure, éperdu, l’immensité sacrée, La contemplation du splendide empyrée

On!pense!enfin!aux!candidats!ayant!su!se! demander!si!la!poésie!était!bannie!du!roman,!à!partir!des!ouvrages!supposés!grossiers! dans! la! citation,! comme! le! roman! balzacien! (ainsi,! dans! l’antithèse,! une! analyse! de! la! poéticité!du!Lys$dans$la$vallée!a!été!très!convaincante).!Il!a!été!dommage,!a$contrario,!de! voir! assimiler! notre! auteur! à! un! critique! grincheux,! inspecteur! des! travaux! finis! des! artistes,! alors! que! toute! la! citation,! même! sans! connaître! sa! personnalité