Personnage De Dorine

Personnages Mme Pernelle : Mère d'Orgon Orgon : Mari d'Elmire Elmire : Femme d'Orgon Damis : Fils d'Orgon Mariane : Fille d'Orgon, amante de Valère Valère : Amant de Mariane Cléante : Beau frère d'Orgon Tartuffe : Faux dévot (accueilli par le crédule Orgon) Dorine : Suivante de Mariane M. Loyal : Sergent Un exempt Flipote : Servante de Mme Pernelle Résumé Acte I Scène 1 Mme Pernelle sort de la maison d'Orgon mécontente, elle rouspette contre tout le monde (sauf

Scéne 4 ... Qui entre 4 son tour, et qui est persuadé que c’est Mariane quia décidé d'épouser Tartuffe. Les deux amants se disputent, mais Dorine réussit a les réconcilier. Remarque sur I’acte 2 : II ne fait pas beaucoup avancer l’action, méme si on apprend un des enjeux de la piéce : Mariane et Valére doivent se marier et pour cela Tartuffe doit étre exclu de la famille. Scéne 6 Orgon comprend enfin qu'il a été trompé, et en fait part 4 sa femme. Scéne 7 Tartuffe s’appréte a continuer sa cour

son fils- n’est qu’une coquette ; Damis, son petit-fils, un garnement, et sa sœur, Mariane, une petite hypocrite ; Dorine, la suivante, une effrontée, et Cléante, frère d’Elmire, un libertin ! A tous elle donne en exemple Tartuffe, le saint homme que son fils a recueilli chez lui et institué directeur de conscience. Restée avec Cléante, Dorine stigmatise la fausse dévotion du personnage et la naïveté de son maître. Damis revient prier Cléante de plaider auprès de son père pour le mariage de sa sœur

toutes les didascalies insérées par Molière aident les comédiens à jouer dans ce sens, ainsi, on voit des gifles, une scène amusante de dépit amoureux où Dorine court de Valère à Mariane pour les réconcilier, ou encore la première entrevue entre Tartuffe et Elmire où, tandis que l'une s'écarte, l'autre se rapproche. Ensuite, le personnage de Dorine est l’élément comique par excellence, par son caractère de servante sympathique, intelligente et franche, par son langage familier (elle emploie des mots

du mari caché qui dit: «A-t-on jamais rien vu de plus abominable ?», ce qui rappelle le vers 1529 «Voilà, je vous l'avoue, un abominable homme!». Dans Les Hypocrites de Scarron (1655), Molière a pu trouver l’idée du tempérament gourmand que décrit Dorine, ainsi que son souci des signes extérieurs de la dévotion: [...] il ne bougeait des prisons, il préchait devant les prisonniers [...]; si on lui demandait son nom, il respondoit qu'il était l'animal, la beste de charge, le cloaque d'ordures, le

dans ce sens, ainsi, on verra des gifles (v169-171 et 579) , une sympathique scène de dépit amoureux où Dorine courre de Valère à Marianne pour les réconcilier , ou encore la première entrevue entre Tartuffe et Elmire où tandis que l'une s'écarte, l'autre se rapproche. Ensuite vient le personnage de Dorine. Par son caractère sympathique, intelligent, et franc, cette servante est le personnage comique par excellence. Tout d'abord par son langage familier, elle emploie des mots ou expressions qui

répétitions, les gestes, l’ironie, l’impuissance des personnages sont autant de moyens de faire rire. Le comique est précieux dans cette scène : il permet la dénonciation de ce qu’il y a de perverti et d’absurde dans l’attitude d’Orgon, sans que la scène devienne jamais pénible. C’est Dorine qui introduit le comique et la résistance à la volonté d’Orgon, c’est-à-dire deux rappels de la norme qui nous invite à juger ce dernier. L’acte II est l’acte de Dorine, son heure de gloire : par la suite elle laisse

Laitière et pot au lait C'est une des rares fables qui présente un personnage féminin. Construction subtile car vivacité du récit sur 29 vers et ensuite une méditation qui correspond à la morale où la poésie se laisse aller à la confidence. Idée directrice : Ne pas se laisser emporter par le rêve et gérer la situation présente. Axes :I Les péripéties du récit (vers 1 à 29) II La méditation du poète (vers 30 à 43) I - Les péripéties du récit A°) Jeunes femme très agile au corps en mouvement

Tartuffe et la préoccupation grotesque d’Orgon auprès de Dorine sur l’état de Tartuffe qu’il a pris en admiration plutôt que pour sa femme Elmire qui est la seule souffrante. La progression du texte se concentre sur l’état de Tartuffe qui au final « reprend courage comme il faut » alors que c’est la femme souffrante qui a réellement repris courage. La scène se finit sur l’hypocrisie prochaine par Dorine en prévoyant d’annoncer à Elmire les intérêts d’Orgon

les costumes des personnages. Par exemple, entre Dorine qui était en orange, ce qui peut être vu comme du rouge et Tartuffe qui était en blanc. On peut interpréter cela comme l'ange et le diable ou même "le yin et le yang" ; donc des opposés. En effet, Orgon était aussi en blanc, donc du côté de Tartuffe et les autres du côté de Dorine. Il ne faut pas oublier que seuls Orgon et madame Pernelle ne voyaient rien au jeu de Tartuffe. Pour finir, je vais me concentrer sur les personnages et les comédiens