Personnage De Dorine

spectateur de l’époque et du lieu de l’action : Britannicus se déroule dans l’antiquité à Rome, Le Tartuffe à lieu au XVIIème siècle à Paris alors que Lorenzaccio se passe à Florence en 1537. De plus, elles nous informent sur la situation et les personnages. Dans la pièce de Racine, nous apprenons qu’Agrippine, mère de Néron est tourmentée par son fils en se lamentant des : « chagrins qu’il causent »v7 mais veuve du père de Britannicus, elle est troublée par la concurrence que se font les deux jeunes

du Tartuffe de Molière. Cette analyse sur l'acte I, scène 4 du Tartuffe de Molière a été rédigée par un professeur de français. Sommaire du commentaire composé Le ridicule d'Orgon Un personnage crédule L'aveuglement d'Orgon Un comique à multiples facettes Le décalage des protagonistes Le rôle de Dorine La répétition Molière, Tartuffe - Acte I scène 4 (Commentaire composé) Introduction : Cet extrait situé vers le début de l'oeuvre de Molière, qui est avant tout une scène de comédie

leçon à chacun des personnages du camp adverse. Il fut successivement le portrait à charge de chacun et leur fait de nombreux reproches. Comme elle ne leur laisse pas le temps de répliquer, on a l’impression qu’elle a le dessus. – Vers 41 à 63 : Madame Pernelle commence à faire changer le ton de la conversation et se met à parler de Tartuffe qui est la cause de la mauvaise entente au sein de la maison. Cette dernière voit en Tartuffe un modèle en tout que les autres personnages doivent suivre. Ici

fils- n’est qu’une coquette ; Damis, son petit-fils, un garnement, et sa sœur, Mariane, une petite hypocrite ; Dorine, la suivante, une effrontée, et Cléante, frère d’Elmire, un libertin ! A tous elle donne en exemple Tartuffe, le saint homme que son fils a recueilli chez lui et institué directeur de conscience (sc. 1). Restée avec Cléante, Dorine stigmatise la fausse dévotion du personnage et la naïveté de son maître (sc. 2). Damis revient prier Cléante de plaider auprès de son père pour le mariage

Marianne se répondent en écho. le comique de caractère: la comédie met en scène des personnages qui ont des défauts, des vices. Pour faire rire, l'auteur accentue volontairement à l'excès ces défauts. Dans Tartuffe, I,1 le conflit entre Mme Pernelle et les autre personnages; II,2 la dispute entre Orgon et Dorine; II,4 les amoureux, Valère et Marianne qui se croient trahis. La caricature du personnage d'Orgon : un mari et un père totalement aveugle … le comique de gestes: de nombreux

qu’Orgon lui a remis, il va le dénoncer au roi. Tartuffe est tombé dans son propre piège, le roi qui avait conservé son affection envers celui qui l’avait jadis bien servi. Orgon fut pardonné et c’est Tartuffe qui est arrêté. Troisième Partie : 1. Les personnages principaux, secondaires et figurants : Orgon : Le chef de famille. S’est remarié avec Elmire, après avoir eu des enfants d’un premier lit. Particulièrement bigot, il est littéralement envoûté par le "faux dévot" qu’il a recueilli chez lui et pris

acte Acte I Scène 1 : Scène d’exposition, présentation des personnages. Madame Pernelle dispute tout le monde, elle trouve un défaut à chacun en défendant Tartuffe. Scène 2 : Dorine et Cléante se plaignent de Madame Pernelle, puis critiquent Tartuffe et Orgon. Scène 3 : Conversation entre Elmire, Marianne, Damis, Cléante et Dorine. Tous veulent que Cléante parle à Orgon de l’hymen entre Marianne et Valère. Scène 4 : Arrivée d’Orgon. Dorine lui raconte ce qui s’est passé durant son absence. Comique

les autres personnages (« eux » ) dans un faux aparté. Une chose inconnue du spectateur a provoqué la colère de Mme Pernelle et son désir de quitter les lieux. C’est donc un début « in medias res » (qui signifie en latin « au milieu des choses »). En commençant ainsi la scène d’exposition, Molière capte l’attention du spectateur, qui voudra comprendre la raison de la colère du personnage. Cette colère se déploie durant toute la scène. Mme Pernelle va s’attaquer à chaque personnage, soulignant

progression de la maladie. Le bruit de sa mort se répand à Paris à plusieurs reprises. Le 17 février 1673, lors de la quatrième représentation duMalade imaginaire, sa nouvelle et ultime pièce où il se moque des médecins et de l'engouement démesuré de son personnage pour la médecine, un malaise le saisit sur scène. Transporté chez lui, rue de Richelieu, il meurt dans la soirée. Les comédiens n'ont pas droit à une inhumation religieuse. Mais, sur intervention de Louis XIV, son corps a droit à un enterrement

chacun de ses membres, qui devraient plutôt s’inspirer des préceptes de Tartuffe, un « saint homme » qu’Orgon a recueilli chez lui. Tout le monde proteste, car ce personnage n’est qu’un gueux hypocrite, qui profite de la crédulité de son protecteur. Madame Pernelle, ne pouvant imposer silence à la servante Dorine, se retire, furieuse. Dorine décrit pour Cléante, beau-frère du maître de maison, l’affection passionnée que porte son maître au faux dévot. Orgon survient et se montre en effet uniquement