Personnage De Dorine

de Molière, le personnage éponyme est un escroc et un imposteur ; ce faux dévot s’est introduit dans une grande famille bourgeoise grâce à l’admiration que lui porte Orgon, le maître de maison. Il y régente tout, vit confortablement, se voit même proposer par Orgon sa fille en mariage, cherche à séduire Elmire, l’épouse d’Orgon, et se fait léguer tous les biens du chef de famille. Un tel personnage pour être contré demande beaucoup d’habileté. Or nous verrons que les personnages masculins de la

DM Français On peut affirmer que Le Tartuffe est une comédie classique car Molière met en scène des personnages de classe moyenne comme Dorine qui a un rôle important dans la pièce, le dénouement de la pièce est heureux et l’auteur dénonce à travers Le Tartuffe un travers de la société ce qui est courant dans les comédies classiques. Molière cherche à faire rire le spectateur avec des procédés comiques, par exemple, le comique de mot

Pernelle, rangée du côté de son fils Orgon, s'emporte contre son entourage mal disposé envers Tartuffe, personnage pieux et respectable selon elle, un faux dévot selon les autres. Elle reproche à sa bru, Elmire, d'être trop excentrique et dépensière et au frère de celle-ci, Cléante, d'être trop moralisateur. Elle traite Damis, son petit-fils, de fou et elle s'indigne de l'impertinence de Dorine. Elle loue donc le ciel de leur avoir permis de recueillir chez eux Tartuffe, cet "homme de bien", car "c'est

qu'elle ne tend nullement à jouer les choses que l'on doit révérer ; que je l'ai traitée avec toutes les précautions que demandait la délicatesse de la matière et que j'ai mis tout l'art et tous les soins qu'il m'a été possible pour bien distinguer le personnage de l'hypocrite d'avec celui du vrai dévot. J'ai employé pour cela deux actes entiers à préparer la venue de mon scélérat. Il ne tient pas un seul moment l'auditeur en balance ; on le connaît d'abord aux marques que je lui donne ; et, d'un bout à

fait des reproches. La pièce est écrite en vers (plus faciles à mémoriser). La Comédie Les personnages sont des bourgeois, des paysans, des valets, quelques nobles. Le sujet est tiré de la vie quotidienne (famille, amours, héritages, etc.). Ça se termine bien. Les comédies ne font pas obligatoirement rire. L’exposition Une ou plusieurs scènes, au début de la pièce, mettent en place les personnages, le lieu, l’époque, l’action, donnent des indications sur le genre de la pièce (comédie, tragédie…)

de Le Tartuffe ou L’Imposteur en 1669, après trois placets adressés au roi. Dans cette comédie de mœurs et de caractère, le personnage éponyme, figure du faux dévot, parasite, captateur d’héritage, libertin avéré et directeur de conscience sectaire, n’apparaît qu’au troisième acte de cette pièce en vers, qui en compte cinq. Dans la scène d’exposition, presque tous les personnages sont présents, à l’exception notable d’Orgon, le chef de famille entiché de Tartuffe, et de Tartuffe lui-même. Il sera intéressant

d'un point de vue scénique et dramaturgique, il réussit une entrée en scène particulièrement tonitruante sous la houlette de Madame Pernelle. Cependant, le tour d'astuce, le trait de génie de Molière dans cette pièce est de faire en sorte que du personnage central on n'entende parler que par jugements interposés et que sa voix vraiment, pendant deux actes pleins, on ne l'entende point. Ainsi c'est l'aptitude des uns et des autres à nous convaincre (plus qu'une réflexion qui nous serait propre) qui

misanthrope, etc.) plutôt que des personnages singuliers La thèse du livre est la suivante : on rit des gens quand on a une certaine empathie pour eux. Il fauta ainsi détester les gens pour se moquer d’eux : on rit de l’Avare car il est haïssable et préfère l’argent à l’amour. « Où la personne d'autrui cesse de nous émouvoir, là seulement peut commencer la comédie. Et elle commence avec ce qu'on pourrait appeler le raidissement contre la vie sociale. Est comique le personnage qui suit automatiquement

les relations familiale., (Aristophane, Ménandre...). L'héritière de la comédie romaine est, au XVIème siècle, la commedie dell'arte, théâtre italien de mime et de pantomime aux personnages stéréotypés. Proche de la farce gestuelle, ce théâtre est fondé sur l'improvisation à partir de situations types et les personnages, au rôles définis, sont identifiables à leur costume. Au XVIIè siècle, la comédie triomphe en France avec Molière, qui s'inspire à la fois des farce médiévales du théâtre de foire

:Conversation entre deux ou plusieurs personnages (ou style direct). | Le dialogue entre les personnages permet petit à petit de les caractériser : avare/infidèle…/malheureux. | ALBERT (se levant) - Si on allait manger ! HENRI - Bonne idée. Je meurs de faim. Il ferme son livre avec tant de force qu'il en fit sursauter les autres lecteurs. (didascalie) GEORGETTE (soupirant) - Henri, tu as toujours faim, de toute façon ! | La réplique: Texte qu'un personnage prononce une seule intervention brève