Personnage De Dorine

sommes en quelque sorte notre propre metteur en scène. Nous imaginons les visages des personnages, leurs costumes (si aucune description n'est précisée), les décors des différents lieux dans lesquels se déroulent les scènes... Les didascalies jouent un rôle important pour que nous puissions visualiser ce qui est censé se dérouler sur scène, elles apportent de nombreuses précisions sur les actions des personnages (comme leurs gestes, le ton qu'ils prennent) et nous aident ainsi à nous faire une idée

central, des panneaux coulissants, des chaises, des tables et des bougies. Le tout est illuminé par une lumière rafraichissant la scène en bois clair. Cependant la pièce reste très sobre et même un peu vide. La seconde pièce, qui fera apparaitre le personnage Tartuffe, est remplie de bougie. On pourrait penser que cette salle est une chapelle mais aussi une cachette. D’autant plus que cette image de chapelle seras déchirée lors la scène avec Elmire quand les bougies serviront d’instrument de séduction

nombre de ses pièces: la jeune première Marianne et le jeune premier, Valère, s'aiment. Mais le père de Marianne, Orgon, s'oppose à leur mariage, car, obsédé par la religion, il souhaite comme gendre le dévot Tartuffe. Aidés par la servante Dorine, les deux personnages sympathiques essaieront de venir à bout de l'obstacle qui contrarie leur bonheur. Sous cette intrigue conventionnelle, se précise une dénonciation de la fausse piété et des excès de la religion. Comme le titre de la pièce l'indique,

dans la scène où Dorine qualifie ce dernier de « pauvre homme » tout au long de sa conversation avec Orgon, en utilisant les procédés satiriques, cela nous montre bien un choix de l'auteur destiné à agrémenter son texte et ainsi travailler le style de celui-ci. Le style d'écriture nous suffit donc à apprécier l'œuvre. De plus, la didascalie initiale et les didascalies ajoutées aux paroles des personnages nous donnent des informations complémentaires d'une part sur les personnages, leur caractère,

des histoires dramatiques, puis vers le Ve siècle av JC commença a ce développé les «comédies» pièces qui racontaient des histoire drôles. On trouva au théâtre un bon moyen de s’exprimer, de faire valoir son opinion et ses idées a travers des personnages. . Bien qu’il y ait une dimension divertissante, le théâtre met en place des acteurs, chacun incarnant parfois différentes caractéristiques humaines et cela permet une représentations réaliste du fonctionnement de la société selon l’époque. En

que L’Ecole des femmes (1662), Le Misanthrope (1666) Les fourberies de Scapin (1671)… mais aussi le Tartuffe (1669) dont nous allons étudier la scène finale. Molière propose à travers cette pièce une critique de la fausse dévotion à travers son personnage éponyme. Son oeuvre a d'ailleur été censurée pendant cinq ans avant qu’il puisse la jouer publiquement. En effet, c’est le 12 mai 1664 que Molière donna la première représentation du Tartuffe au château de Versailles. Cette dernière a été fortement

plus personelle Exemple : Quand on lit Dom Juan Commentaire: on est libre d'immaginer les personnages selon notre bon-vouloir 2.Le théâtre est fait pour être vu. 1er paragraphe Idée du paragraphe : La gestuelle est aussi importante que le texte Exemple : le Tartuffe dans la didascalie "apercevant Dorine" Commentaire : Molière nous donne une information précieuse, le personnage hypocrite se fait un visage. 2ème paragraphe Idée du paragraphe : Le théâtre est avant tout

Sommaire • Introduction • XVIIème siècle  • XVIIIème siècle • XXème siècle • Conclusion Introduction • Toute l’ambigüité des rapports maîtres et valets apparait dès la comédie antique. Ce sont les comédies qui haussent les esclaves au statut de personnages à part entière jusqu’au XVIIIème siècle. A travers les siècles, le rôle du valet a évolué. XVII ème siècle • Les comédies de Molière Les rapports maître-valets, dans ses comédies, empruntent beaucoup au modèles latins et italiens, mais les

types de comique sont : Le comique de gestes : l’effet comique est produit par l’interprétation (par exemple : mimiques, grimaces, vêtements, accessoires → didascalies). Le comique de situation : l’effet comique est produit par la situation d’un personnage dans l’histoire qui est racontée (surprises, rebondissements, coïncidences, retournements, quiproquos, etc.) Le comique de mots : l’effet comique est produit par les paroles (jeux de mots, calembours, niveaux de langue, répétitions, etc.) Le comique

correspondent pas à la pensée. Tartuffe est un personnage qui ne révèle pas ses sentiments intérieurs. Molière va donc pendant deux actes présenter Tartuffe au travers des descriptions qu'en font les autres personnages sans jamais le montrer. Son objectif est clairement avoué : que le spectateur se fasse une opinion du personnage avant que celui-ci n'apparaisse. Dès la première scène, le personnage est campé, décrit par Damis comme un « cagot de critique », par Dorine comme « un gueux, qui quand il vint n'avait