Personnage Faible Maladroit

cinquième et finale partie, la mort de Jocaste et Œdipe crève ses yeux. Le langage utilisé est en décalage avec la forme théâtrale : familier, relâché, il instaure entre les personnages une complicité populaire non conforme à leur rang, ils perdent leur noblesse et paraissent plus humains. Oedipe est rendu maladroit et faible, ainsi le spectateur peut s’identifier plus facilement à lui et ressentir de la pitié. Le thème récurrent dans cette histoire est l’ironie. Œdipe se convainc lui-même qu’il

d'un théâtre galant. L’intérêt du théâtre de Marivaux, c’est aussi qu’il offre des comédies qui nous font réfléchir sur les inégalités sociales. Présentation du passage : ➜ Les Fausses confidences est une comédie en prose et en 3 actes : timide, maladroit et sans fortune, Dorante est amoureux d’Araminte, une jeune veuve fort riche. Dubois, ancien valet de Dorante, fait engager son ancien maître comme intendant d’Araminte. ➜ Le passage se situe au début de la pièce, acte I, scène 3, il s'agit d'un

constate qu’ils n’ont aucune difficulté à retenir le langage de Marivaux et à jouer en le maîtrisant à la perfection. C’est que, leur langage même le montre, ils aiment la force des mots, comme Marivaux. Par contre, le jeu théâtral sépare les personnages entre ceux qui peuvent y accéder et les autres. F. Bégaudeau : « les répétitions puis la représentation du Jeu de l’amour et du hasard divisent le casting égalitaire entre ceux qui peuvent jouer et ceux qui ne peuvent pas, acculant Krimo à ses

les Verdurin. Il se trouve alors introduit dans un salon où évolue une petite société composée de personnes issues d'une bourgeoisie aisée mais n'ayant pas accès à la sphère de l'aristocratie. Ne sont admis dans ce cercle que quelques élus, personnages fats et ridicules pour la plupart qui ont l'heur de plaire aux maîtres des lieux M et Mme Verdurin. Extrait « Qu'est-ce qu'ils ont à rire, toutes ces bonnes gens-là, on a l'air de ne pas engendrer la mélancolie dans votre petit coin là-bas

Charlie Gordon petit suivra Charlie à certain moments, quand il sera intelligent comme si il voulait qu'il redevienne arriéré mental, qu'il n'est pas dans son corps. Abécédaire A comme Algernon, une souris femelle de laboratoire, qui est l'un des personnages principaux du livre. Elle a subi, comme Charlie, une opération qui consiste à la rendre intelligente. Elle mourra à la fin, et Charlie écrira dans son compte-rendu : « Si par hasard vous pouvez mettez quelques fleurs si vous plait sur la tombe d'Algernon

aux grands empressements qu'on a de faire éclat de tels amusements ; et que, par la chaleur de montrer ses ouvrages, on s'expose à jouer de mauvais personnages. Oronte. Est-ce que vous voulez me déclarer par là que j’ai tort de vouloir... ? Alceste. Je ne dis pas cela ; mais je lui disais, moi, qu'un froid écrit assomme, qu' il ne faut que ce faible à décrier un homme, et qu'eût-on, d'autre part, cent belles qualités, on regarde les gens par leurs méchants côtés. Oronte. Est-ce qu’à mon sonnet vous

remord éternel » est un châtiment suffisant. L’avocat essaie d’attirer la compassion et la bienveillance des jurés envers Meursault en le présentant comme un humain mais cela ne fonctionne pas car son discours est maladroit et stéréotypé. Le plaidoyer de l’avocat est trop faible pour convaincre les jurés car la conversation entre Meursault et le gendarme (discours directe et indirecte) montre que le discours de l’avocat est stéréotypé donc pas très convaincant. L’avocat arrogant dit pouvoir

l’être de peur. C’est la porte qui s’ouvre à la nouvelle recherche de ce qu’est l’être humain… une bête s’approche. II. La bête érotique a) Le désert et l’infini du possible Pour continuer l’analyse du passage il faut situer les personnages dans le décor. On se retrouve en plein milieu du désert, un lieu solitaire et sans témoins. Ici, l’être se retrouve face à lui-même inévitablement. En effet, il s’agit d’une prison infinie, sans murs et sans limites. La mort est une présence constante

s'apparenter au théâtre de l'absurde par sa thématique, l'attente vaine de deux personnages, et par son écriture, qui dévoile une crise du langage. La scène que nous étudions se situe dans l'acte I, avant la rencontre de Pozzo et Lucky. Les deux personnages Vladimir et Estragon, sont en train d'épuiser tout les divertissements possibles en attendant Godot. La scène dévoile ici une situation paradoxale au théâtre : les personnages veulent agir mais il ne peuvent pas ; ils veulent se séparer mais ne peuvent

grands empressements qu'on a de faire éclat de tels amusements ; et que, par la chaleur de montrer ses ouvrages, on s'expose à jouer de mauvais personnages. Oronte. Est-ce que vous voulez me déclarer par là que j’ai tort de vouloir... ? Alceste. Je ne dis pas cela ; mais je lui disais, moi, qu'un froid écrit assomme, qu' il ne faut que ce faible à décrier un homme, et qu'eût-on, d'autre part, cent belles qualités, on regarde les gens par leurs méchants côtés. Oronte. Est-ce qu’à mon sonnet