Personnages de l'Héritage

fabuleusement enrichi sous la Révolution, mais qui tyrannise sa famille de son avarice méthodique. Le jour de l'anniversaire de sa fille, Eugénie, qui se montre soumise à son despotisme, après le repas du soir à l'occasion duquel est esquissé le personnage de Mme Grandet, les Cruchot, puis les des Grassins viennent offrir leurs vœux et font assaut d'amabilité, la riche héritière étant l’objet des convoitises de ces deux familles. L'arrivée inopinée de Charles, le cousin de Paris, provoque des réactions

fabuleusement enrichi sous la Révolution, mais qui tyrannise sa famille de son avarice méthodique. Le jour de l'anniversaire de sa fille, Eugénie, qui se montre soumise à son despotisme, après le repas du soir à l'occasion duquel est esquissé le personnage de Mme Grandet, les Cruchot, puis les des Grassins viennent offrir leurs vœux et font assaut d'amabilité, la riche héritière étant l’objet des convoitises de ces deux familles. L'arrivée inopinée de Charles, le cousin de Paris, provoque des réactions

allant de la vue d’ensemble (des personnages dans un espace architectural) au détail et à la structure de l’œuvre, par une observation de la mise en place des personnages, des jeux de couleurs utilisés, de l’organisation des différents plans d’abord horizontaux puis verticaux (pour montrer l’organisation symétrique de la fresque), et en profondeur (notion de « trompe-l’œil », effet de scène théâtrale). On terminera la description par le mouvement des personnages sur les marches, conduisant l’œil

XVIè Dans les années 1630, on voit la théorie apparaitre, les règles classiques apparaissent. Dans un débat entre des savants, qui prennent en compte le succès des pièces. -> premier tiers : des influences aident à la création des pièces. L’héritage du théâtre religieux : période médiévale, les mystère, qui empruntait leurs histoires a des sujets religieux et qu’on représentait sur le parvis des églises. Cette représentation des mystères n’est plus possible, cette tradition n’a plus lieu

carrière de Robert Campin, un peintre du 15e siècle et celle de Jan Van Eyck, et va se poursuivre jusqu’en 1523, ou beaucoup vont croire que cette technique est perdue, hors on l’a retrouve plus tard dans la Renaissance ce qui va correspondre à l’héritage artistique médiéval du nord de l’Europe. Les œuvres de cette période sont le plus souvent peintes sur bois, soit un panneau et sont peintes à l’huile, ce qui permet d’obtenir plus de pureté car il n’y à pas de grain et de luminosité. Elles représentent

fabuleusement enrichi sous la Révolution, mais qui tyrannise sa famille de son avarice méthodique. Le jour de l’anniversaire de sa fille, Eugénie, qui se montre soumise à son despotisme, après le repas du soir à l’occasion duquel est esquissé le personnage de Mme Grandet, les Cruchot, puis les des Grassins viennent offrir leurs vœux et font assaut d’amabilité, la riche héritière étant l’objet des convoitises de ces deux familles. L’arrivée inopinée de Charles, le cousin de Paris, provoque des réactions

dans l’espoir de la voir se marier avec l’un des deux fils : « Leur mère […] espérait vivement qu’un des deux triompherait, car la jeune femme était riche » (chapitre I) . Marowsko est un vieux pharmacien polonais et ami de Pierre. Malgré son personnage touchant, il est lui aussi lié à Pierre par l’intérêt : en effet ce dernier « s’était établi au Havre, comptant sur une belle clientèle que le nouveau docteur lui fournirait » (chapitre II). b) Solitude : Maupassant critique, à

: Ce qui était perdu Roman § 1931 : Souffrances et bonheur du chrétien Essai § 1932 : Commencements d'une vie Autobiographie § 1933 : Le Nœud de vipères Roman § 1933 : Le Mystère Frontenac Roman § 1933 : Le Romancier et ses personnages Essai § 1935 : La Fin de la nuit Roman § 1936 : Les Anges noirs Roman § 1936 : La Vie de Jésus Essai § 1938 : Plongées : Thérèse chez le docteur, 1933 ; Thérèse à l'hôtel, 1933 ; Le Rang ; Insomnie ; Conte de Noël Récits §

héritiers directs, il laisse toute sa fortune, une vingtaine de mille francs de rentes en obligations trois pour cent, à votre second fils, qu'il a vu naître, grandir, et qu'il juge digne de ce legs. A défaut d'acceptation de la part de M. Jean, l'héritage irait aux enfants abandonnés." Le père Roland déjà ne pouvait plus dissimuler sa joie et il s'écria : "Sacristi ! voilà une bonne pensée du cour. Moi, si je n'avais pas eu de descendant, je ne l'aurais certainement point oublié non plus, ce brave

parent , cette héritage va bouleversé la vie de cette heureuse famille . Pierre le frère de Jean étant jaloux de l'héritage se demande pourquoi Jean a hériter de cela et que lui n'a rien eu . Il enquête donc jusqu'au jour où il s'aperçoit que sa mère à tromper son père et que Jean n'était que en faite que le fils de l'amant de la mère de Jean . Pendant que Pierre enquête sur l'héritage , Jean essaye de conquérir madame Rosemilly pas pour son amour mais pour le désir et l'argent que peut y apporter